Archive pour octobre, 2013

L’ incarnation

L’ incarnation  dans AME images-5

Chacun de nous est véritablement programmé pour ce qu’il aura à faire ou à subir dans sa vie terrestre. Le guide recherche les futurs parents, lorsque nous avons atteint un niveau suffisant, il nous fait participer au choix. Il y a parfois contact avec la future famille, le cas le plus connu est celui de Marie, mère de Jésus, avertie par un ange.

Il existe des cas plus récents. Dans une réunion spirite, une entité contacté en juin 1909 dit qu’elle a l’intention de se réincarner. En Octobre 1909 elle donne l’endroit où elle va se réincarner, dans quel village, dans quelle famille et précise qu’elle aura une cicatrice à la naissance de 2 cm sur le coté droit de la tête. Le 15 novembre, elle annonce qu’elle cessera de venir parler en séance. L’enfant est né en Janvier 1910 dans la bonne famille avec la cicatrice à l’endroit annoncé. Il existe bien d’autres exemples

  
En 1978, aux USA le Docteur Hélène Wambach a étudié ce passage de l’incarnation. Elle a fait régresser sous hypnose 750 volontaires qui ont raconté leur incarnation, avant pendant et après leur naissance. Elle a publié ses recherches : La vie avant la vie chez RAMSAY en 1979.

En résumé : 89 % des personnes disent que leur âme n’était pas liée au fœtus avant 6 mois de gestation, ils pouvaient quitter ou entrer dans le fœtus à leur guise. De plus 5% ne se sont sentis attachés au fœtus qu’après la naissance ; ils pouvaient le quitter pendant l’accouchement ou même après la naissance. Cette question étant assez contreversée, il est intéressant d’avoir des éléments statistiques

L’esprit s’incarne donc à proximité de la naissance. Un exemple personnel, une amie a entendu en rêve, son futur bébé lui dire, que ce n’était pas l’heure, qu’il reviendrait et elle a fait une fausse couche la semaine suivante! Une autre personne, future grand-mère dans un mois a rêvé que le bébé était déjà là, il est né un jour plus tard, en avance de un mois.

Le cycle des vies successives

En synthèse de ce qui vient d’être dit, voici quelques schémas explicatifs sur l’intégration de l’âme dans le corps physique et la création du corps spirituel ou périsprit et de leur séparation lors de la mort:   diaporama

 . Issu du site AU DELA DU MIROIR 

Publié dans:AME, REINCARNATION, VIES ANTERIEURES |on 8 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

Méditation – Flamme jumelle

 

 Méditation – Flamme jumelle  dans INTRATERRESTRES - MESSAGES telechargement-51

  

Après-midi Différents aspects de l’union divine. Aspects sur les flammes jumelles. Les différents aspects auxquels il faut s’unir pour l’ascension :

L’ascension, c’est un mariage alchimique, c’est la grande union avec nous-mêmes, avec la totalité de notre soi divin, mais c’est aussi une union avec tout ce qui existe. Considérer notre union avec le Créateur consciemment, unifier vos énergies avec le cœur du Créateur, avec la terre mère ; Le christ planétaire est Maitreya et Sananda aussi, ils travaillent ensemble. S’unifier avec les différents royaumes qui existent sur cette planète ; Animal, végétal et minéral. Se sentir un avec les forêts, le vent, l’océan, comme si on était un avec tout ce qui existe. Ce processus va vous aider à perfectionner cette conscience d’unité. Il faut faire nous-mêmes notre travail d’unification jusqu’à un certain point ; Etre unifié, ce n’est pas un chamboulement, vous êtes tellement un avec la fleur, vous percevez, la communication est immédiate. Vous savez tout de suite les besoins. C’est un savoir, car vous êtes un. C’est comme des aspects de vous-mêmes. Quand vous réussissez à l’obtenir pour une chose, cette unification, c’est plus facile pour s’ouvrir à autre chose.

Les Flammes jumelles. Ma compréhension est limitée, c’est un concept assez vaste, j’admets que je ne comprends pas toutes les facettes de ce monde si vaste. Au début, Quand nous avons été crées, il y a eu 12 âmes, une sur chacun des rayons. ON peut comparer ces âmes à un œuf cosmique qui comprennent le féminin et le masculin sans séparation. Les 12premiers ont crée chacun 12 autres. Ce qui faisait 144. Chacun des 144 en eux-mêmes comprenaient l’énergie des 12 rayons. Et aussi, toujours dans l’œuf, le masculin et le féminin. Et nous avons évolué ainsi pendant très longtemps, des aspects des multiplications des premiers, toujours à l’image des premiers. Vous êtes crées à l’image Dieu. A chaque multiplication il n’y avait pas de diminution. Ils se sont multipliés sur tous les univers, galaxies, planètes. Nous avons laissé un grand nombre de nous un peu partout. La totalité de qui vous êtes est très vaste, plus vaste qu’on ne peut le concevoir en 3ème dimension. Je ne peux donc pas répondre à tout Nous avons descendu les dimensions en continuant à nous multiplier, en laissant des parties de nous, et quand on est arrivé dans la 7ème dimension, pour certains plus t^t, pour certains plus tard, La 7ème dimension en général, les œufs cosmiques ont décidé d’expérimenter les 2 polarités. Mâle et femelle ; C’était Dieu qui voulait mieux se comprendre dans ses polarités Alors vous êtes devenus mâle et femelle. Les 2 partie de c même œuf cosmique. Quelque part existe votre autre moitié. C’est ça votre flamme jumelle. C’est la même essence que vous dans des polarités différentes, On ne peut pas le changer. Nous avons continué à nous multiplier, plus on descendait, plus on se multipliait en grand nombre. Quand vous êtes venus après la chute, les flammes jumelles ont décidé de se séparer, D’expérimenter la vie l’un sans l’autre. C’est pour cela que nous sommes séparés. Le principe/ Vous avez une flamme jumelle, mais elle peut avoir de nombreux aspects. Il y en a toujours un qui est votre moitié ; Peu importe le nombre de reproductions. Chaque œuf cosmique contenait 12 chakras mâle et femelle. Qui vous êtes dans la plus grande totalité est un être de 12 paires de flammes, en tout vous êtes 24, mais toujours, la personne avec laquelle vous cherchez la relation romantique, c’est toujours la flamme du cœur. Les autres sont des âmes sœurs. C’est la famille spirituelle directe. Adama est ma flamme jumelle du chakra de la gorge et Ahnamar est ma flamme jumelle du chakra du cœur ; J’ai plus qu’une grande amitié pour Adama, mais lui aussi a sa flamme jumelle du cœur, mais c’est quand même un aspect de moi car on est 24 en tout.

C’est difficile à expliquer, je ne comprends pas tout, c’est toujours un défi ;

En 3ème dimension, il y a beaucoup de multiplications et les gens cherchent leur flamme jumelle. Les flammes jumelles du cœur s’incarnent très rarement en même temps. Ce que l’on appelle flamme du cœur sont des aspects des autres rayons. Il y a 12 femelles et 12 mâles, pour tout compliquer on a été obligés de s’incarner dans d’autres polarités dans plusieurs incarnations pour balancer le tout et comprendre les 2 polarités. Que fait-on de tout ça ? Trouver sa flamme jumelle dans la 3ème dimension, c’est comme chercher un aiguille dans une botte de foin ? La seule façon, c’est au niveau du cœur. Vous n’avez jamais été séparés au niveau du cœur, mais tout est en train de changer. Dans le processus d’ascension et même avant, de plus en plus seront réunis avec leur flamme ou différents aspects de leur flamme jumelle. J’essaie de mettre ça dans l’ordre pour que vous compreniez. Quand vous êtes prêts tous les deux dans votre évolution, c’est le grand soi supérieur, qui est le même pour les deux et même pour les 24, qui fait un appel cosmique dans tout l’univers. C’est comme un grand décret pour annoncer que ces 2 flammes peuvent retourner ensemble Quand cet appel a été décrété, cet impossible de rester séparé. L’univers va réarranger ça pour vous réunir. Le soi supérieur est réuni, les conditions alentour de vous vont changer pour vous réunir. Inutile de chercher votre flamme jumelle à l’extérieur de vous. Le plus rapide c’est de travailler votre évolution et de rencontrer votre flamme jumelle. J’ai contacté Ahnamar avant toute manifestation physique, je sais qui il est, j’ai même un anneau et une photo. Les choses, les liens les voiles s’amincissent. Il y a autre chose à comprendre : Personnellement j’ai fait un grand jugement contre des personnes qui étaient gays. Je ne pouvais pas comprendre pourquoi des personnes de m^me sexe s’attiraient. En réalité 2 féminins ne s’attirent pas, 2 masculins non plus. En réalité, l’alliance est toujours masculin, féminin ; Etant donné qu’on est parfois obligés de s’incarner dan la polarité opposée à notre polarité permanente, il y a un grand nombre sur cette planète qui sont dans la polarité opposée à leur polarité permanente. Dans les couples gays, il y a toujours un féminin et un masculin. On peut appeler une polarité féminine dans un corps d’homme, et rencontrer un autre homme, il y a souvent attirance. Il faut avoir de la compassion pour ces gens qui sont confus ? Entre polarité naturelle et les corps physiques. Ils sont jugés et pas très bien acceptés par la société. L’idéal serait que l’âme féminine dans un corps masculin devienne amoureuse d’une âme féminine et réciproquement, polarité équilibrée. C’est ce qui se passe la plupart du temps, ceux qui sont gays sont des exceptions. Tout cela complique encore les flammes jumelles. Des âmes à cause de certains karmas ne peuvent plus temporairement revenir dans leur polarité originale et c’est très inconfortable dans leur incarnation.

Difficile, sinon impossible de chercher sa flamme jumelle dans cette incarnation. Faire confiance, quand vous serez prêts, et l’autre aussi, la réunion se fera et sera très facilitée. Ne pas chercher, mais s’ouvrir. Un autre aspect de ce concept très simple :

Pour ceux qui sont en couple et bien ensemble, vos flammes jumelles respectives existent sur les autres dimensions. Il est maintenant permis d’expérimenter l’amour de vos flammes jumelles dans les autres dimensions avec votre partenaire. Il y a les différentes personnalités ; Mais quand vous travaillez sincèrement à votre union tous les deux, votre partenaire respectif graduellement prendra l’amour et les énergies de votre flamme jumelle.. C’est un cheminement qui peut s’ouvrir très merveilleux, si l’amour s’est vraiment développé avec votre partenaire présent, vous pouvez ascensionner ensemble ; et chacun retrouver vos flammes jumelles dans les autres dimensions. C’es un nouveau privilège dont vous pouvez maintenant bénéficier. Ce n’est pas simple, avant je croyais qu’on n’avait qu’une flamme jumelle mais on en a de nombreuses multiplications Dans les incarnations on expérimente souvent du temporaire avec nos âmes sœurs. Dans la famille spirituelle, il y a 12 chakras et 2 polarités, 24 polarités. L’être avec lequel ou laquelle vous désirez une relation romantique, celui qui a toujours été votre partenaire cosmique, éternellement, sauf pour la 3ème dimension, est la flamme jumelle du chakra du cœur. Les 22 autres sont des âmes sœurs. Les autres aspects crées, peuvent être considérés comme des âmes sœurs. Quand vous ascensionnez en 5ème dimension, vous fusionnez avec tous les aspects de votre flamme jumelle qui sont en 5ème dimension, c’est un bonheur sans pareil. Quand vous ascensionnez en 5ème dimension, vous ascensionnez avec tous les aspects de la flamme jumelle en 6ème dimension. C’est un des grands bonheurs de l’état ascensionné, c’est pour cela que vous redevenez si vaste.

Source : TELOS

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Une méditation guidée

Proposée par A.Boudet http://www.spirit-science.fr/doc_spirit/Lumiere.html
J’invite la lumière en moi

Une méditation guidée dans MEDITATION meditation_3_octobre_2012

Cette visualisation ou méditation guidée est extrêmement simple. Elle consiste à imaginer qu’on absorbe la lumière et qu’on la répand en soi. Vous pourrez la pratiquer allongé, assis, debout. En mémorisant l’enchainement, vous pouvez la réinventer pour vous, et la pratiquer n’importe où, y compris dans les transports en commun. Sa durée peut varier de quelques secondes à quelques minutes ou une heure: le temps que vous voudrez consacrer à suivre votre respiration.

Doucement, je prends conscience de ma respiration.

Je l’accueille, je lui laisse la place dont elle a besoin. Je l’invite à se répandre dans ma poitrine, dans mon ventre, dans tout mon corps.

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A chaque expiration, je me détends un peu plus, et je peux imaginer comme un courant qui vient balayer mes tensions, entrainer mes tensions vers les pieds et dans la terre. Toutes mes tensions, tous mes soucis, toutes mes petites préoccupations, sont entrainées, balayées, évacuées dans la terre.

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Et voici qu’un grand soleil apparait au-dessus de moi. Il rayonne une grande lumière et emplit tout l’air qui se trouve autour de moi de sa lumière. L’air est gorgé, imprégné de cette lumière pure et magnifique. Alors, à chaque inspiration, j’absorbe cette lumière, je l’inspire et un courant vital pénètre dans ma poitrine et se répand dans tout mon corps. J’inspire la lumière.

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Alors, pendant l’expiration, elle s’installe dans mon corps et pénètre dans mes cellules, dans les recoins les plus cachés, jusqu’au bout des doigts et des orteils. Elle effectue un travail denettoyage. Elle dissout, elle désagrège, elle dégage tout ce qui encombre mes cellules, tous les dépôts, toutes les encroutements. Les déchets sont dissouts, dégagés, évacués afin de permettre la libre circulation de l’énergie et de redonner de la souplesse à tous les tissus. 

J’inspire et j’absorbe. J’expire et j’évacue.

*******

Et voici la lumière qui maintenant vient réactiver la vie de mes cellules. Elle ouvre, elle dilate, elle soulage, elle réveille, elle redonne vie à la flamme intérieure de chacune de mes cellules. J’inspire et j’absorbe la lumière, j’expire et je la laisse se déployer à l’intérieur de moi.

*******

La lumière est tout autour de moi.
La lumière m’enveloppe.
La lumière me pénètre.
La lumière est en moi.
Je suis la lumière.

Doucement, je cesse cette transmission, je reviens à moi et je remercie cette lumière.

Publié dans:MEDITATION |on 7 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

Vous êtes un soleil


Archange Zadkiel, canalisé par Annelies Pélissier-Combescure, 16 octobre 2005

Vous êtes un soleil dans ASTROLOGIE a3

Bonjour à vous, enfants de la terre, enfants de la lumière. Je suis celui que vous nommez dans votre tradition l’archange Zadkiel. Ma joie est grande de m’exprimer ainsi à vous.

Vous êtes chacun enfants de la terre, enfants des étoiles, enfants de l’univers dans l’unité du tout. Chacun de vous portez en le diamant du cœur, le diamant de l’âme, un joyau, une source qu’il est temps de partager. Chacun de vous est un morceau de cristal, et lorsque ces multiples morceaux s’assemblent, c’est une merveilleuse œuvre d’art cristalline qui apparait et qui sert l’évolution de l’humanité.

Chacun de vous avez un trésor logé au plus profond du cœur, au plus profond de l’âme. Ce trésor ne demande qu’à être révélé, activé, partagé.

Pour révéler ce trésor, nous vous invitons à poser la paix en vous-même, poser la paix en les moindres cellules de tous vos corps. Accueillir l’énergie de l’amour de la Source, l’énergie de l’amour de la Vie, et vous reconnaitre vous-mêmes comme enfants de la Source.

Reconnaissez la beauté de la lumière à l’intérieur de vous. Alors cette lumière pourra rayonner dans la puissance de mille soleils, et ces mille soleils pourront mettre en place le plan divin, le puzzle divin, pour vous-mêmes, pour la terre entière.

Vous n’êtes point petits. Cette croyance est manipulation de l’égo, distortionné dans l’autodestruction. Vous êtes chacun un soleil. Permettez à ce soleil de devenir mille soleils. Chacun de vous a sa place dans son unicité, dans sa perfection.

Publié dans:ASTROLOGIE, CHANNELING |on 7 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

ne laissez pas l’ombre et la peur entrer dans votre esprit

cherchez la lumière 

 ne laissez pas l’ombre et la peur entrer dans votre esprit dans ESPRITS images-44

Sur votre route s’annonce une ouverture, un croisement vers de nouvelles destinations.
Ces destinations sont à votre portée.
Ces destinations sont le choix de vos décisions, de vos idées, de vos actes, de vos choix.
Tant d’évènements se produisent en ce moment.
Tant d’émotions aussi.
Cherchez la lumière et ne laissez pas l’ombre et la peur entrer dans votre esprit.

Regardez en vous cette lumière qui brille et suivant le chemin qu’elle éclaire en vous. Cette route est lumineuse et vous dirige vers le mieux-être. Cela fait peur parfois. Oui, le chemin de votre coeur est quelquefois sinueux à vos yeux; pourtant c’est le plus juste et celui qui vous rend heureux. Écoutez votre coeur. Écoute votre intuition, votre voix.

Tout bouge et même trop vite.
Suivre le mouvement n’est pas toujours aisé.
Rester centrer et détacher pour y arriver.

Doan

Source: http://posid.blogspot.ca/

Publié dans:ESPRITS, LUMIERE |on 7 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

L’aliment idéal

L'aliment idéal dans CO-CREATION images-4

Marie-Françoise Tesson, au LAPATS (Laboratoire associatif pour l’application des tests sensibles), à Frechendets, dans les Hautes-Pyrénées, travaille surtout pour l’agriculture biologique et assure des stages d’initiation à la méthode. Les tests sont faits « en aveugle » – le manipulateur ne connaît pas la provenance des produits testés, ce qui évite tout biais inconscient. A l’oeuvre depuis sept ans, Marie- Françoise Tesson résume :
« On voit très bien l’affaiblissement vital dans les produits congelés, la farine ou le sucre raffinés, le lait U.H.T., les aliments cuits aux micro-ondes, et de manière générale dans les produits issus de l’agriculture dominante. Mais on ne peut pas systématiser : il nous est arrivé d’obtenir de piètres images avec des produits de culture bio elles indiquent alors un manque de savoir-faire ou des productions trop intensives, des cultures hors-saison. »

« L’aliment idéal doit présenter un équilibre entre la force de croissance, influencée par la terre, qui se voit à la densité des stries, et la force d’ organisation, dépendante du cosmos, révélée par la netteté de la structure. Les images les plus équilibrées viennent le plus souvent des produits de l’agriculture biodynamique. La culture biologique classique donne des images d’une grande vitalité, mais qui manquent un peu d’organisation. « 

« Nous sommes toujours à la recherche de nouvelles pistes et de nouvelles comparaisons. Le domaine est immense, il faudrait que des laboratoires se multiplient et se spécialisent. La cristallisation peut révéler toutes sortes d’influences inattendues.

Par exemple, nous avons testé des pains pétris le même jour par plusieurs stagiaires. A partir des mêmes ingrédients, avec la même cuisson dans le même four, on obtient des images différentes. Certaines personnes bonifient la qualité du pain, d’autres pompent de l’énergie… « 

Bientôt, le LAPATS proposera un « label », établi sur la base de contrôles réguliers, pour les producteurs qui le désirent. Et un jour, qui sait, on pourrait voir apparaître, sous forme de vignettes sur l’emballage, des photos de cristallisation sensible. Chacun pourrait alors se faire un jugement. Même si l’interprétation fine demande une formation spéciale, l’appréciation simplement esthérique se trompe rarement : comme par hasard, les plus belles images correspondent aux meilleurs produits I

  Par Jean-Pierre Lentin

Publié dans:CO-CREATION, DEVELOPPEMENT, GUERISON |on 6 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

réincarntion des animaux

réincarntion des animaux dans ANIMAUX images-3

A notre époque nous avons évolué dans notre vision des animaux. Nous ne les considérons plus comme des automates, mécanique sans âme, comme les appelait Descartes. 

Ils sont capables de beaucoup de sentiments humains. La tendresse et l’amitié existent entre eux et envers leurs maitres humains. Ils sont capables d’aller au secours de leur congénère, certains donnent leur vie pour sauver un maitre, une maitresse !

  Ils sont aussi médiums. Il n’est pas rare qu’ils découvrent la présence d’une entité dans son corps spirituel qui ère dans la maison. S’ils la connaissent, ils lui font la fête, dans le cas contraire, ils font leur travail de gardien et jappent après l’intrus. Nous avons vécu ce cas avec un élève de Laurence qui, après son décès, est venu changer ses chaussures de place dans la maison familiale et que le chien à pris en flagrant délit. Il lui a fait la fête, ce qui a beaucoup surpris la maman, qui ne s’est aperçu des « frasques » de son fils que plus tard.  

Nous pouvons nous poser à leur sujet, les mêmes questions que pour les hommes :   

  • Survivent-ils à la mort : ont-ils une âme ?
  • Doivent-ils évoluer : vont-ils se réincarner ?
  • Que font-ils à la fin ce cycle de réincarnation : passeront-ils dans le domaine des humains ?  

Il existe beaucoup moins de messages d’animaux que de messages d’humains depuis l’Au-delà. Comme il n’existe pas de preuve absolue de la survivance des hommes, à fortiori, il n’existera pas de preuves absolues de la survivance des animaux.   
Les messages obtenus en séance de médiumnité rappellent les conditions de vie de l’animal dans la famille d’accueil. Certains animaux remercient leur maitre d’avoir abréger leurs souffrances en les faisant euthanasier. D’autres animaux viennent prévenir leur maitre que leur copain (animal) dans la même famille est malade, que cela ne se voit pour l’instant, mais qu’il va falloir le faire soigner. Ce type de message est déjà plus complexe. Cela semble répondre à la première question en affirmant qu’ils ont une âme qui survit à la mort. Rien ne prouve qu’il ne s’agisse pas d’un message provenant d’une entité humaine dans l’Au-delà, venue nous rassurer sur le devenir de notre animal préféré ! Il ne peut y avoir de preuve absolue !  

La réincarnation des animaux

Une médium très connue, raconte l’histoire suivante. Son mari qui était aveugle avait eu plusieurs chiens d’aveugle pour le guider dans ses déplacements. Après la mort de son mari et du dernier chien d‘aveugle, Michèle a reçu en cadeau un jeune chien qui n’avait pas et qui n’aura pas, par la suite, de formation pour être chien d’aveugle. A l’âge adulte, ce chien développera des capacités de guidage identiques à celles d’un chien d’aveugle ! Pour Michèle, ce chien était la réincarnation d’un des précédents chiens de son mari. Cette histoire peut apporter une réponse à la deuxième question : les animaux se réincarnent ils. Pour cette question, comme pour la précédente, il ne peut y avoir de preuve absolue !  

Depuis quelques années, nous voyons publier des livres parlant de communication avec les animaux. Les communications avec les animaux vivants permettent de mieux les soigner, car ils disent ce qui les fait souffrir. Mais il existe également des communications avec des animaux décédés. Le dernier livre de Kim Shéridan (1) est très instructif, il raconte, entre autre, l’histoire d’une colonie de rats, dont certains se réincarnent plusieurs fois dans la même famille.  

Dans le chapitre 19 de son livre, Kim Sheridan, s’insurge contre la théorie de l’âme-groupe. 
« Une autre théorie courante que j’ai entendue est que les animaux n’ont pas d’âme individuelle, qu’ils sont simplement une partie d’une « âme de groupe» au mieux, et rien de plus. Une fois qu’ils meurent, ils fusionnent avec une conscience de groupe animale et leur individualité, leur personnalité unique s’en va pour toujours. D’innombrables personnes sont venues vers moi en larmes après qu’elles aient entendu cette « théorie» par quelqu’un vers qui elles s’étaient tournées pour avoir du soutien pendant qu’elles pleuraient la perte d’un compagnon bien-aimé, un compagnon qui n’existe plus vraiment, leur a-t-on dit. » 

Mais dans toute son existence, Kim Sheridan a adopté et vécu avec des centaines d’animaux et elle nous confie seulement le destin exceptionnel d’une dizaine de rats, dont quatre qui se sont réincarnés dans sa maison. Et les autres? N’avaient-ils pas le même rapport de sociabilité avec elle et avec les humains, n’avaient-ils pas la même aura ? Voyons donc cette théorie de l’âme-groupe décrite par Raoul Montandon.  

« Imaginons une chambre divisée en deux par un rideau, dont un côté représente le monde Astral et l’autre le monde physique. Supposons que de chaque côté se trouve un homme. Ces deux êtres ne peuvent ni se voir ni se rencontrer. Dix ouvertures sont pratiquées dans le rideau; l’homme placé dans la division représentant le monde astral peut, à travers ces ouvertures, faire passer ses dix doigts dans la division représentant le monde matériel. Cet homme donne une excellente image de l’âme-groupe. Les doigts représentent les corps des animaux appartenant à une même espèce. Il peut les mouvoir comme il l’entend; Il ne peut cependant pas les utiliser aussi intelligemment, ni aussi librement que le peut l’homme, qui arpente la division physique, lequel peut se servir de son corps. Ce dernier voit bien les doigts en mouvement, mais il ne se rend pas compte du rapport existant entre eux. Ils lui paraissent être tous distincts, les uns des autres. Il ne peut deviner que ces doigts sont ceux de l’homme caché derrière le rideau et que leurs mouvements sont dirigés par son intelligence. S’il blesse un de ces doigts, ce n’est pas seulement lui qu’il meurtrit, mais surtout l’homme qu’il ne voit pas. Un animal blessé souffre, mais pas au même degré que son âme-propre. Le doigt n’a pas de conscience individuelle, il se meut au gré de l’homme qui le dirige. Les animaux en font de même suivant les impulsions de l’âme-groupe. Nous parlons «d’instinct animal», «d’instinct aveugle», et cependant il n’y a rien d’aveugle dans la manière dont l’âme-groupe guide ses membres. Il n’y a là que de la sagesse… »  

« Ainsi, tandis qu’il y a dans chaque homme un Ego distinct et conscient de lui même, qui domine ses actions, le fragment divin de chaque animal n’est pas encore individualisé et conscient de lui-même, mais fait partie du véhicule d’une entité consciente, l’âme-groupe, qui appartient à une évolution différente. Ce que nous venons de dire, conduit à considérer l’âme-groupe comme une sorte de réservoir commun d’instinct et d’intelligence, dans lequel viennent puiser un certain nombre d’individus incarnés dans des corps de chair. Moins le groupe, ou l’espèce, sera évolué, plus le nombre d’individus mus par une âme-groupe sera élevé… »  

« Il résulte de ceci que les animaux qui sont en contact direct avec l’homme et qui vivent dans son intimité, trouvent ainsi l’opportunité de faire certaines expériences, d’acquérir certaines qualités qui auront une répercussion sur l’âme-groupe, la modifiant insensiblement dans le sens de ce qui distingue l’humanité de l’animalité. En sorte que le commerce humain représente, pour les animaux domestiqués ou asservis, le gage d’un progrès à venir, dans la longue lignée de l’évolution… »  

Cette conception de l’âme groupe est contestée par certains dont Jean Prieur (3) qui la réserve uniquement aux animaux à sang froid.  

copyright 44825 et 48052. Propos issus du site AU DELA DU MIROIR http://www.audeladumiroir.fr/animaux.html

Publié dans:ANIMAUX, REINCARNATION |on 6 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

l’éveil du discernement supérieur

l’éveil du discernement supérieur dans CHANNELING images-2

 

Jusqu’à présent les canalisations mettaient l’accent sur l’ouverture du cœur, sur le dépassement de l’indifférence et des habitudes de méfiance, sur l’intégration d’une image pacifiée de soi-même pour que les contacts soient harmonieux et paisibles, que l’énergie puisse circuler et transmettre à sa manière.

Il était nécessaire et urgent de rejeter cette manie de mépriser les sentiments des autres, de manquer de spontanéité et de manigancer des subterfuges pour piéger ceux qui ne rentrent pas dans vos espérances, qui ne répondent pas aux questions telles que vous désirez les conduire. Ce contrôle des autres, cette dictature psychologique de faire entrer les gens dans des cases préétablies sur des modèles faciles à gérer, simplifiés ; (« Allô quoi ! » « ‘t’es une fille t’as pas de shampoing !?? »  Traduction  = La case « fille » signifie que l’on se promène avec du shampoing !!  C’est trop un génie !)

Bref,

Maintenant, que vous avez dépassé ces aspects néfastes à votre développement moral et spirituel : que vous acceptez vos émotions telles qu’elles se présentent, que vous regardez en vous-même sans complaisance pour vos faiblesses, avec la compassion nécessaire pour ne pas vous jugez et ajouter encore à votre habituelle culpabilité cette honte que vous trainez à propos de tant de choses inutiles, vous avez dû remarquer que ceux qui s’absolvent et s’acceptent ne sont coupables de rien, et même accusés, ils sont moins coupables, seulement « un peu responsable ». Il n’y a pas d’injustice bien que cela vous blesse parce que de nombreux menteurs vous demandent d’être bien gentils et qu’ils vous arnaquent, sous une forme ou une autre par ce biais. Les cicatrices de l’orgueil blessé sont d’excellents moyens d’apprendre vos limites de pouvoir et vos failles et d’ouvrir l’œil de la conscience afin d’acquérir le discernement dont on a besoin pour grandir.

Le monde existe grâce au consensus, à l’empathie et à l’acceptation des compromis. Depuis toujours les plus volontaires ont dû admettre leurs limites de pouvoir et accepter que l’Esprit a son propre Plan, son rythme n’étant pas le nôtre. Certains désirent vivre l’apogée de la rencontre entre les plans élevés de conscience en leur vie d’aujourd’hui, c’est possible lorsque l’on cède à l’Esprit qui nous habite chacun personnellement. Cette concession de temps destiné à l’écoute et à l’Intériorité regarde chacun et ensuite se partage spontanément, grâce à l’amour que l’on reconnait chez les autres. Voir l’Amour qui traverse les âmes et les ombres qui les obscurcissent ne rend pas vulnérable à leurs fadaises mais aide à dépasser le jugement moral sous-jacent et à les accepter dans leurs bons et leurs mauvais aspects, chaque part étant utile. Après tout dans les bonnes histoires, le Golum tient son rôle et collabore à la réussite tout autant que les fiers compagnons de l’anneau.

Le monde continuera de mentir, mais vous ne croirez plus à ses mensonges, exagérations et trucages, si c’est votre choix. Cela ne signifie en rien que vous devrez vous battre pour faire éclater des vérités dont –depuis la nuit des temps- personne ne veut entendre parler. La vérité est un point de vue, qui change selon ce que l’on cherche et le niveau que l’on a atteint pour la trouver. Les vérités les plus hautes, les plus pures sont aussi un peu cruelles pour les aspects mous et sensibles pour lesquels nous avons de la tendresse et que nous préservons. C’est pourquoi chacun doit connaître ce qu’il est capable d’aimer et d’accepter comme vrai et authentique pour lui-même. La seule chose vraiment utile est d’aimer ses choix et de les accepter dans leurs bons et leurs mauvais côtés. Ainsi on assoit son pouvoir énergétique dans ce que l’on est : seul le pouvoir que l’on a sur soi-même sert de levier évolutif.

 J’ai appris que lorsque les conditions l’exigent, on doit s’y adapter et ne pas taper du pied en caprices stériles avant d’atteindre le degré supérieur, bien que chacun soit profondément aimé et compris on ne peut s’élever sans d’abord ouvrir les yeux sur les conséquences de ses comportements et prendre le temps de les changer. Sans changement de comportement, il n’y a pas de changement positif qui s’établira pour les êtres humains.

C’est l’énergie qui fait le lien entre aujourd’hui et demain et l’énergie s’inscrit par nos actes. Dans les concepts des chamans, on dit que l’impeccabilité, la cohérence entre l’acte, la pensée et l’intention est l’arme la plus efficace pour réussir. Chez les maîtres zen, il s’agit de faire corps avec l’arc, la flèche et la cible pour réussir. Etre léger comme l’Esprit, stable comme la montagne, puissant comme le soleil. Il y a encore un peu de travail, non ? 

issu du site : http://www.lilaluz.net/

Publié dans:CHANNELING |on 6 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

Ce que l’exil les oblige à créer


Par Thich Nhat Hanh

Ce que l'exil les oblige à créer dans ASCENSION images-81

Commence pour la Communauté de l’Inter-Être, en exil à Paris, une période difficile et pourtant riche de potentialités insoupçonnées. D’une façon quelque peu similaire à celle des Tibétains après l’invasion chinoise de 1959, ces Vietnamiens vont se trouver dans l’obligation de créer des modes d’expression nouveaux, adaptés non seulement à leurs concitoyens, mais à tous les humains.
Au début, c’est impossible. Ils pensent à leur pays 24 heures sur 24. Et ce que les medias leur disent des boat people, qui tentent de fuir le régime communiste, ne leur laisse pas le choix : tous leurs efforts sont tendus vers le Golfe de Siam, où ils interviennent avant même l’appareillage de l’Île de lumière de Bernard Kouchner… Mais à la longue, l’impuissance les ronge (Thây ne s’en sort qu’en écrivant des poèmes et des nouvelles pour enfants). Installée en camping, dans une ferme proche de Paris, la « Communauté des patates douces », comme ils s’appellent pour rire, est menacée par l’amertume.

Leur sursaut va se faire en plusieurs étapes… D’abord, ils se trouvent confrontés à des milliers de Vietnamiens arrachés à leur pays, aux familles séparées et détruites. Beaucoup de ces gens vont si mal qu’ils se retrouvent en psychiatrie, mais sans succès. Ce sera l’un des premiers résultats frappants, en Occident, du « retour au bouddhisme originel » de Thây. Revenant aux bases de l’enseignement du Bouddha, c’est-à-dire à une méthode pragmatique pour :

• respirer consciemment,

• arrêter l’agitation et la dispersion mentales,

• regarder profondément en soi,

• y distinguer la souffrance…

• l’apaiser

• réaliser qu’il n’y a pas de coupure entre soi et le monde,

• différencier en soi les graines de la colère de celles de la conscience,

• arroser ces dernières…

le maître vietnamien réussit à remettre en selle des centaines de ses compatriotes en état de « traumatisme lourd », que la médecine occidentale ne sait comment soigner.

Qui rêverait d’une meilleure démonstration pour éprouver une technique de « développement personnel » ? – terme que Thây ne récuse pas, mais complète : « Il s’agit d’un développement personnel… et collectif ! Les trois précieux trésors ne sont-ils pas, indissociablement liés, le Bouddha (dont l’histoire prouve que tout humain peut connaître l’éveil), le Dharma (la nécessité de s’appuyer sur l’enseignement d’un grand éveillé) et la Sangha (la communauté des pratiquants, qu’ils soient moines et moniales ou laïcs) ? » Sous sa douceur légendaire, le maître n’a pas dévié d’un degré son cap vers le projet de départ : fonder une communauté nouvelle qui respecte le bouddhisme originel. La fondation d’un nouvel ordre, non sans affinité avec les Franciscains, revêtus, comme eux, d’une robe marron, signe d’humilité et d’amour de la nature. De fait, Thich Nhat Hanh va prendre l’initiative d’ordonner des moines et des moniales, hors de la stricte tradition orthodoxe (qui exigerait la présence d’au moins dix moines certifiés), faisant avec les premiers postulants le voyage jusqu’en Inde, à l’endroit où le Bouddha lui-même a enseigné et où l’ordination prend une force particulière. C’est ainsi qu’après plus de dix ans d’attente, Cao Ngoc Phuong va devenir Sœur Chân Không  – confirmant son rôle de première assistante de Thây…

Quand arrive le début des années 80, une évidence s’impose : leur exil va durer. Thich Nhat Hanh et sœur Chan Khong se mettent alors à la recherche d’un endroit propice pour édifier, en France, le monastère que Thây n’a pas eu la chance de pouvoir fonder au Vietnam. Un monastère qu’il imagine depuis longtemps : ouvert aux laïcs autant qu’aux moines ; servant de lieu de pratique sociale, autant que de centre de méditation ; en résonance avec le monde moderne, mais aussi avec les splendeurs de la nature ; où le catalyseur sera le bouddhisme, mais où les pratiquants d’autres spiritualités se sentiront à l’aise.

Leur premier voyage les amène en Provence. Mais le mistral est trop fort et rend Thây nerveux (Sœur Chân Không en rit encore). Le Bordelais et la Dordogne leur vont mieux. C’est là, à quelques kilomètres de Ste-Foy-la-grande, qu’une série de coïncidences vont leur permettre d’acheter, au fil des années, une, puis deux, puis trois anciennes fermes – baptisés Hameau du bas, Hameau du haut et Hameau nouveau. Un ensemble que Thich Nhat Hanh nommera « le village des pruniers », en référence à un arbre vénéré par les bouddhistes – symbole d’éternité – et dont il plantera mille deux cent cinquante spécimens (chiffre sacré) sur ces terres d’un monde nouveau.

Deux types de population vont se côtoyer là : d’une part des moines et moniales, observant sans faiblesse – avec, semble-t-il, plus de rigueur qu’ailleurs – les cinq préceptes définis du temps du Bouddha (pauvreté, chasteté, fraternité…)  ; d’autre part, des laïcs venus de tous les horizons, d’abord de la diaspora vietnamienne, puis de la mouvance bouddhiste française (beaucoup de soignants et de psychothérapeutes), puis du monde entier et notamment des États-Unis, où Thich Nhat Hanh n’a jamais cessé d’être considéré comme un guide spirituel de haut niveau. Peu nombreux au début, les moines et moniales sont aujourd’hui (été 2006) environ deux cent cinquante, à parts égales entre hommes et femmes ce qui représente désormais un ordre de belle importance. Les laïcs, de plus en plus nombreux, sont rarement moins de six cents, aux retraites que la Communauté de l’Inter-Être organise plusieurs fois par an…

Des retraites qui constituent une forme précieuse de ressourcement, encadrées de différentes façons :

• par l’enseignement de Thây, toujours aussi chaleureux, doux, humain, souvent axé sur les difficultés relationnelles et les souffrances amoureuses des participants ;

• par des séances de relaxation, souvent murmurées et chantées, dans un lâcher prise enviable, par Sœur Chân Không, qui a gardé une voix de jeune-fille ;

• par des rituels de salutation – les Touchers à la terre -, où chacun est invité à se prosterner sur le sol, à plusieurs reprises, prenant conscience chaque fois de ses propres ancêtres : d’abord biologiques et familiaux, puis culturels et nationaux, enfin spirituels et essentiels ;

• par des marches méditatives, souvent menées par Thich Nhat Hanh lui-même, à travers la campagne… ou en pleine ville, comme ce sera le cas, cet automne, à Paris.

Par ailleurs, Thây voyage énormément, en particulier aux États-Unis, où il a fondé deux mini-monastères (en Californie et au Massachussetts). Un peu partout, il donne des conférences, aussi bien auprès des dirigeants d’entreprises que des détenus en prison, avec un principe simple : entrer en résonance avec le type de souffrance spécifique au groupe visité. Tout le monde souffre, mais chacun à sa façon. Ainsi prône-t-il une « compassion de caméléon ». Le bouddhisme lui-même ne s’est-il pas toujours adapté aux cultures locales, tibétaine au Tibet, chinoise en Chine… ?

Le plus émouvant de ces voyages a eu lieu début 2005 et a duré trois mois. Après trente-neuf ans d’exil, le maître bouddhiste venait enfin de recevoir l’autorisation de retourner dans son pays.

CONTACT : Le Village des Pruniers : Le Pey,
24240 Thénac – www.villagedespruniers

Publié dans:ASCENSION, DEVELOPPEMENT, ENERGIES, MAITRISE |on 5 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

La Force de l’autocensure et l’Esprit de Séduction.


Qu’est-ce que l’autocensure vient faire avec l’esprit de Séduction? C’est ce que je vais vous montrer ! 

 

 La Force de l’autocensure et l’Esprit de Séduction. dans ACCORD images-71

Les femmes sont assujetties au regard des hommes, c’est un fait, la séduction est inhérente au besoin de survivre et les femmes ont besoin -dans les circonstances difficiles des débuts de l’humanité-  de la force du mâle. De leur côté, les hommes sont habitués à obéir à leur chef de meute. Ce chef de meute peut-être un leader politique, ou leur mère, tout dépend de leur âge et du contexte !  

On peut dire que lorsqu’il s’agit d’entraide, les femmes s’imposeront l’autocensure immédiate : depuis des millénaires elles sont soumises à leurs ovaires et cette loi  de discrimination et d’infériorisation se transforme en obsession de la Séduction. Pour peu que leur famille soit axée sur l’obtention de pouvoir par n’importe quel moyen, les filles sont des instruments de valeur, des outils de séduction et d’obtention de faveurs : on leur apprend à utiliser leur corps comme moyen de valorisation de leurs compétences. Cette séduction sensuelle est ouvertement utilisée dans tous les systèmes de pouvoir et quoi qu’on dise les mœurs sur ce point n’évoluent pas  à cause  des femmes.

Les plus ardents défenseurs de la misogynie sont les femmes. Cette injustice notoire n’est pas pratiquée par des hommes mais par des femmes sur les plus jeunes, ce qui permet aux hommes de se placer aux postes d’envergure, même lorsqu’ils n’en n’ont pas les compétences : ils reçoivent le crédit moral, la récompense tandis que d’autres travaillent à leur mâcher le travail, car les femmes sont incapables de s’allier entre elles, incapables de se donner une chance les unes aux autres car trop soumises à leurs hormones, elles n’ont pas d’objectivité et de véritable égalité dans la tête quand il s’agit de comprendre les autres femmes de manière professionnelle et sans parti pris. Ce qui domine est la référence ovarienne : j’appelle référence ovarienne, l’impact des hormones de séduction sur les autres femmes qui discrédite celles qui ont un potentiel inférieur et/ou supérieur suivant la menace que ce potentiel représente pour l’auto-estime du détenteur du pouvoir.

La beauté, l’harmonie sont des facteurs discréditant lorsqu’il s’agit d’être prise au sérieux et n’importe quel homme –moins professionnel et moins compétent- recevra des femmes plus de respect et d’avantages qu’une femme dont il semble qu’elle n’a jamais suffisamment de compétences professionnelles pour recevoir le crédit moral dont elle aurait besoin pour progresser. Cette soumission à l’ancestralité est la cause des injustices faites aux femmes. Cet état de fait existe dans tous les milieux, mais plus particulièrement dans les élites, qui continuent de penser que les plus forts sont également les plus aptes à manager les autres.

Il est  pourtant évident que la force n’a plus besoin d’exister dans un monde où tout est automatisé et que l’industrie lourde disparaît progressivement de nos pays éco-labélisés. Dans ce cas, comment expliqué à nos enfants que le mariage entre personnes du même sexe et l’égalité des droits ne soient pas valables lorsqu’il s’agit des compétences professionnelles et des rémunérations ? Cela fait presque 200 ans que les femmes travaillent dans les mêmes conditions que les hommes, à des postes tout aussi variés et malgré cela, il semble encore normal à tout le monde qu’une femme ne peut pas…….la liste est trop longue et puis ça va m’énerver ! 

 En quoi une femme est-elle moins valorisable par ces aptitudes (hors mensurations corporelles) ? Pourquoi faut-il toujours préférer les paroles des hommes, leur discours surannés à la modernité et à la fluidité de la femme moderne? Femme moderne signifie hors caste sociale, qui s’est extraite des conditionnements religieux, qui s’est extraite des conditionnements sexuels et qui ne se laisse pas dominer par les tendances ancestrales à la soumission devant les hommes. La complémentarité  entre les individus existe. Elle est nécessaire et  indépendante du genre (des trucs sexués) 

Le droit de réussir une vie complète (réussite à chaque niveau de chakra) ne doit pas être réservé à quelques privilégiés : réussir une vie familiale, professionnelle, une vie solaire (extravertie) et lunaire (intuitive et réceptive) ne peut pas être réservé à l’élite des hommes. Je déplore cet état de fait dans le monde du New Age et des « avancées spirituelles » : il y a encore beaucoup trop à changer dans les têtes, qu’on se le dise, les hommes ne sont pas de meilleurs mages, ils sont simplement plus égoïstes et tournés à la réussite professionnelle exclusivement. Or, la spiritualité est un secteur où l’étape de croissance concerne les 2 sexes, les 2 énergies et 2 façons de fonctionner opposées : ceux qui n’arrivent pas à les unifier, « ensemble » dans la même pratique, ont raté l’épreuve !

Se priver d’une expression énergétique, par exemple ne pas avoir d’enfant, est une autocensure, une diminution des potentialités et cela n’a rien de glorieux. Nous sommes terriens, nous devons utiliser chaque potentiel au meilleur de ses possibilités. C’est ce que l’on appelle la « maîtrise »…au cas où certains voudraient se vanter sans en avoir vraiment les moyens. Léviter n’est pas ce que l’on nous demande, le but de l’existence est l’Harmonisation du Corps, de l’Esprit avec la transcendance spirituelle, l’éclairage de l’Intelligence Divine qui réside en soi, la partie évoluée et non-encastrable dans la linéarité du quotidien. Cette intelligence est « reseau », fluidité, légèreté et entraide. J’attends toujours d’en voir les effets!

Réagir n’est pas ma tasse de thé mais on dirait que le monde n’est pas prêt de changer à voir les habitudes sexistes perdurer…Y-a-t-il de vraies femmes modernes quelque part ? Allô ? Lila

issu du site : http://www.lilaluz.net/

Publié dans:ACCORD, ESPRITS, GUERISON, HUMANITE |on 5 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

Accélération du temps


 Accélération du temps dans 2014 - PRÉDICTIONS telechargement-5

 Vous êtes aujourd’hui dans une phase aigüe de désorientation superficielle pour certains, profonde pour d’autres.
Vous êtes toujours ici sur cette terre.

Vous êtes toujours sur un chemin d’espérance et d’Amour, accompagnés par vos Guides et baignant dans ces nouvelles énergies.

Vous vous fondez le plus souvent en elles, mais parfois replongez dans une zone intermédiaire de laquelle vous ne pouvez plus vous fier à vos radars énergétiques.

C’est dans cette zone que grouillent de multiples énergies suffisamment volatiles pour ne plus être totalement engluées dans l’ombre, mais encore trop lourdes pour fusionner avec l’énergie de la nouvelle ère.

Vous pouvez très bien vous rendre compte de tout ce que Je vous transmets ici.

Mais il est parfois difficile de faire vraiment la différence, parce que vous êtes souvent encore en mouvement, entre le haut et le bas, encore insuffisamment stables dans cette nouvelle énergie, mais aussi et surtout à cause de l’accélération du temps qui crée des difficultés d’adaptation et donc la désorientation.

Rassurez-vous cependant. Vos horloges internes sont en train d’évoluer.

C’est-à-dire que vous n’aurez bientôt plus cette même notion de temps, puisque vous pourrez adapter le temps à vos besoins et non plus le contraire.

Cette période transitoire d’adaptation est nécessaire, mais vous serez bientôt à nouveau beaucoup plus stables et en harmonie avec les nouvelles fréquences.

Yehaweh

Transmis à Cathy/Hinri – avril 2013 – Richesses du site http://www.lumieresdelaudela.com/

Publié dans:2014 - PRÉDICTIONS, TEMPS |on 5 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

Le Web : la mutation du savoir universel

Le Web : la mutation du savoir universel dans 2014 - PRÉDICTIONS telechargement-11

Evidemment, le grand exemple d’intelligence collective sur le Web, c’est Wikipedia, l’encyclopédie dont tout internaute peut devenir le coauteur. Ou Google, qui permet à l’humanité d’aller piocher dans tout le savoir universel. Pas étonnant que la réflexion sur l’intelligence collective soit partie des laboratoires de sociologie et d’anthropologie de la cyberculture, à la fin des années 1980. L’un de ses principaux visionnaires est l’historien des sciences franco-canadien Pierre Lévy, directeur d’une « chaire de recherche en intelligence collective » à l’université d’Ottawa. Selon lui, nous sommes tout bonnement en train de vivre une mutation majeure de l’hominisation. A Homo sapiens succède Homo communicans, qui évolue dans un nouvel espace anthropologique. Après l’espace de la Terre (l’homme préhistorique), l’espace du territoire (le paysan du Néolithique) et l’espace de la marchandise (l’homme de la Renaissance), l’espace du savoir est en train de nous faire basculer dans une dimension encore jamais vue, où la valeur réside désormais davantage dans la connaissance que dans le capital ou le travail. Reliés les uns aux autres par le World Wide Web, qui pénètre jusque dans nos vies intimes, nous traversons, selon Lévy, un passage aussi puissant que celui de l’invention de l’écriture, il y a 7000 ou 8000 ans.

Cette mutation intensifie notre intelligence collective, que le visionnaire définit en trois points :

- chacun sait quelque chose ;

- nul ne sait tout ;

- l’échange est la clé de tout progrès.

Certes, admet-il, les groupes sont souvent décevants. Mais le cyberespace change la donne. Il permet une intelligence « partout distribuée, sans cesse valorisée, mise en synergie en temps réel, et aboutissant à une mobilisation effective des compétences individuelles ».

Cette vision très optimiste est tempérée par une réserve :

selon Pierre Lévy, la croissance de l’intelligence collective est actuellement freinée par le relativisme du Web, dont les informations sont entassées dans le plus grand désordre. C’est une régression : comme les encyclopédistes et bibliothécaires d’il y a trois siècles, les créateurs de moteurs de recherche d’Internet doivent donc d’urgence inventer un « métalangage », qui puisse apprendre aux ordinateurs à percer l’énorme opacité qui rend actuellement 85 % des données du Web inaccessibles. C’est ce à quoi Lévy lui-même consacre désormais son temps.

 Vers une conscience collective – Y a-t-il moyen de vivre l’intelligence collective autrement qu’en pianotant sur un ordinateur ? Cette question devient un thème de développement personnel. Gestion par consentement, sociocratie, vision partagée… autant d’approches qui invitent à découvrir que les rêves individuels se réalisent mieux en rejoignant une quête collective. Parmi les professionnels du thème, Jean-François Noubel, cofondateur d’AOL France et consultant en ressources humaines dans les entreprises high-tech, a fait du passage vers une nouvelle conscience l’objet d’un enseignement qui distingue trois âges dans l’évolution humaine (voir le site www.thetransitioner.org) :

1. L’intelligence collective originelle du clan persiste dans tout petit groupe – équipe sportive, orchestre, bande. Le leadership y repose sur une compétence reconnue par tous et la règle de l’échange y est le don. Mais elle a ses limites : il faut être dans le même espace et assez peu nombreux pour pouvoir se parler, se toucher.

2. Avec l’écriture et l’Etat, est apparue l’intelligence collective pyramidale. Dirigée par une minorité, fondée sur la division du travail et la rareté monétaire, elle a permis la civilisation – des pyramides au cyberespace. Mais elle sous-utilise le potentiel humain et a engendré une complexité qui la dépasse désormais.

3. Nous sommes donc en train de muter vers une intelligence collective globale, qui retrouve les qualités de l’intelligence originelle, tout en les intégrant au « village planétaire » du cyberespace. L’esprit de coopération y est de mise, ce qui signifie obligatoirement un travail personnel d’introspection et d’initiation à la communication non violente.

 

Publié dans:2014 - PRÉDICTIONS |on 2 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

D’où vient cette famille ?

D’où vient cette famille ? dans INTRATERRESTRES - MESSAGES images-h

C’est l’histoire des premiers Lémuriens qui sont venus sur cette planète il y a 4 millions d’années. Les premiers sont venus d’un autre univers à la demande du créateur, pour apporter sur la planète la conscience christique. Parce que eux l’avaient déjà atteinte. Le nom de cet univers est DAHR, de la constellation de Cassiopée, planète Lémur. Ils sont venus de la terre de Mù dans le grand vaisseau de Mù. Sananda était le capitaine du vaisseau quand les premiers lémuriens sont venus. Il m’a dit : Je crois que c’était ton vaisseau. C’était une grande famille spirituelle, ils ont contourné la planète pendant un certain temps. Il y avait déjà certaines civilisations paisibles mais pas très évoluées. L’idée était que les lémuriens leur enseignent la conscience christique. Après avoir observé, ils se sont décidés à descendre. Les premiers à être descendus étaient Adama et Aurélia ( je ne suis pas l’Aurélia originale)- un aspect seulement,, pas moindre, ce sont seulement des âmes pl us jeunes., on est tous des aspects des originaux qui sont retournés sur la terre de Mù. Ils sont descendus avec d’autres, nous sommes leurs enfants. C’est pour cela qu’ils viennent souvent nous visiter. Une grande partie des maîtres que nous connaissons faisaient partie de la première équipe. Il y avait probablement des centaines de personnes qui sont descendues. Ils ont commencé à s’installer et à faire des enfants pour amener des hommes de la terre de Mù et créer une civilisation christique sur la planète. –Moi aussi je me suis éventuellement incarné en Abel. C’était ma première incarnation terrestre.

Sananda existait avant sa première incarnation terrestre. Les civilisations Lémuriennes ont crée 3 âges de civilisation sur cette planète, où les êtres ont évolué sans jamais connaître la souffrance, la peine, la déception, ils ont manifesté de manière plus dense la perfection qui existe dans d’autres dimensions. C’est ce qu’on appelle le paradis terrestre ; Cette civilisation a existé pendant trois millions d’années. Les êtres évolués avaient quatorze réincarnations sans mourir, ils choisissaient le moment, la mort n’était pas connue, ni la souffrance ; Ce sont les trois âges de la perfection divine. Au quatrième âge d’or, a commencé la chute de l’être humain. Durant ces âges d’or, tout le monde était avec sa flamme jumelle, il n’y avait jamais de séparation ni avec sa flamme jumelle, ni avec sa divinité. C’est la nostalgie que nous avons maintenant du paradis perdu. Car nous avons tous expérimenté ces âges d’or, d’amour et de perfection divine ; Ces mémoires sont encore enregistrées en vous. Durant le quatrième âge d’or, ce serait trop long à vous raconter, il y a eu l’influence sur la planète, d’êtres venus d’ailleurs qui ont commencé à semer le doute dans le cœur des hommes, au début, ils ne l’ont pas accepté, ils ont résisté longtemps, mais ils ont fini par accepté ce doute représente le début de la chute en conscience. Le péché originel a été le doute. Dieu a toujours fourni ce dont les hommes avaient besoin dans une perfection totale ; -que ferez-vous si le créateur s’arrêtait de fournir ? Faites des réserves, au cas où ! Graduellement sur des centaines de milliers d’années, les gens ont commencé à douter et à faire des choses par eux-mêmes. Le créateur a dit : si c’est ce qu’ils veulent, je vais les laisser faire. Ils l’ont demandé. Le paradis a commencé à être perdu. Les 5 et 6ème âge d’or ont été des périodes de souffrance, guerres, violences, cette séparation de la source a été très pénible pour l’humanité. La hiérarchie spirituelle très lumineuse s’est retirée de l’autre côté du voile- même s’ils sont restés présents. Ce vécu avec la permission du créateur avec une promesse. Que cette expérience a eu un début, elle aura une fin. Ce fut une longue histoire très difficile sur cette planète, la fin est pour maintenant. Jamais une humanité n’a tant souffert que sur cette planète ; Jamais on ne ressortira avec autant de grâces qu’ici aussi. Une grande majorité essaie, demande de retrouver le chemin. Il faut garder l’espoir que tout ce qui va se passer, c’est pour la restauration du paradis perdu. La restauration sera supérieure à ce que l’on a déjà connu. Et jamais plus nous ne vous permettrons de retourner à la séparation. La leçon a été apprise non seulement pour l’humanité mais aussi pour les autres univers qui nous ont observés. Ils ont observé la descente graduelle et maintenant ils observent avec un grand intérêt la grande remontée. Sananda dit : le grand vaisseau de Mù, qui revient encore a un autre nom, c’est l’étoile de Bethléem. Quand je suis né à Bethléem, l’étoile qui a amené les rois mages était le grand vaisseau de Mù.

Ce sont de belles histoires touchantes, il y en a plusieurs. Quand on connaîtra l’histoire, on reconnaîtra combien courageux nous avons été. C’est pour cela que nous sommes si aimés des intra terrestres. Le paradis perdu est maintenant sur le point de s’ouvrir à nous. C’est un projet de 2000ans, c’est vrai, mais pas deux mille ans pour restaurer le fondamental. Dans quelques années, les choses seront très sérieusement améliorées. Dans 10 à 15 ans d’ici, les lémuriens seront physiquement parmi nous. Même si l’on les verra avant. Ils vont nous assister pour tout reconstruire, pour fondre des communautés d’amour et de lumière comme à Telos c’est la même façon sur les principes universels qu toutes les civilisations évoluées. Notre planète et actuellement envahie de civilisations de tous les univers et de toutes les planètes. Ils sont ici pour nous assister, nous observer et nous envoyer leur amour. Ca ne s’est jamais passé sur aucune planète. C’est la première fois qu’une planète dans une vibration si dense sera élevée, donc on est devenus un objet de curiosité et d’observation, mais beaucoup d’aide nous est apportée. Les vaisseaux de lumière ne sont pas nécessairement visibles, ils prennent l’humidité et s ‘entourent de nuages pour signaler leur présence. Ce n’et pas obligé mais ça nous fait plaisir. C’est leur façon de nous communiquer leur amour et leur présence. Ils prennent souvent la forme de soucoupes volantes, qui leur permettent de communiquer télépathiquement, vibratoirement, pas de mots mais de l’énergie, de l’amour. Les nuages lenticulaires, les vaisseaux spatiaux ne sont pas tous les mêmes, la plupart sont ronds ou circulaires il y en a en triangle. Ceux de Sirius sont longs comme de grands cigares, ils peuvent mesurer 50 à 60 kilomètres, ils peuvent être aussi vastes que notre planète, d’autres sont tout petits, c’est difficile à concevoir. Soyez rassurés, nous sommes très protégés plus personne ne peut nous attaquer Nous sommes tous de leur famille car nous avons des aspects de nous dans toutes les étoiles et tous les univers. Nous sommes leur progéniture. –On ne peut plus ê tre attaqués.-

L’incarnation c’est sur un plan linéaire,. Passé, présent futur, c’est uniquement dans votre dimension. Le temps a été crée pour votre dimension, dans les autres dimensions, nous vivons hors du temps. Nos incarnations sont circulaires, tout se passe en même temps. C’est toujours le présent ; entre la première Aurélia, il y a 4millions d’années, il y a eu un grand nombre d’incarnations, c’et très long en linéaire, et quand je vais ascensionner, je vais donner la main à Aurélia originelle et tout deviendra un. Tout sera unifié et j’aurai accès à tous ces corps. C’est pour ça que les maîtres ascensionnés, Sananda, Adama et les nombreux autres, des millions de personnes peuvent les interpeller. Ils ont accès à tous les corps, pour tout le monde. C’est difficile à comprendre dans notre dimension, On est tous des extensions de ces grands maîtres. Pour moi, c’est ma même chose que pour vous. Dans le processus de l’ascension, nous aurons un avenir très brillant.

message de Telos

Publié dans:INTRATERRESTRES - MESSAGES |on 2 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

Intelligence Collective

par Patrice van Eersel

Intelligence Collective dans ASCENSION air5C’est le concept clé auquel s’accrochent les espoirs face aux défis qui nous assaillent : puisque sa logique enseigne à l’individu que son intérêt est d’aider son prochain, l’intelligence collective devrait pouvoir sauver le monde. Une utopie en voie de réalisation ?

Les pilotes d’une escadrille d’acrobatie aérienne forment un seul ensemble. Jim Rough et Tom Atlee, fondateurs du Co-Intelligence Institute, aux Etats-Unis, comparent le rituel de préparation d’un vol (chaque ma-nœuvre mentalement visualisée, les yeux fermés) à celui d’une tribu de chasseurs chamaniques. Quand ils sont en grande forme, les pilotes eux-mêmes sont étonnés : ils parlent de leur escadrille comme d’une « intelligence collective » qui les dépasse tous.

Face aux innombrables crises qui nous assaillent, l’intelligence collective est devenue un concept clé, auquel s’accrochent de plus en plus d’espoirs. Elle devrait, se dit-on, pouvoir résoudre bien des problèmes – impasses écologiques et grandes injustices – puisque sa logique enseigne à l’individu que son intérêt, même égoïste, est d’aider l’autre dans son épanouissement.

Bêtise ou sagesse des foules ?

Au départ, toute intelligence est collective. De même qu’un neurone seul ne peut rien et qu’il en faut dix milliards pour bâtir un cerveau, un individu à 100 % solitaire n’aurait aucun moyen d’édifier une intelligence. Le psychologue Daniel Goleman démontre, dans son livre « Cultiver l’intelligence relationnelle » (Robert Laffont, 2009), que notre cerveau est d’abord « social », se bâtissant à partir de neurones miroirs et de neurones fuseaux qui font de lui un véritable « système wifi », relié aux autres en permanence.

Cela n’empêche cependant pas une foule, même de surdoués, de pouvoir être stupide. Bien avant le bolchévisme et le nazisme, le psychosociologue français Gustave Lebon étudia scientifiquement de quelle façon une masse humaine pouvait se laisser manipuler par quelques meneurs violents et habiles dans l’art de jouer sur les émotions. Il l’expliqua en 1895, dans un livre pessimiste qui deviendra un classique, « Psychologie des foules » (PUF, 2003) : pour lui, les masses n’ont d’autre issue que d’être manipulées.

Un siècle plus tard, en 2004, James Surowiecki, chroniqueur économique au « New-Yorker », est unanimement salué pour son livre optimiste « La Sagesse des foules » (JC Lattès, 2008) : il montre qu’il existe des façons d’aborder la multitude qui la rendent intelligente. Ainsi, consulter un très grand nombre d’opinions (à propos de n’importe quel sujet) mène à des décisions plus « sages » que si l’on fait appel à un comité d’experts. C’est ce que prouve le processus des marchés prédictifs. De quoi s’agit-il ?

Internet a permis de découvrir ceci : la synthèse des pronostics d’internautes faisant des paris en ligne, sur une question donnée, peut aboutir à des prévisions plus justes que les expertises classiques ou les sondages. C’est étonnant car les parieurs peuvent être n’importe qui et ne correspondent à aucun échantillon représentatif de la population. Comment se fait-il que leur intelligence collective soit supérieure à celle des sondés ? Réponse d’Emile Servan-Schreiber, spécialiste de la question, le premier à avoir mis cette découverte en application dans les entreprises (voir le site www.lumenogic.com) : « Selon le “théorème de la diversité” de Scott Page, il y a deux dimensions à la capacité d’un groupe à faire des prédictions intelligentes : le niveau d’expertise individuelle des membres du groupe, mais aussi la diversité de leurs opinions. On peut augmenter la performance prédictive du groupe en jouant sur l’une ou l’autre, ou sur les deux à la fois. » Un des concepts résultant de l’intelligence collective est celui de sociocratie, qui existe depuis cent-vingt ans et dont la devise pourrait être : « La bonne décision est celle qui intègre les compétences et les limites de tous ceux qui dépendront d’elle. »

Le but est d’attirer des opinions à la fois fortement concernées, voire passionnées (comme celles des parieurs), et les plus diverses possibles. C’est ce différentiel d’opinions fortes qui se solde par une intelligence collective mesurable. Celle-ci est plus performante que le sondage, qui part à la pêche d’un groupe représentatif mais « mou », a priori non passionné par la question posée. Cette découverte fait déjà partie des outils d’avant-garde en prospective. En France, des entreprises comme Renault, La Poste, L’Oréal, Arcelor Mittal ou la Fnac l’ont déjà utilisée pour imaginer l’avenir des marchés. Des médias comme « Le Figaro », « Libération », « Le Nouvel observateur » ou « Science & Vie » ont commencé à s’en servir pour remplacer les sondages électoraux : la méthode a été la seule à prévoir, par exemple, que l’Alsace resterait à droite lors des municipales du printemps 2010…

POUR EN SAVOIR PLUS

« L’Intelligence collective. Pour une anthropologie du cyberespace », Pierre Lévy, La Découverte, 1997, 245 p.,.

« Cyberdémocratie », Pierre Lévy, Odile Jacob, La Découverte, 2002, 283 p., 24,20 €.

« Une brève histoire de l’avenir », Jacques Attali, Fayard, 2009, 422 p., 20 €.

« La démocratie se meurt, vive la sociocratie ! », Gilles Charest, Esserci, 2007, 248 p., 30 €.

Publié dans:ASCENSION, CO-CREATION, DEVELOPPEMENT |on 2 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

Les cages de l’âme

 

Sting par Catherine Nivez

Les cages de l'âme dans AME images-9Comment une star mondiale de la musique, acteur à ses heures et père de famille nombreuse (cinq enfants) est-il arrivé à une réflexion originale sur la vie et la mort, sur le système médiatique et ses travers ? Depuis de nombreuses années, Sting nous chante son idée de l’homme et de l’âme (par exemple dans “The Soul Cages”, Les prisons de l’âme, l’album dédié à son père, mort en 1987).Un jour, au cours d’une tournée mondiale, il avait livré à Nouvelles Clés sa réflexion sur le monde et sur l’homme, sa partition interne, ses satisfactions, ses craintes… Un entretien londonien et familial dans la maison qui fut celle de Yehudi Menuhin pendant vingt cinq ans, avant de devenir celle de Sting. Du maître a l’élève… sans maître.

Nouvelles Clés : Comment vivez-vous la célébrité ?

Sting : C’est un immense amplificateur. Elle amplifie les émotions des gens, positivement ou négativement ; les gens peuvent aimer ou complètement détester ce que tu fais et les deux sentiments sont toujours exagérés. Quand on est connu, on attire toujours beaucoup l’attention sur soi et sur son travail… Si je suis en colère contre quelqu’un dans ma vie privée par exemple, ça prend tout de suite des tournures d’affaire d’État : “Oh ! Sting est en colère contre moi, c’est atroce !” Si je suis gentil avec quelqu’un, c’est aussi très important ; tout est donc plus grand que la vie. Ce qui est primordial dans ces conditions, c’est de garder un regard objectif sur soi, de rester petit à l’intérieur et de comprendre que les gens projettent sans arrêt sur vous des sentiments démesurés. Personnellement, je m’épargne cette distorsion par une connaissance réelle des mécanismes en jeu. J’ai eu de la chance, je suis devenu célèbre sur le tard. J’avais déjà vingt-six ans, un travail, une famille, un crédit à la banque, j’étais un citoyen responsable. D’autres deviennent célèbres alors qu’ils sont encore des enfants et ils n’ont pas forcément la possibilité de se développer, de grandir. En fait, le star-system encourage non pas à grandir mais à rester un enfant toute sa vie. Cela peut être très préjudiciable du point de vue psychologique. Je détesterais être complètement pris en charge et prétendre que je suis plus jeune que mon âge pour faire mon travail.

N. C. : Vous avez souvent dit que vous n’étiez ni religieux ni mystique. Pourtant, à la lecture des paroles de vos chansons, on pourrait le penser.

Sting : Vous savez, j’ai toujours été très intéressé et passionné par la symbolique des choses, j’ai toujours été très intrigué par la puissance des symboles. Mon éducation est catholique et la symbolique de l’Église catholique est très forte, très très puissante : la mort, le sang, la culpabilité, la torture, l’enfer… C’est une excellente base, une source pour la création artistique. Certains des grands artistes mondiaux viennent de ce genre d’imagerie et l’utilisent, comme
Michel Ange ! Qui plus est, les catholiques romains sont minoritaires en Angleterre…

Additionnez tous ces symboles et vous avez quelque chose de très “culte” en Angleterre. Cela me fascine et ça se sent peut-être dans ma musique. C’est aussi la raison pour laquelle je m’intéresse tant à CarI Gustav Jung. Il m’a permis de mieux comprendre la force du symbolisme. Ce que j’ai, par exemple, essayé de faire dans le disque dédié à mon père, fut de mythifier sa mort de telle sorte que je puisse l’accepter. J’ai été très choqué, affectivement et professionnellement, par sa disparition. Notre société moderne n’a, je pense, pas beaucoup de mythes, nous ne nous occupons pas de questions importantes comme la mort. Les mythes des sociétés primitives ont par contre toujours aidé à comprendre la mort en la plaçant sur un piédestal ; j’ai essayé d’avoir la même démarche : placer la mort de mon père sur un grand écran, la rendre symbolique, héroïque et de cette façon, tenter de mieux la comprendre, de la percevoir objectivement. Partant de là, je ne sais pas si je suis religieux ou pas. Certains ont dit que je faisais de l’anti-christianisme, ce qui est un non-sens absolu. Certaines de mes chansons sont pro-chrétiennes, d’autres s’inscrivent plutôt dans la recherche de vieux symboles comme la mer, la rivière, dans leur continuité et leur pérennité. Ces symboles que les anciennes religions entretenaient n’existent plus dans les religions plus récentes comme le christianisme qui a décidé que Dieu n’était pas dans la nature. C’est un nouveau concept et je ne suis pas sûr qu’il soit très sain. Si Dieu existe en-dehors de toute existence naturelle, alors où est-il ? On pourrait alors détruire la terre et ne pas commettre de péché ? Je pense qu’on est là dans l’erreur profonde et que les anciennes religions étaient plus près de la vérité.

N. C. : Êtes-vous bouddhiste ?

Sting : Je ne sais pas ce que je suis au fond de moi. Je suis un musicien, un musicien dévoué… (rire).

N. C. : Vous êtes un musicien qui s’intéresse beaucoup à l’homme et à l’inconscient. Vous avez été en analyse pendant quelques temps. L’êtes-vous toujours, et qu ‘est-ce que cette expérience vous a apporté ?

Sting : J’ai effectivement fait une psychanalyse au début des années 80, mais depuis, j’ai décidé que je serai mon propre psychanalyste. D’abord parce qu’on économise beaucoup d’argent (rire), particulièrement à New York, où les analystes sont plus riches que les avocats… et en­ suite parce que je suis un sujet intéressant pour moi-même. Je crois que pour essayer de rendre le monde meilleur, il faut d’abord se changer soi, se rendre meilleur… C’est toujours mon projet : essayer de me rendre sain dans un monde qui ne l’est pas.

N. C. : À une époque, vous avez joué, à Broadway, dans “L’Opéra de Quat’Sous” de Bertolt Brecht. N’avez-vous jamais eu envie de vraiment jouer la comédie ? Une nouvelle expérience…

Sting : J’ai plus appris avec la pièce dont vous parlez qu’en faisant douze films ! Pour l’écran, vous jouez une scène de quinze secondes que vous refaites dix fois, puis un autre scène de dix secondes etc. Ensuite, le montage donne un sens à tout ça. Sur la scène d’un théâtre, vous pouvez jouer pendant vint minutes non-stop, le public vous regarde, vous devez être drôle ou non, vous faire comprendre du premier coup ; c’est une discipline plus grande, plus exigeante. Le cinéma peut être très ennuyeux, il faut toujours attendre, le théâtre n’a rien à voir avec ça : à 20h le rideau se lève et on joue, c’est beaucoup plus proche de mon travail musical sur scène… Vous savez, quand on se sent triste ou fatigué et que des milliers de personnes vous accueillent chaleureusement pour un concert, on se sent toujours beaucoup mieux et il n’est pas nécessaire de faire semblant. Personnellement, je pense qu’il est très difficile de mentir à quelqu’un avec qui tu parles ou pour qui tu joues. C’est totalement contradictoire de se montrer en public et de se cacher du public… C’est même impossible. Mais cela n’empêche qu’il faille, dans ce métier, savoir se protéger et mettre quelquefois un masque devant les caméras. S’exposer totalement aux médias peut te détruire complètement. C’est plus sain d’avoir un masque, ce qui veut dire aussi : distance, méfiance, froid ; mais au moins, cela te permet d’évoluer et de grandir sans top de problèmes, comme n’importe quel être humain. J’ai cinq enfants, un chien, un jolie maison, une femme merveilleuse et… j’ai beaucoup de chance. Pour être très honnête, je n’ai aucune raison de me cacher ou d’être malheureux et la façon dont je me présente sur scène est cet homme-là. Je suis beaucoup plus heureux avec moi-même que je ne l’ai jamais été. Je pense que je suis plus mature, j’ai compris et réalisé qui je suis, ce que je suis et je suis plutôt heureux comme ça.

Je dois dire que ma musique a toujours été une thérapie, depuis les toutes premières compositions. Elle me fait me sentir moins seul, me met en contact avec quelque chose. Oui, c’est une bonne thérapie. Si je médite, si je me concentre profondément, je peux ensuite écrire un chanson sur telle ou telle chose. C’est ma forme de méditation. Encore une fois, je ne suis pas religieux, ni mystique ; ou plutôt, la musique est ma forme de mysticisme, ma méditation.

N. C. : Dans les années 90, vous avez séjourné en Normandie, dans la chambre d’un hôtel où Marcel Proust avait vécu… Pour I’inspiration ?

Sting : En fait, j’ai écrit une chanson dans cette chambre : “AlI this Time”, une chanson sur une rivière. Au moment de mon passage en Normandie, quelqu’un m’a dit que Marcel Proust avait longtemps vécu dans cet hôtel. Ça m’a intéressé, j’y suis allé, j’ai regardé la chambre, la mer et j’ai eu envie d’écrire cette chanson, mais je n’invitais pas Proust à venir m’inspirer. Non… ou peut être que si, finalement, je ne sais pas, mais en tout cas, ce n’était pas conscient.

N. C. : Est-ce que vous aimeriez écrire des romans ?

Sting : J’ai commencé un peu, j’ai écrit quelques nouvelles (rire). Mais ce que je semble être capable de faire jusqu’à présent est l’opposé du roman : condenser les idées dans de petites chansons alors que l’écrivain développe une idées sur la longueur. J’aimerais vraiment écrire un jour, mais je le ferai sous un autre nom; je ne ferai pas un roman de Sting, ça me tuerait.

N. C. : Avant d’être le musicien que l’on connaît, vous étiez instituteur dans le nord de l’Angleterre. L’enseignement ne vous a jamais manqué ?

Sting : Je pense que dans un sens, j’enseigne toujours. Mais dans une classe d’école, enseigner n’existe pas, c’est apprendre qui est possible. Le professeur est seulement là pour encourager l’apprentissage. Les gens apprennent à travers le jeu, à travers la joie ; je suis toujours quelque part le même enseignant que j’étais, je cite toujours mes sources, qu’elles soient littéraires ou autres, je cite toujours les références qui ont pu m’inspirer pour que les gens puissent y aller à travers ma musique, pour que mon travail les renvoie sur autre chose et leur fasse peut-être découvrir autre chose. Cela dit, je ne tiens pas à l’étiquette d’enseignant.

N. C. : Quelle est la meilleure chose que votre père vous ait humainement enseigné ?

Sting : Mon père ? Eh bien il me donnait parfois des conseils très étranges comme : “Ne te marie jamais” ou “Va à la mer”.

Il me disait ça tout le temps, “Va à la mer !”

Mon histoire a voulu que le lendemain de mon premier mariage je rejoigne la marine ; je travaillais sur un bateau comme musicien. Mais en fait, je n’ai jamais suivi les conseils de mon père, jamais…

N. C. : Vous êtes aujourd’hui le père de cinq enfants… Pensez-vous qu’il soit difficile pour un enfant d’avoir des parents connus ?

Sting : Oui, certainement. En fait, ils gèrent deux sentiments. D’un côté ils sont très fiers de moi et de l’autre, il aimeraient quelquefois que je travaille dans une banque ou n’importe ou comme n’importe quel père. Ils souffrent un peu de la distorsion du succès. Si je vais les chercher à l’école et que leurs copains de classe me demandent des autographes, ils ne comprennent pas parce que, là, je suis simplement un papa qui vient chercher ses enfants. Mais en même temps, ils sont très fiers de moi. C’est donc un peu compliqué d’avoir des parents connus. Mon père aussi était très connu : il était le vendeur de lait à Newcastle, tout le monde le connaissait, mais pour moi c’est pire : mes gosses me voient à la télévision, c’est une tare héréditaire qui s’amplifie (rire) !

Cela dit, mes enfants sont conscients de leurs privilèges ; ils voyagent beaucoup, ont déjà vu une grande partie du monde, ont un sens géopolitique très développé, sont très éduqués. Mais posez-leur la question dans vingt ans.

N. C. : Vous parlez beaucoup de votre vie de famille, de vous, de vos enfants. Comment vous imaginez-vous l’avenir ?

Sting : L’un des grands avantages de la musique est qu’il y a toujours quelque chose à apprendre. Que tu t’appelles Paul Mc Cartney ou Ravel, tu n’en sais jamais assez. J’ai rencontré l’arrangeur Gil Evans dans les dernières années de sa vie, j’ai eu une relation très privilégiée avec lui, c’était comme si j’avais trouvé un nouveau père. Il avait soixante-seize ans et a toujours gardé son esprit grand ouvert. Voilà ce que j’aimerais être : un étudiant de la musique pour toujours. Je pense que ce serait un très grand privilège.

N. C. : Vous êtes également connu pour votre engagement dans les grandes causes humanitaires, comme les droits de l’homme avec Amnesty International, l’écologie et fa protection de l’Amazonie, ou encore votre soutien aux Kurdes. La musique peut-elle être politique ?

Sting : Attention ! Je ne suis pas un politicien, je n’ai pas de solution.

images-10 dans ESPRITSCe que je peux seulement faire, c’est rassembler un peu d’argent en faisant un concert pour payer de la nourriture ou du matériel aux personnes sinistrées. Mais le problème n’est pas là, le problème n’est pas de notre ressort, il est politique. Le danger avec la musique et les problèmes politiques, c’est que les gens ont l’impression que la musique peut régler et guérir ces problèmes. Un remède pop ! “Oh, Sting donne un concert ! Super !” On pense alors qu’il n’y a plus de problème ou qu’il ne se pose plus dans les mêmes termes. Vous vous souvenez de « Live aid” ? Une manifestation merveilleuse, très médiatisée, mais qui n’a aidé qu’un tout petit peu ; les gens ont toujours faim. Ce qui manque, c’est le changement de politique des gouvernements. Pour ma part, Je n’ai qu’un très petit pouvoir et je ne suis pas un expert. Si quelqu’un prend conscience d’un problème à travers une chanson, tant mieux ! Avec un peu de chance, cette prise de conscience pourra l’amener à lire les journaux, à se renseigner sur la politique. Mais ce genre de réaction n’est pas immédiate, c’est de la prise de conscience à long terme. Il serait totalement naïf de penser que le succès peut changer le monde, mais disons qu’en s’en servant on peut éventuellement faire évoluer les choses.

Site officiel :   www.sting.com

Publié dans:AME, ESPRITS, SOCIETE |on 1 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

message.. et Jésus


message.. et Jésus dans JESUS images-8Avez-vous senti les craquements de votre chrysalide énergétique ? Il semble que notre aura est étirée vers le haut, vers le bas, de l’intérieur vers l’extérieur pour que notre coeur devienne encore plus ample et qu’il sorte des limites énergétique qu’il s’était imposées:  il veut aimer plus qu’autrefois, s’investir plus qu’autrefois, se montrer plus qu’il ne se le permettait « avant »…mais avant quoi ?

Jusqu’à présent nous utilisions notre cœur pour aimer et comprendre chaque acte de notre vie, chaque passage devait servir de levier afin d’y puiser des forces morales et grandir en tolérance, en élégance, nous utilisions aussi chacun notre conscience pour séparer ce que nous étions de ce que nous n’étions pas et nous usions de discernement pour débusquer les vieilles rengaines destructrices.  Puis il y a eu ces passages où il était évident que les extrêmes s’opposent pour mieux construire l’Unité de l’expérience : notre vie est un puzzle d’intentions qui se réalisent avec ou sans notre accord conscient, en « prendre conscience » éveille au fait que l’on attire à soi autant ce que l’on est en positif, que ce que rayonnons en négatif intensément. Notre vie est la suite de nos désirs intenses, ou des pensées érigées comme des lois par ceux qui nous ont précédés génétiquement.

Restait à accepter que l’on ne peut changer sa vie sans changer ses propres fibres énergétiques, et déconnecter nos habitudes mentales au plus près du moment où elles sont nées, en s’enfonçant toujours plus profondément dans les replis de la mémoire et du passé : on en perdait l’impression de vivre dans l’Instant présent, pourtant ce nettoyage intime a fait ressurgir les besoins essentiels du Cœur de l’Etre.

Se connaître et comprendre son parcours de vie à l’aune de cette Révélation est une Réalisation, un Accomplissement de la première partie de sa vie : la floraison de l’âme vers sa Libération. Il reste ensuite à transmettre le parfum de cette essence divine d’une manière élégante, aussi proche que possible du « Je Suis » qui Reste Vivant quand tout de nous a disparu. C’est à partir de cette trace, de ce sillon qu’adviendra une nouvelle floraison.

Alors, la conscience individuelle, même bien épanouie ne nous satisfait plus tout à fait, et nous  cherchons à la relier à quelque chose de plus grand, de plus doux et authentique qu’elle-même ; nos rêves individuels bien intentionnés semblent  si peu importants  en comparaison de tout ce qu’il y aurait à faire pour réussir collectivement à rééquilibrer ce monde. Nous sommes individuellement puissant mais inconscients des mécanismes de création, aussi haut que nous soyons allés, il semble que les influences extérieures  conservent leurs marques en nous. Il faut donc vivre avec le chaos qui pointe son nez malgré les efforts d’amélioration car plus nous avançons vers le perfectionnement, plus l’écart avec le vulgaire est éclatant et disproportionné : le cercle de la beauté du monde fait face à la vraie laideur. La lutte et les oppositions se présentent inlassablement jusqu’au moment où l’on accepte de rester dans la ligne de son cœur, de ne plus lutter contre Soi-même, de choisir ce que l’on peut aimer en bon et en mauvais sans s’en sentir éloigné.

Dès lors, l’énergie de l’âme et de l’être transparaissent. Ainsi de plus en plus de Maîtres s’incorporent et se dévoilent tout autour du monde afin de guider les changements à venir. Il y a la douceur, l’élégance, la compassion et la bonté, l’intelligence et la tolérance, l’espoir et le courage,  l’intégrité, la force et la protection, la stabilité, l’acceptation des rythmes. Il y en a chaque jour qui viennent s’ajouter sous des formes livresques ou éthérées mais l’énergie prend corps et s’intègre avec discernement, en parfaite synchronicité avec les évènements. Les Maîtres se révèlent ensuite par la grâce des situations. L’énergie délicate des mondes subtils s’unissent à notre quotidien et harmonisent les contours, font disparaitre les tensions. Nous sommes intimement nous-mêmes et nous nous relions à l’énergie des autres, nous nous reconnaissons les uns les autres pour nos qualités d’être, encore faut-il ne pas en être déstabilisé lorsque l’aspect sombre apparaît en priorité.

« L’Ouverture » est ce moment actuel, délicat, où notre âme s’ouvre pour s’unir au monde tel qu’il Est, et non pas seulement tel que nous aimerions qu’il soit. Les craquements énergétiques, toutes ces micro-douleurs articulaires ou les sentiments apaisants et doux qui nous submergent correspondent précisément à ce lâcher prise d’une conception rigide et inerte du monde pour entrer dans une interconnectivité énergétique des âmes. Nous nous reconnaissons d’âme à âme et cette vulnérabilité nous donne de la force autant qu’elle nous impose d’être attentifs à ce qui n’est pas encore guéri en soi. Les brutalités que nous nous imposons sont les moyens d’attirer l’attention sur ce que nous ne comprenons pas, des limites qui restent à soulever pour agrandir notre pouvoir d’action. 

 Or nous ne pouvons pas tout comprendre sans devenir le Tout, et il est encore trop tôt. A chaque âge correspond une taille moyenne, cette vérité s’applique aussi à l’âme et à la Conscience : nous grandissons mais nous sommes encore des enfants au regard de la vastitude de ce que devons intégrer : nous avançons collectivement et maintenant vous sentez que vous n’êtes plus seul, vous êtes un maillon vivant d’une chaîne infinie de vies, de cette sensation provient le véritable pouvoir et l’assise de la motivation nécessaire avant tout nouvel engagement de l’Etre.

Je vous salue. Lila

issu du site http://www.lilaluz.net/m/

Publié dans:JESUS |on 1 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

Pourquoi il faut se méfier des voyant(e)s


 

Pourquoi il faut se méfier des voyant(e)s dans 2014 - PRÉDICTIONS images-7Éliane Gauthier n’est pas une voyante comme une autre. Son art se rapproche plus de la psychothérapie que de la superstition. Souvent, quand des gens en difficultés viennent la consulter, elle frémit en constatant qu’une part de leur problème tient à ce qu’une voyante a étourdiment « cristallisé » un jour, sous forme de prédiction, ce qui n’était encore qu’un possible parmi d’autres.

Pour Éliane Gauthier – qui fut aussi une comédienne connue : c’était elle qui jouait l’amie de Casimir le dinosaure dans l’émission « L’île aux enfants » – l’intuition d’une voyante doit au contraire servir à affermir la liberté de la personne. Jamais, elle ne se permettrait de fermer l’éventail des possibles de quelqu’un. Eliane Gauthier est une voyante que l’on pourrait dire « post-moderne » : elle est lucide et sait combien l’art qu’elle exerce est à double tranchant et pourrait, si elle n’y prêtait garde, enfermer l’esprit de la personne qui consulte dans une prédiction-prescription hypnotique – alors même que le but est de l’aider à devenir libre ! Elle s’en expliquait clairement dans J’ai rendez-vous avec moi Quand la voyance devient thérapie , Éliane Gauthier, éd. Anne Carrière.

Quatre ans plus tard, elle a repris le sujet avec encore plus de rigueur dans La voyante et le psychiatre , qu’elle a écrit avec Jean Sandretto (éd. Almora), un
psychiatre-psychanalyste courageux, qui a su emporter des victoires contre la psychose autrement que par la chimie et a souvent publié dans la très rigoureuse revue Topique. On aimerait que tous les psychiatres soient, comme lui, non seulement passionnés par les sciences d’avant-garde, de la mécanique quantique à l’EMDR en passant par les réelles avancées psychanalytiques (tel le processus originaire de Piera Aulagnier, qui fut sa formatrice), mais aussi pratiquant de techniques de méditation ouvertes sur le cœur – franc-maçon, Sandretto a en outre découvert, stupéfait, la puissance des techniques kabbalistiques… Ensemble, Eliane Gauthier et Jean Sandretto ont en commun un mélange de curiosité, de compassion et d’humilité. Ils ont décidé d’échanger, pendant plusieurs mois, à raison d’une conversation par semaine, sur leurs pratiques respectives. Le résultat est très intéressant – avec des rebondissements stupéfiants (d’une magie pleine d’humour) d’une séance à l’autre !

Pour les passionnés, sachez qu’Eliane Gauthier, toujours passionnée de théâtre, sera présente cet hiver, en janvier 2007, à Sceaux, où son «Dialogue improbable » sera joué au théâtre des Gémeaux… où les questions qu’elles soulèvent feront l’objet de deux journées de débat. (contact : 01 46 60 05 64).

Nouvelles Clés : Vous avez écrit plusieurs livres sur la voyance mais vous n’aimez pas le mot. Vous avez suivi une carrière de comédienne tout en tirant les cartes, mais en disant qu’il fallait se méfier de l’intuition. Pourquoi ces paradoxes ?

Eliane Gauthier : C’est l’idée d’un “ avenir écrit ” qui me déplaît dans le mot voyance et que mes livres visent à combattre. Quant à la méfiance, elle s’adresse en premier lieu à l’intuition directe, quand on est juge et partie, pris dans sa propre histoire. Nous sommes faits de strates différentes, l’intuition juste est une réponse que nous portons au plus profond de nous, dans ce lieu de silence intérieur accessible seulement par la méditation, la prière, le décrochement de l’ego en tant que bruit. Mais nous sommes aussi un mélange de peurs et de désirs qui font écran à cette véritable intuition. Le “ moi je ” nous conduit alors sur une fausse route. Souvent, quand des gens dont vous connaissez la problématique disent : “ Ah oui, je sens bien ça ! ”, vous vous apercevez que leurs paroles sont parasitées par ce qu’ils projettent de leur histoire dans leurs sensations. La réponse n’est pas pure, pas décantée, elle n’est pas dans ce jaillissement que seul le silence de l’ego peut apporter. Malgré mes capacités intuitives, par exemple, qui “ marchaient ” si bien pour mes amis, il m’a fallu des années pour arrêter d’avoir la certitude, à chacun de ses retards, qu’un accident grave était arrivé à l’homme avec qui je vis. Il m’a fallu comprendre, grâce à la thérapie, combien cette peur avait été ancrée en moi par la mort successive des hommes de ma famille. J’ai cessé depuis longtemps de me tirer les cartes. Cela ne marchait que lorsqu’il s’agissait de sujets qui n’avaient pas d’importance pour moi !

N. C. : Ou lorsque les autres vous consultaient, d’où votre parcours de voyante ?

E. G. : Enfant, j’avais le bon “ profil ”. Une amie de ma mère l’a repéré, m’a enseigné, sans que j’y prête grande attention, les rudiments de la symbolique des cartes. C’était amusant. Plus tard, jeune comédienne, quand je lisais les cartes pour les copains, j’étais dans cette lecture immédiate, cette prédiction à la madame Irma. Je m’en suis dégagée car je trouvais cela terrifiant : avec tout ce que j’avais vécu, j’avais déjà suffisamment tendance à croire en la fatalité ! Puis, à travers la psychanalyse et la descente vers l’inconscient, j’ai découvert ma part de liberté. Je me suis dit : jamais je ne retournerai vers les cartes ! Mais on continuait à me solliciter – mes “ prédictions ” marchaient ! La thérapie et mon travail avec des psychiatres m’ont alors permis de comprendre la nature de ce que je saisissais : le matériau à l’état brut de l’inconscient. Son langage est symbolique comme celui des cartes, et il n’a aucun sens du temps, ce qui éclairait d’un jour nouveau l’idée de prédiction. Au sein de ce continuum, l’avenir n’est écrit que si l’on ne fait rien pour le changer. Il m’a semblé que je pouvais au contraire, avec mon langage, l’écoute de l’inconscient et des symboles qui me passaient des petits messages, décoder innocemment cette réalité présente en l’autre, parfois recouverte par des problèmes, et aller vers les informations positives pour l’aider à ne pas provoquer dans l’avenir ce qu’il avait vécu dans le passé, en travaillant sur ce passé, sur lui. C’est une imposture de prédire l’avenir, par contre l’inconscient est comme un phare qui éclaire la route. Il y a un choix.

N. C. : De là votre réticence envers la voyance classique ?

E. G. : Vous voyez déjà qu’il faut un état de grâce – évitant la connotation spirituelle, j’emploie le mot silence -, pour toucher ces réponses sans les déformer et les embarrasser avec tout ce qui s’interpose comme idées préconçues, apparences, influences, pressions conscientes ou non, etc… Mais face à une autre personne, il y a un problème plus grave : ce n’est plus seulement la question de l’intuition qui se pose mais celle de la créativité de notre pensée dans l’avenir. Si en restituant une intuition vous appuyez sur le négatif, vous devenez coauteur de cette négativité, vous l’orchestrez et risquez fort de la faire s’incarner dans l’avenir de l’autre.

N. C. : Il faut donc se censurer ?

E. G. : : Pas exactement. Une intuition peut annoncer un événement dramatique ; si elle est juste, une certitude se fait en nous, nous réunit avec nous-même, je parlerais presque de paix. Une voyance qui fait mal n’est pas juste, elle est encombrée des projections du voyant, l’inconscient le sait et se met en turbulence, on l’a égaré. Alors qu’une intuition juste ne fera pas mal, parce qu’elle met devant la réalité, je ne dis pas qu’on soit heureux, mais on est calme, face à la vérité. Il s’agit pour le voyant de ne pas faire de cette intuition une dynamique négative dans l’avenir, mais de transmettre le message émis par l’inconscient comme l’annonce d’une épreuve de compréhension de soi-même et des obstacles intérieurs. Je ne prétends pas que l’on fasse la pluie et le beau temps, mais souvent les gens restent à se dire que leur vie est un échec, ce faisant ils tournent le dos à la porte et quand elle s’ouvre, ils ne le voient pas. Et ils pensent qu’elle a toujours été fermée. Gardons pour nous les intuitions qui risqueraient de renforcer ce genre d’idées !

Publié dans:2014 - PRÉDICTIONS |on 1 octobre, 2013 |Pas de commentaires »
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