Archive pour le 23 avril, 2014

MESSAGE DE MARIE AUX ENFANTS DE LA TERRE

 

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Mes chers enfants, 

Je suis accablée de voir tant de tristesse dans le monde. 

Tant de tristesse dans les cœurs, tant de tristesse dans les regards où l’on ne distingue que la concupiscence, la honte, la méfiance, la jalousie, et même la haine envers son prochain… 

Comment pouvez-vous aimer de la sorte ? Alors que l’amour doit être vécu avec les yeux du cœur , avec toute la tendresse que vous a octroyée votre Père céleste et votre Mère terrestre. Comment pouvez-vous aimer si dans votre regard déjà, une étincelle d’amour ne luit pas en permanence pour celui ou celle qui vous est cher ?

 Demandez-vous, en votre for intérieur, si vraiment vous êtes prêt à aimer votre prochain. Si vous ne l’êtes pas, épargnez-lui la souffrance future que peut causer une séparation. Une séparation peut être bien vécue si l’un et l’autre ne sont pas engagés, mais si l’un des deux l’est, alors la souffrance le touchera. Aussi, évitez le mensonge. Le monde vit actuellement dans le mensonge, à tous les niveaux. N’en rajoutez pas… 

Ne faites pas croire à l’autre que vous l’aimez si vous n’en êtes pas intimement convaincu, de façon sincère et profonde. Ne déguisez pas votre amour dans le but de vous faire aimer ou de faire aimer l’autre, votre compagne ou votre compagnon.

Epargnez-lui de croire que l’Amour vous a touchés de sa Grâce alors que vous ressemblez tous deux à deux brebis égarées, éloignées, qui ne font pas partie du même troupeau. 

Tant de mensonges autour de vous, mes très chers enfants…

Commencez donc par aller voir dans votre cœur s’il renferme encore quelque mensonge, mettez-le en pleine lumière, à la lueur de votre conscience, et éloignez-le de votre cœur par la pensée, la parole ou la prière. Oui, encore une fois, croyez en la vertu du Pardon. Pardonner, ce n’est pas se mettre à genoux, ce n’est pas renoncer, ce n’est pas abdiquer. Pardonner, c’est se faire du bien à l’intérieur. 

C’est abandonner ses illusions, son ressentiment, ses petites batailles intérieures. Et surtout, c’est transformer la stérilité de son cœur en une fontaine de Grâce et de Bénédiction. Oui, votre cœur peut être une fontaine d’Amour et de Bénédiction si vous l’ouvrez à la Conscience divine. Il peut en jaillir des effluves parfumées, des pensées lumineuses et chatoyantes si vous écoutez la voix de votre âme, la voix de Dieu en vous. 

Ecoutez votre Père, mes chers enfants, et vous serez récompensés par ce travail de purification. Cherchez en vous les raisons profondes de votre insatisfaction, et même si vous croyez ne pas en avoir, soyez à l’écoute consciente de vos moindres faits et gestes durant une seule journée. Vous serez surpris de voir à quel point il est difficile de rester en paix avec soi-même. 

Alors, lorsque vous aurez cerné la raison profonde de cette insatisfaction, demandez-vous en votre âme et conscience si vous pouvez changer quelque chose à cet état intérieur, que ce soit en pardonnant, en priant, ou en ayant une simple pensée d’amour envers la personne qui en est l’objet. En cet instant de Grâce, remerciez votre Père du Ciel qui vous pardonne pour tout ce que vous faites en permanence. Non, Il ne juge pas, Il ne punit pas, Il ne sermonne jamais. 

Le Père pardonne toujours, quoi qu’il arrive. Alors, allez-vous cesser de chercher Ses limites ? Auriez-vous besoin qu’Il vous fustige ? Ouvrez les yeux: l’homme n’est-il pas en train de se fustiger lui-même ? Remerciez-Le plutôt du fond du cœur d’être si compatissant, et remerciez tous ceux qui contribuent à votre bonheur actuel. 

Pensez à remercier, mes chers enfants, c’est très important.

Méditez sur tout cela et n’oubliez pas d’aimer.

Je vous aime, mes enfants chéris. 

MARIE 

EXTRAIT de : Messages aux frères de Lumière – URIEL et ses frères / issus de Les Livrets bleus de l’Association AQUARIUS par Patrick Giani

Publié dans:CHANNELING |on 23 avril, 2014 |Pas de commentaires »

Langues amérindiennes

 

 

220px-NSRW_Natives_of_North_AmericaLes langues amérindiennes sont les langues indigènes d’Amérique, parlées par les différents peuples amérindiens depuis l’Alaska et le Groenland jusqu’à la Terre de Feu. Les linguistes qui en sont spécialistes sont appelés américanistes.

Les langues amérindiennes ne forment pas une famille de langues unique, mais comprennent de nombreuses familles de tailles très variables, ainsi que des langues isolées. Diverses hypothèses rassemblant ces divers groupes en un plus petit nombre de superfamilles ont été formulées, avec un niveau d’acceptation très variable parmi les américanistes. Les Indiens des Plaines avaient développé une langue des signes auxiliaire pour communiquer par-delà la variété de leurs langues maternelles. Beaucoup de langues amérindiennes sont aujourd’hui menacées de disparition.

Les langues amérindiennes ne forment pas une famille de langues unique, mais comprennent de nombreuses familles de tailles très variables, ainsi que des langues isolées. Diverses hypothèses rassemblant ces divers groupes en un plus petit nombre de superfamilles ont été formulées, avec un niveau d’acceptation très variable parmi les américanistes.

Les Indiens des Plaines avaient développé une langue des signes auxiliaire pour communiquer par-delà la variété de leurs langues maternelles.

Beaucoup de langues amérindiennes sont aujourd’hui menacées de disparition.

 

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Publié dans:AMERINDIENS |on 23 avril, 2014 |1 Commentaire »

Les âmes errantes des morts

 

images (14)A chaque catastrophe entraînant de nombreuses victimes, des histoires d’âmes errantes refont étrangement surface. Comme au Japon après le séisme et l’accident nucléaire de Fukushima où la région serait, d’après de nombreux témoins, hantée par les défunts. Rumeurs ? Affabulations ? Hallucinations ? Ou réalité ? Décryptage avec la journaliste et médium, Patricia Darré.

« Et les esprits des morts, que vont-ils devenir ? » Un an après la catastrophe de Fukushima, nombreuses sont les victimes dont le corps n’a été ni réclamé, ni retrouvé. Dans toute la région du Tohoku, les habitants s’inquiètent. Selon leurs croyances bouddhiques, les morts ne peuvent trouver le repos si des rites appropriés n’ont pas été respectés. Dans toute la zone sinistrée du nord-est japonais, les esprits errants des défunts, en quête de sépulture, hanteraient encore les lieux où ils périrent.

Au pays du soleil levant, beaucoup d’histoires de revenants alimentent actuellement les conversations. Certains disent avoir senti une « présence ». D’autres racontent avoir vu des entités, parfois même les avoir entendues parler. 

Chaque fois qu’une terrible catastrophe survient quelque part, des histoires d’âmes errantes refont étrangement surface. Comme après le tsunami de décembre 2004 en Thaïlande et au Sri Lanka. Alors : rumeurs ? Affabulations ? Hallucinations ? Ou réalité ? 

Dans un livre qui l’a rendue célèbre (Un Souffle vers l’éternité, Michel Lafon), Patricia Darré, journaliste à France Bleue Berry, affirme être capable de communiquer avec les esprits. Pour l’Inrees, elle décrypte ces phénomènes et tente de nous éclairer sur ces témoignages.

Selon vous, que faut-il entendre par « âme errante » ?
Ce sont des âmes perdues, angoissées. Des défunts restés bloqués dans le monde des vivants. A cela, il y a plusieurs raisons : cela peut être soit parce qu’ils n’ont pas encore réglé un problème dans notre monde ; soit parce qu’ils sont trop attachés à la matière, ne croient pas en l’au-delà, et par conséquent, ne savent ni où ils sont, ni comment sortir de cet entre-deux ; soit parce qu’ils ne comprennent pas qu’ils sont morts ni ce qui s’est passé. C’est le cas des personnes décédées avec beaucoup de violence et de brutalité : dans un attentat, une catastrophe naturelle, un accident… Comme les milliers de victimes de Fukushima, du tsunami de 2004 mais aussi celles du 11 septembre 2001. Quand je me suis un jour rendue à Ground Zero, il y avait tellement d’âmes errantes qui venaient me voir pour comprendre ce qui leur était arrivé que je ne savais plus où donner de la tête. A tel point que j’ai dû fuir ! 

Selon les croyances japonaises, ces esprits errent dans l’attente d’une sépulture. Pourquoi cela semble-t-il si important pour les défunts ?
Pour moi, la sépulture n’est pas la véritable raison de cette errance. Mais il est vrai que si le défunt vient d’une civilisation où la culture d’une sépulture est importante, comme c’est le cas au Japon, cela va le tourmenter, et l’obséder. Je me souviens être entrée en contact avec un guerrier celte dont le squelette fut découvert dans un aqueduc. Il me demandait une sépulture car pour lui, ce rituel était indispensable pour pouvoir sereinement rejoindre la lumière. 

Que faudrait-il faire pour libérer ces âmes errantes ?
Elles ont besoin d’être guidées par ceux qu’on appelle des médiums, des intermédiaires ou des passeurs d’âmes, qui vont les aider à comprendre ce qui leur est arrivé, et à passer de l’autre côté. Certains esprits peuvent attendre de l’aide et continuer d’errer durant des siècles… Ils sont comme des badauds perdus qui, en pleine nuit, demandent leur route. Chaque fois qu’on leur indique le chemin à suivre, leur soulagement est immédiat.

 Source INREES

Publié dans:La MORT |on 23 avril, 2014 |Pas de commentaires »

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