Archive pour le 22 janvier, 2014

Vision du Un

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Lumière vivante incarnée rejaillie pour émettre la lumière première originelle. 

La présence de vos êtres ressemble à quelque chose que vous nommeriez plénitude mais au-delà de ce contexte révélateur, tous vos schémas de pensées, vos attentes, vos impatiences, vos conditionnements, vos blocages, vos impressions et vos appréciations ne peuvent plus se définir de la même manière.

Cette présence en vos êtres discipline toute pensée perturbatrice qui viendrait falsifier votre état.

Alors de ce moment de présence à vous-même vous percez le monde illusoire au-delà de votre réalité, je ne voudrais pas dire ce qui est invisible et cependant cela y ressemble fort.

Vous émettez des vibrations « de consciences » éveillées et toute pensée vient ainsi s’anoblir car elle est en quelque sorte retraduite dans l’état d’être ou vous vous trouvez à ce moment là.

Vous avez parfois déjà cette sensation de plénitude lorsque coupé de tout ce qui habituellement est dérangeant pour vous, vous êtes tout simplement, sans attente et sans pensées.

Cela peut se produire aussi bien dans un lieu de nature comme au milieu d’une autre situation de vie commune.

Vos fréquences évoluent et avec elles la somme de vos possibles vision du UN.

Le spectre de vos anciens schémas se dilue dans une vision éclairée de la vie et ce qu’elle représente réellement  en dehors de toute schématisation réductrice vous devenez des acteurs pleinement conscients de la vie et se faisant de cet état de conscience qui vise au plus haut.

Les moments que vous prendrez pour vous connecter de manière décidée à cet état ne pourront être que des instants, mais la vraie, l’ultime vision, elle, celle intérieure que vous vivez au plus profond de vos êtres, elle se substitue à toute autre vison extérieure car dans ces moments de plénitude consciente vous ne faites plus qu’un seul et même corps de lumière.

La lumière est ce qui représente la vie en multitudes de particules régies par le cœur même de la création.

Ce cœur sublime qui invente au fur et à mesure des possibles visions magnifiées de chaque être humain.

Cette conscience là est celle qui créa l’homme dans toute sa splendide magnificence et je vous invite à vous unir à cette lumineuse présence que vous aussi détenez au plus fort de vos illuminations.

Les temps nouveaux feront apparaitre pour certains cette étape décisive de connexion au SOI, à vous, être unique, uni à l’univers et à la création ultime de vérité.

Le déploiement de cette conscience affectera l’ensemble de l’incarnation terrestre et au-delà… mais nous en parlerons à une autre échelle, le moment venu.

Dans vos atmosphères, emprisonnés encore bien trop par la dualité de vos pensées, vous n’imaginez aucunement que cette vison peut être atteinte et vécue en conscience c’est pourquoi je viens aujourd’hui vous l’affirmer afin que vous puissiez vous éveiller à cette vison du UN.

Je suis  Djwal Khul

La liberté vous appartient de diffuser cet écrit reçu en canalisation par Adèle, à condition de le garder intact et d’en donner la Source. http://www.a-d-ailes-d-ange.com 

Publié dans:CHIFFRES, TERRE |on 22 janvier, 2014 |Pas de commentaires »

TOUT EST ACCOMPLI !

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Canalisation de Jésus-Sananda, Aix en Provence,

par Diane LEBLANC

  

Mes frères et sœurs bien-aimés, 

Je suis avec vous, à vos côtés depuis une éternité. Ce qui s’est vécu dans ce corps à travers cette présence humaine ici sur Terre n’est qu’une petite partie de toute cette existence qui perdure depuis des siècles, des éons, au-delà de ce que vous pouvez imaginer dans votre concept de temps qui est plutôt tridimensionnel que multidimensionnel. 

Vous aussi êtes des hommes en cheminement, vous aussi avez parcouru les confins de l’Univers. Si vous vous êtes postés ici sur Terre, c’était par amour, par compassion, par désir de faire en sorte que la matière demeure empreinte de sacré et de lumière. Mais comme bien des hommes avant vous, vous avez été happés, densifiés, emprisonnés dans ces corps physiques qui, en réalité, semblent limités, semblent destinés à disparaître mais qui, comme tout ce qui vit dans la nature, redeviennent poussière. Pour faire partie de la grande matrice et revivre à nouveau d’une vie à l’autre, d’une saison à l’autre, ici sur Terre. 

Et lorsque vous empruntez un nouveau corps, une nouvelle création, votre défi est constamment le même : habiter totalement ce corps, l’imprégner de cette lumière qui est la vôtre. Afin de lui rendre sa nature première, afin de lui permettre de devenir un vaisseau : un véhicule illimité qui puisse emmagasiner toute l’énergie du ciel et la répandre dans l’amour ici sur Terre. Ceci en ayant bien soin de garder votre canal bien ouvert pour que l’énergie circule du haut vers le bas et du bas vers le haut, alimentant et régénérant ainsi toutes vos cellules à chaque instant. Vous abreuvant de lumière et permettant à votre conscience illimitée d’habiter totalement ce corps dans cette réalité que vous avez choisie pour évoluer et vous construire. 

J’ai moi aussi expérimenté cette nature humaine qui est la vôtre. J’ai moi aussi traversé le voile de l’oubli. Et j’ai dû, tout comme vous, réapprendre à autoriser ma partie divine à venir m’habiter, cohabiter avec ma personnalité – ce que vous appelez l’Ego – pour que la survie de ce corps soit assurée et qu’en même temps, toute l’énergie puisse y être emmagasinée, imprégnée… afin de procéder dans chacune des cellules de ce corps à l’ultime transmutation alchimique. Ce que vos historiens ont nommé comme la pierre philosophale, celle qui amène la jeunesse éternelle, c’est tout simplement cette fusion, cette unification de la partie humaine et divine. 

Lorsque j’ai pris conscience sur la croix que mon humanité était mon plus beau cadeau et non pas mon plus lourd fardeau, j’ai pu permettre à cette partie divine de pouvoir effectuer cette alchimie. J’ai dû passer par la mort afin que l’éclat de cette résurrection parvienne à vos oreilles encore à ce jour… 

Or, vous n’avez pas à attendre le moment ultime. Vous pouvez déjà vous rendre réceptifs, accepter dans votre corps, ici et maintenant, de recevoir, d’accueillir cette partie lumineuse en vous-mêmes. Pour qu’elle puisse vous nourrir, vous alléger, guérir les blessures du passé et permettre que vous deveniez l’être merveilleux et lumineux que vous êtes en réalité. Car nous sommes des frères, des sœurs, nous sommes identiques ! Ensemble sur le même chemin, sur la voie du plein épanouissement, sur la voie de la co-création divine. 

L’amour inconditionnel passe d’abord par l’amour de soi, le pardon de soi, l’acceptation de soi dans sa partie humaine avec toutes ses vulnérabilités, avec toutes ses difficultés ET avec sa partie céleste… Celle qui sait que tout est parfait, celle qui sait que toute expérience n’est présente dans la vie de chacun que pour inciter la partie de vous qui sait qui vous êtes réellement à se manifester, à se dévoiler dans toute sa splendeur. 

Osez dire oui  à cette partie lumineuse en vous-mêmes, accueillez tout l’amour du ciel qui descend sur votre tête et dans votre cœur, permettez à cette énergie lumineuse de venir de nouveau emplir votre bas ventre et descendre jusqu’à travers le premier chakra, le long de vos jambes et jusque dans la terre. 

Vous êtes à la fois d’ici et d’ailleurs ! Vous êtes à la fois humains et divins ! Et lorsque vous reconnaîtrez cette lumière en vous-mêmes, vous saisirez à quel point tous ceux et celles qui vous ont précédés et qui ont suivi ce même chemin – ce même parcours que vous avez entrepris – sont là à vos côtés et vous attendent de l’autre côté du voile. 

Ces dimensions supérieures auxquelles vous aspirez ne sont pas un lieu, un but à atteindre, elles sont déjà là, partout autour de vous. Il vous suffit  d’ouvrir les yeux sur vous-mêmes pour réaliser que vous en faites partie, il vous suffit de vous voir tels que vous êtes dans toute cette lumière, dans tout cet amour, dans toute cette splendeur illimitée qui n’a ni début, ni fin… pour que vous puissiez enfin ressentir notre présence à vos côtés. 

Lorsque je me suis éveillé au matin du troisième jour, j’ai senti que mon corps s’était transformé, que la lumière l’habitait totalement et qu’il m’était désormais impossible d’abaisser ces vibrations pour me rendre visible à tous. 

Mon corps de lumière vibrait, scintillait à un point tel que j’ai senti le besoin de retrouver ceux et celles qui m’accompagnaient dans l’invisible afin de pouvoir célébrer avec eux cette ouverture, cette brèche qui s’était créée dans le voile du temps. 

Si, humblement, j’ai pu contribuer à faire en sorte d’amincir la toile entre les mondes, c’est à vous maintenant que revient le défi d’en profiter et de laisser venir à vous tous vos frères et sœurs de lumière qui sont remplis d’amour, de tendresse, de fierté, de vous savoir là à leurs côtés, pour vivre avec eux cette merveilleuse aventure planétaire où chacun et chacune a la possibilité de transmuter dans la matière l’énergie céleste et de faire en sorte que toute la Terre puisse en bénéficier. 

Il y a ici sur Terre de nombreux lieux hautement vibratoires sur le plan énergétique. Plusieurs d’entre vous cherchent et espèrent nous rencontrer, mais ils ne comprennent pas qu’il est impossible de nous voir à travers des yeux humains, de nous percevoir à travers des sens qui sont limités à votre corps physique, à la troisième dimension. C’est avec les yeux du cœur que vous devez venir à notre rencontre, c’est avec l’esprit ouvert et l’âme remplie de joie que vous avez accès à ces vibrations extraordinaires qui sont disponibles pour chacun et chacune d’entre vous. 

Nous sommes tout près à vos côtés et le seul voile qui vous empêche de  nous voir est celui qui recouvre votre troisième œil, cette glande que vous appelez la glande hypophyse… et qui ne demande qu’à s’ouvrir telle une paupière close qui enfin s’éveille pour accueillir le soleil. 

Il est plus facile de percevoir vos frères et sœurs de lumière lorsque vos yeux humains sont bien fermés, c’est pourquoi plusieurs d’entre vous nous rencontrent dans leurs rêves. Lorsque vous avez les yeux fermés, ce sont les yeux de votre âme qui s’ouvrent, ce sont les yeux de l’intérieur qui peuvent enfin ressentir ces présences lumineuses à vos côtés, les percevoir, les capter, les sentir vibrer dans tout votre être. 

Peu importe la façon dont vous choisissez d’entrer en contact avec nous, il n’est pas nécessaire que cela passe par la vue ou l’ouïe : vous pouvez tout simplement ouvrir votre cœur et vous laisser inonder d’amour ! Ressentir la chaleur aimante de cette présence autour de vous. Ainsi, nous serons toujours à vos côtés, comme vous êtes toujours avec nous ; peu importe où nous sommes, peu importe où nous allons. 

Certains croient que Shamballah est le Paradis sur Terre, mais le Paradis est vivant dans votre cœur, dans votre âme, dans votre conscience ! C’est l’état de grâce, le choix d’être vivant à chaque instant, de savourer chaque seconde et de vous ouvrir à vous apporter à vous-même tout cet amour… qui élève, qui allège et qui permet à la joie, au bonheur de s’installer de façon permanente en vous-mêmes. 

Le Paradis est présent dans vos toutes cellules. Dans cette transmutation qui, de plus en plus, s’installe parmi tous les êtres vivants. 

Vous êtes en train de devenir de magnifiques papillons qui peuvent déployer leurs ailes pour ne plus se sentir limités ou emprisonnés dans votre corps qui se transforme pour vos permettre d’aller où et quand vous le voulez, avec nous à chaque instant. 

Laissez-nous venir à vous. Laissez-nous vous aider. Laissez-nous vous aimer… pour que vous puissiez bénéficier de notre expérience, de nos acquis, mais surtout de cette lumière immense, intense tel un brasier illimité. Celle-ci cherche à pénétrer dans tout votre corps pour que vous deveniez des soleils à votre tour et que vous permettiez à l’énergie céleste de faire de ce monde un nouveau monde, de faire de cette planète un lieu sacré, une oasis de lumière. 

Tout est là en vous, il suffit juste de vous accorder enfin la liberté, le droit, le privilège de dire OUI en étant conscients que vous le méritez, que tout est déjà accompli et qu’il suffit de laisser les valves s’ouvrir pour que vous soyez inondés de cette lumière merveilleuse à nouveau et pour l’éternité. 

Recevez mon amour et ma tendresse. L’amour d’un frère, l’amour d’un pur esprit, l’amour christique qui est votre énergie aussi. L’amour d’un fils de Dieu s’adressant à ses frères et à ses sœurs divins, ici et maintenant et pour l’éternité. 

Recevez ma bénédiction ainsi que celle de ceux et celles qui nous accompagnent, tous ensemble, dans toutes les dimensions. 

Soyez honorés, bénis. Et remerciez votre âme d’être présente à chaque instant, car c’est grâce à elle que vous avez accès à cette ouverture, à cette transmutation partout dans tout votre être. 

Merci ! Merci pour vous, merci pour nous, merci pour tout ce qui vit et cette merveilleuse planète qui est la vôtre, la nôtre et celle de tous les êtres de lumière qui sont attirés de tous les coins du cosmos… pour assister à cette nouvelle naissance prennant racine en vous-même. Soyez honorés, soyez aimés et aimez-vous les uns les autres comme vous rêvez d’être aimés à votre tour. 

            Ainsi soit-il ! 

            Sananda 

Message de Bianca Gaïa/Diane LeBlanc, transmis le 15 octobre 2009,

aussi disponible sur www.biancagaia.com. Vous êtes invité à faire circuler ce texte
à condition d’en respecter l’intégralité, y compris ces quelques lignes.

Publié dans:JESUS |on 22 janvier, 2014 |Pas de commentaires »

L’expérience de la mort de Ramana Maharshi à 16 ans

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     « C’était environ six semaines avant que je ne quitte Madura pour de bon que le grand changement survint dans ma vie. Ce fut tout à fait soudain. Je me tenais seul dans une pièce située au premier étage de la maison de mon oncle. J’étais rarement malade, et ce jour-là ma santé n’était pas en cause, mais une soudaine et violente peur de la mort me surprit. Rien dans mon état de santé ne justifiait cela, et je n’essayais pas de le justifier ou de découvrir s’il y avait quelques raisons de crainte. Je sentis simplement « je vais mourir » et je me mis à penser à ce qu’il fallait faire. Il ne me vint pas à l’esprit de consulter un docteur, mes aînés ou des amis. Je sentais qu’il me fallait résoudre le problème sur le champ. Le choc produit par la peur de la mort conduisit mon esprit vers l’intérieur et je me dis à moi-même mentalement « Maintenant la mort est venue ; que signifie-t-elle ? Qu’est-ce qui meurt ? C’est ce corps qui meurt. Et aussitôt, j’interprétais intimement la scène de la mort. Je m’étendis, les membres allongés, aussi raides que si la rigidité de la mort était intervenue, et j’imitai un cadavre de façon à donner une plus grande réalité à la recherche. Je retins mon souffle et gardai les lèvres étroitement closes afin qu’aucun son ne puisse s’échapper, afin que ni le mot « Je » ni aucun autre ne puisse être articulé. « Eh bien ! Maintenant, me dis-je, ce corps est mort. Tout rigide, il va être porté au bûcher et là brûlé et réduit en cendre. Mais suis-je mort avec la mort de ce corps ? Le corps est-il « Je » ? Il est silencieux et inerte, mais je sens toute la force de ma personnalité et même la voix du « Je » en moi, qui s’en distingue. Donc, je suis Esprit transcendant le corps. Le corps meurt mais l’esprit qui le transcende ne peut être atteint par la mort. Cela signifie que je suis l’Esprit qui ne meurt pas.

     Tout ceci n’était pas qu’une vague pensée, mais jaillissait en moi avec intensité en tant que vérité vivante que je percevais directement, presque sans aucune intervention de la pensée. « Je » était quelque chose de très réel, la seule chose réelle dans mon état présent, et toute l’activité consciente liée à mon corps était centrée sur ce « Je ». A partir de ce moment le « Je » ou Soi concentra son attention sur lui-même par une puissante fascination. La peur de la mort s’était évanouie une fois pour toutes. Dès lors, l’absorption dans le Soi continua, sans interruption. D’autres pensées pouvaient aller et venir comme les différentes notes de musique, mais le « Je » continuait comme la note fondamentale shruti, qui est sous-jacente et se mêle à toutes les autres notes. Que le corps s’adonnât à la parole, à la lecture, ou quoi que ce soit, j’étais toujours centré sur le « Je ». Avant cette crise, je n’avais pas de perception claire de mon Soi et je n’étais pas consciemment attiré par lui. Je ne ressentais pas d’intérêt perceptible ou direct pour lui, moins encore quelque inclination à m’y établir en permanence ».

Œuvres réunies, Éditions traditionnelles. p. 7-10. de Ramana Maharshi  

Publié dans:La MORT |on 22 janvier, 2014 |Pas de commentaires »

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