Archive pour le 2 octobre, 2013

Le Web : la mutation du savoir universel

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Evidemment, le grand exemple d’intelligence collective sur le Web, c’est Wikipedia, l’encyclopédie dont tout internaute peut devenir le coauteur. Ou Google, qui permet à l’humanité d’aller piocher dans tout le savoir universel. Pas étonnant que la réflexion sur l’intelligence collective soit partie des laboratoires de sociologie et d’anthropologie de la cyberculture, à la fin des années 1980. L’un de ses principaux visionnaires est l’historien des sciences franco-canadien Pierre Lévy, directeur d’une « chaire de recherche en intelligence collective » à l’université d’Ottawa. Selon lui, nous sommes tout bonnement en train de vivre une mutation majeure de l’hominisation. A Homo sapiens succède Homo communicans, qui évolue dans un nouvel espace anthropologique. Après l’espace de la Terre (l’homme préhistorique), l’espace du territoire (le paysan du Néolithique) et l’espace de la marchandise (l’homme de la Renaissance), l’espace du savoir est en train de nous faire basculer dans une dimension encore jamais vue, où la valeur réside désormais davantage dans la connaissance que dans le capital ou le travail. Reliés les uns aux autres par le World Wide Web, qui pénètre jusque dans nos vies intimes, nous traversons, selon Lévy, un passage aussi puissant que celui de l’invention de l’écriture, il y a 7000 ou 8000 ans.

Cette mutation intensifie notre intelligence collective, que le visionnaire définit en trois points :

- chacun sait quelque chose ;

- nul ne sait tout ;

- l’échange est la clé de tout progrès.

Certes, admet-il, les groupes sont souvent décevants. Mais le cyberespace change la donne. Il permet une intelligence « partout distribuée, sans cesse valorisée, mise en synergie en temps réel, et aboutissant à une mobilisation effective des compétences individuelles ».

Cette vision très optimiste est tempérée par une réserve :

selon Pierre Lévy, la croissance de l’intelligence collective est actuellement freinée par le relativisme du Web, dont les informations sont entassées dans le plus grand désordre. C’est une régression : comme les encyclopédistes et bibliothécaires d’il y a trois siècles, les créateurs de moteurs de recherche d’Internet doivent donc d’urgence inventer un « métalangage », qui puisse apprendre aux ordinateurs à percer l’énorme opacité qui rend actuellement 85 % des données du Web inaccessibles. C’est ce à quoi Lévy lui-même consacre désormais son temps.

 Vers une conscience collective – Y a-t-il moyen de vivre l’intelligence collective autrement qu’en pianotant sur un ordinateur ? Cette question devient un thème de développement personnel. Gestion par consentement, sociocratie, vision partagée… autant d’approches qui invitent à découvrir que les rêves individuels se réalisent mieux en rejoignant une quête collective. Parmi les professionnels du thème, Jean-François Noubel, cofondateur d’AOL France et consultant en ressources humaines dans les entreprises high-tech, a fait du passage vers une nouvelle conscience l’objet d’un enseignement qui distingue trois âges dans l’évolution humaine (voir le site www.thetransitioner.org) :

1. L’intelligence collective originelle du clan persiste dans tout petit groupe – équipe sportive, orchestre, bande. Le leadership y repose sur une compétence reconnue par tous et la règle de l’échange y est le don. Mais elle a ses limites : il faut être dans le même espace et assez peu nombreux pour pouvoir se parler, se toucher.

2. Avec l’écriture et l’Etat, est apparue l’intelligence collective pyramidale. Dirigée par une minorité, fondée sur la division du travail et la rareté monétaire, elle a permis la civilisation – des pyramides au cyberespace. Mais elle sous-utilise le potentiel humain et a engendré une complexité qui la dépasse désormais.

3. Nous sommes donc en train de muter vers une intelligence collective globale, qui retrouve les qualités de l’intelligence originelle, tout en les intégrant au « village planétaire » du cyberespace. L’esprit de coopération y est de mise, ce qui signifie obligatoirement un travail personnel d’introspection et d’initiation à la communication non violente.

 

Publié dans:2014 - PRÉDICTIONS |on 2 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

D’où vient cette famille ?

D’où vient cette famille ? dans INTRATERRESTRES - MESSAGES images-h

C’est l’histoire des premiers Lémuriens qui sont venus sur cette planète il y a 4 millions d’années. Les premiers sont venus d’un autre univers à la demande du créateur, pour apporter sur la planète la conscience christique. Parce que eux l’avaient déjà atteinte. Le nom de cet univers est DAHR, de la constellation de Cassiopée, planète Lémur. Ils sont venus de la terre de Mù dans le grand vaisseau de Mù. Sananda était le capitaine du vaisseau quand les premiers lémuriens sont venus. Il m’a dit : Je crois que c’était ton vaisseau. C’était une grande famille spirituelle, ils ont contourné la planète pendant un certain temps. Il y avait déjà certaines civilisations paisibles mais pas très évoluées. L’idée était que les lémuriens leur enseignent la conscience christique. Après avoir observé, ils se sont décidés à descendre. Les premiers à être descendus étaient Adama et Aurélia ( je ne suis pas l’Aurélia originale)- un aspect seulement,, pas moindre, ce sont seulement des âmes pl us jeunes., on est tous des aspects des originaux qui sont retournés sur la terre de Mù. Ils sont descendus avec d’autres, nous sommes leurs enfants. C’est pour cela qu’ils viennent souvent nous visiter. Une grande partie des maîtres que nous connaissons faisaient partie de la première équipe. Il y avait probablement des centaines de personnes qui sont descendues. Ils ont commencé à s’installer et à faire des enfants pour amener des hommes de la terre de Mù et créer une civilisation christique sur la planète. –Moi aussi je me suis éventuellement incarné en Abel. C’était ma première incarnation terrestre.

Sananda existait avant sa première incarnation terrestre. Les civilisations Lémuriennes ont crée 3 âges de civilisation sur cette planète, où les êtres ont évolué sans jamais connaître la souffrance, la peine, la déception, ils ont manifesté de manière plus dense la perfection qui existe dans d’autres dimensions. C’est ce qu’on appelle le paradis terrestre ; Cette civilisation a existé pendant trois millions d’années. Les êtres évolués avaient quatorze réincarnations sans mourir, ils choisissaient le moment, la mort n’était pas connue, ni la souffrance ; Ce sont les trois âges de la perfection divine. Au quatrième âge d’or, a commencé la chute de l’être humain. Durant ces âges d’or, tout le monde était avec sa flamme jumelle, il n’y avait jamais de séparation ni avec sa flamme jumelle, ni avec sa divinité. C’est la nostalgie que nous avons maintenant du paradis perdu. Car nous avons tous expérimenté ces âges d’or, d’amour et de perfection divine ; Ces mémoires sont encore enregistrées en vous. Durant le quatrième âge d’or, ce serait trop long à vous raconter, il y a eu l’influence sur la planète, d’êtres venus d’ailleurs qui ont commencé à semer le doute dans le cœur des hommes, au début, ils ne l’ont pas accepté, ils ont résisté longtemps, mais ils ont fini par accepté ce doute représente le début de la chute en conscience. Le péché originel a été le doute. Dieu a toujours fourni ce dont les hommes avaient besoin dans une perfection totale ; -que ferez-vous si le créateur s’arrêtait de fournir ? Faites des réserves, au cas où ! Graduellement sur des centaines de milliers d’années, les gens ont commencé à douter et à faire des choses par eux-mêmes. Le créateur a dit : si c’est ce qu’ils veulent, je vais les laisser faire. Ils l’ont demandé. Le paradis a commencé à être perdu. Les 5 et 6ème âge d’or ont été des périodes de souffrance, guerres, violences, cette séparation de la source a été très pénible pour l’humanité. La hiérarchie spirituelle très lumineuse s’est retirée de l’autre côté du voile- même s’ils sont restés présents. Ce vécu avec la permission du créateur avec une promesse. Que cette expérience a eu un début, elle aura une fin. Ce fut une longue histoire très difficile sur cette planète, la fin est pour maintenant. Jamais une humanité n’a tant souffert que sur cette planète ; Jamais on ne ressortira avec autant de grâces qu’ici aussi. Une grande majorité essaie, demande de retrouver le chemin. Il faut garder l’espoir que tout ce qui va se passer, c’est pour la restauration du paradis perdu. La restauration sera supérieure à ce que l’on a déjà connu. Et jamais plus nous ne vous permettrons de retourner à la séparation. La leçon a été apprise non seulement pour l’humanité mais aussi pour les autres univers qui nous ont observés. Ils ont observé la descente graduelle et maintenant ils observent avec un grand intérêt la grande remontée. Sananda dit : le grand vaisseau de Mù, qui revient encore a un autre nom, c’est l’étoile de Bethléem. Quand je suis né à Bethléem, l’étoile qui a amené les rois mages était le grand vaisseau de Mù.

Ce sont de belles histoires touchantes, il y en a plusieurs. Quand on connaîtra l’histoire, on reconnaîtra combien courageux nous avons été. C’est pour cela que nous sommes si aimés des intra terrestres. Le paradis perdu est maintenant sur le point de s’ouvrir à nous. C’est un projet de 2000ans, c’est vrai, mais pas deux mille ans pour restaurer le fondamental. Dans quelques années, les choses seront très sérieusement améliorées. Dans 10 à 15 ans d’ici, les lémuriens seront physiquement parmi nous. Même si l’on les verra avant. Ils vont nous assister pour tout reconstruire, pour fondre des communautés d’amour et de lumière comme à Telos c’est la même façon sur les principes universels qu toutes les civilisations évoluées. Notre planète et actuellement envahie de civilisations de tous les univers et de toutes les planètes. Ils sont ici pour nous assister, nous observer et nous envoyer leur amour. Ca ne s’est jamais passé sur aucune planète. C’est la première fois qu’une planète dans une vibration si dense sera élevée, donc on est devenus un objet de curiosité et d’observation, mais beaucoup d’aide nous est apportée. Les vaisseaux de lumière ne sont pas nécessairement visibles, ils prennent l’humidité et s ‘entourent de nuages pour signaler leur présence. Ce n’et pas obligé mais ça nous fait plaisir. C’est leur façon de nous communiquer leur amour et leur présence. Ils prennent souvent la forme de soucoupes volantes, qui leur permettent de communiquer télépathiquement, vibratoirement, pas de mots mais de l’énergie, de l’amour. Les nuages lenticulaires, les vaisseaux spatiaux ne sont pas tous les mêmes, la plupart sont ronds ou circulaires il y en a en triangle. Ceux de Sirius sont longs comme de grands cigares, ils peuvent mesurer 50 à 60 kilomètres, ils peuvent être aussi vastes que notre planète, d’autres sont tout petits, c’est difficile à concevoir. Soyez rassurés, nous sommes très protégés plus personne ne peut nous attaquer Nous sommes tous de leur famille car nous avons des aspects de nous dans toutes les étoiles et tous les univers. Nous sommes leur progéniture. –On ne peut plus ê tre attaqués.-

L’incarnation c’est sur un plan linéaire,. Passé, présent futur, c’est uniquement dans votre dimension. Le temps a été crée pour votre dimension, dans les autres dimensions, nous vivons hors du temps. Nos incarnations sont circulaires, tout se passe en même temps. C’est toujours le présent ; entre la première Aurélia, il y a 4millions d’années, il y a eu un grand nombre d’incarnations, c’et très long en linéaire, et quand je vais ascensionner, je vais donner la main à Aurélia originelle et tout deviendra un. Tout sera unifié et j’aurai accès à tous ces corps. C’est pour ça que les maîtres ascensionnés, Sananda, Adama et les nombreux autres, des millions de personnes peuvent les interpeller. Ils ont accès à tous les corps, pour tout le monde. C’est difficile à comprendre dans notre dimension, On est tous des extensions de ces grands maîtres. Pour moi, c’est ma même chose que pour vous. Dans le processus de l’ascension, nous aurons un avenir très brillant.

message de Telos

Publié dans:INTRATERRESTRES - MESSAGES |on 2 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

Intelligence Collective

par Patrice van Eersel

Intelligence Collective dans ASCENSION air5C’est le concept clé auquel s’accrochent les espoirs face aux défis qui nous assaillent : puisque sa logique enseigne à l’individu que son intérêt est d’aider son prochain, l’intelligence collective devrait pouvoir sauver le monde. Une utopie en voie de réalisation ?

Les pilotes d’une escadrille d’acrobatie aérienne forment un seul ensemble. Jim Rough et Tom Atlee, fondateurs du Co-Intelligence Institute, aux Etats-Unis, comparent le rituel de préparation d’un vol (chaque ma-nœuvre mentalement visualisée, les yeux fermés) à celui d’une tribu de chasseurs chamaniques. Quand ils sont en grande forme, les pilotes eux-mêmes sont étonnés : ils parlent de leur escadrille comme d’une « intelligence collective » qui les dépasse tous.

Face aux innombrables crises qui nous assaillent, l’intelligence collective est devenue un concept clé, auquel s’accrochent de plus en plus d’espoirs. Elle devrait, se dit-on, pouvoir résoudre bien des problèmes – impasses écologiques et grandes injustices – puisque sa logique enseigne à l’individu que son intérêt, même égoïste, est d’aider l’autre dans son épanouissement.

Bêtise ou sagesse des foules ?

Au départ, toute intelligence est collective. De même qu’un neurone seul ne peut rien et qu’il en faut dix milliards pour bâtir un cerveau, un individu à 100 % solitaire n’aurait aucun moyen d’édifier une intelligence. Le psychologue Daniel Goleman démontre, dans son livre « Cultiver l’intelligence relationnelle » (Robert Laffont, 2009), que notre cerveau est d’abord « social », se bâtissant à partir de neurones miroirs et de neurones fuseaux qui font de lui un véritable « système wifi », relié aux autres en permanence.

Cela n’empêche cependant pas une foule, même de surdoués, de pouvoir être stupide. Bien avant le bolchévisme et le nazisme, le psychosociologue français Gustave Lebon étudia scientifiquement de quelle façon une masse humaine pouvait se laisser manipuler par quelques meneurs violents et habiles dans l’art de jouer sur les émotions. Il l’expliqua en 1895, dans un livre pessimiste qui deviendra un classique, « Psychologie des foules » (PUF, 2003) : pour lui, les masses n’ont d’autre issue que d’être manipulées.

Un siècle plus tard, en 2004, James Surowiecki, chroniqueur économique au « New-Yorker », est unanimement salué pour son livre optimiste « La Sagesse des foules » (JC Lattès, 2008) : il montre qu’il existe des façons d’aborder la multitude qui la rendent intelligente. Ainsi, consulter un très grand nombre d’opinions (à propos de n’importe quel sujet) mène à des décisions plus « sages » que si l’on fait appel à un comité d’experts. C’est ce que prouve le processus des marchés prédictifs. De quoi s’agit-il ?

Internet a permis de découvrir ceci : la synthèse des pronostics d’internautes faisant des paris en ligne, sur une question donnée, peut aboutir à des prévisions plus justes que les expertises classiques ou les sondages. C’est étonnant car les parieurs peuvent être n’importe qui et ne correspondent à aucun échantillon représentatif de la population. Comment se fait-il que leur intelligence collective soit supérieure à celle des sondés ? Réponse d’Emile Servan-Schreiber, spécialiste de la question, le premier à avoir mis cette découverte en application dans les entreprises (voir le site www.lumenogic.com) : « Selon le “théorème de la diversité” de Scott Page, il y a deux dimensions à la capacité d’un groupe à faire des prédictions intelligentes : le niveau d’expertise individuelle des membres du groupe, mais aussi la diversité de leurs opinions. On peut augmenter la performance prédictive du groupe en jouant sur l’une ou l’autre, ou sur les deux à la fois. » Un des concepts résultant de l’intelligence collective est celui de sociocratie, qui existe depuis cent-vingt ans et dont la devise pourrait être : « La bonne décision est celle qui intègre les compétences et les limites de tous ceux qui dépendront d’elle. »

Le but est d’attirer des opinions à la fois fortement concernées, voire passionnées (comme celles des parieurs), et les plus diverses possibles. C’est ce différentiel d’opinions fortes qui se solde par une intelligence collective mesurable. Celle-ci est plus performante que le sondage, qui part à la pêche d’un groupe représentatif mais « mou », a priori non passionné par la question posée. Cette découverte fait déjà partie des outils d’avant-garde en prospective. En France, des entreprises comme Renault, La Poste, L’Oréal, Arcelor Mittal ou la Fnac l’ont déjà utilisée pour imaginer l’avenir des marchés. Des médias comme « Le Figaro », « Libération », « Le Nouvel observateur » ou « Science & Vie » ont commencé à s’en servir pour remplacer les sondages électoraux : la méthode a été la seule à prévoir, par exemple, que l’Alsace resterait à droite lors des municipales du printemps 2010…

POUR EN SAVOIR PLUS

« L’Intelligence collective. Pour une anthropologie du cyberespace », Pierre Lévy, La Découverte, 1997, 245 p.,.

« Cyberdémocratie », Pierre Lévy, Odile Jacob, La Découverte, 2002, 283 p., 24,20 €.

« Une brève histoire de l’avenir », Jacques Attali, Fayard, 2009, 422 p., 20 €.

« La démocratie se meurt, vive la sociocratie ! », Gilles Charest, Esserci, 2007, 248 p., 30 €.

Publié dans:ASCENSION, CO-CREATION, DEVELOPPEMENT |on 2 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

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