Archive pour le 26 juillet, 2013

Astrologie de la Renaissance

Astrologie de la Renaissance dans ASTROLOGIE telechargement-2

Durant la renaissance, les fondements de l’Astrologie, issus du système helléniste évoluèrent peu, conservant le principe planètes, signes, maisons et aspects, mais les calculs astrologiques profitèrent des découvertes en algèbre et en trigonométrie pour se développer. Des tables de calculs détaillés tenant compte des heures de lever et de coucher, des mouvements de planètes, et de leur position, furent largement diffusés grâce à l’apparition de l’imprimerie.

Les mentalités évoluèrent rapidement, comme c’est toujours le cas lorsque le courant de pensée qui prédomine préconise et encourage une ouverture sur le monde et le champ d’activité de l’Astrologie s’étendit dans tous les domaines, à toutes les branches du savoir et à tous les secteurs de la vie. Les astrologues savants restèrent prudents et menèrent une guerre sans merci aux charlatans qui allaient jusqu’à donner des conseils dérisoires du type coupe de cheveux ou achats de vêtements, prévisions que le peuple s’arrachait. On vit également se développer la médecine astrologique, enseignée dans certaines universités européennes, discipline selon laquelle on ne pouvait être un bon médecin qu’en étant un bon astrologue.

Les prophéties les plus connues sont certainement celles de Nostradamus (Michel de Nostredame 1503-1560) astrologue et voyant français dont les prévisions furent très controversées. Il utilisait outre les grandes conjonctions, les cycles planétaires et les périodes chronologiques, ses dons de voyance et publia ses célèbres prophéties, qui firent sensation lorsque Henri II mourut alors que Nostradamus l’avait prédit.

Tout le monde a encore à l’esprit l’anecdote concernant son fils, astrologue également, qui mit le feu dans la petite ville de Pouzin, en Ardèche, afin qu’elle fut détruite selon ses prédictions !

Peu à peu l’Astrologie atteignit son apogée, en même temps que la Renaissance, en Italie elle sera soutenue par les Papes et en France Catherine de Médicis la protégera et l’encouragea, réunissant autour d’elle des astrologues, dont un des plus célèbres restera Nostradamus.

Différentes causes conduisirent ensuite à un rapide déclin de l’Astrologie. La guerre de 30 ans d’abord avec son cortège de morts et d’horreurs raviva les croyances aux diables et aux sorcières, et les astrologues furent rapidement perçus comme des charlatans qui aiguisaient les inquiétudes du peuple.

La pression exercée par l’église sur la recherche et la philosophie fut une autre cause du déclin de l’Astrologie, ainsi et surtout que la montée en puissance de la pensée rationaliste, due en grande partie aux rapides progrès enregistrés par les sciences de la nature et qui ruina toute la philosophie de la Renaissance.

Descartes (1596-1650) dans son Discours de la méthode, reprenait quelque peu la théorie de Bacon, avec une démarche fondée sur l’expérimentation pour expliquer la Nature et prétendait qu’il ne fallait prendre pour vrai et réel que ce qui était quantifiable, ce qui excluait bien évidemment les sciences occultes, cette nouvelle conception mécanique et mathématique de la Nature étant en totale contradiction avec ce que l’Astrologie pouvait avoir de déductif.

http://www.astrotheme.fr/dossier.php?ID=53

Venez nous rejoindre sur le forum http://devantsoi.forumgratuit.org/

Publié dans:ASTROLOGIE |on 26 juillet, 2013 |Pas de commentaires »

Reconstituer l’univers en laboratoire

 

Dès le début, l’univers contient en germe les conditions requises pour l’émergence d’un être vivant et conscient. Comme le physicien anglo-américain Freeman Dyson l’a exprimé avec éloquence : « L’univers savait quelque part que l’homme allait venir. » 

Reconstituer l’univers en laboratoire dans CO-CREATION b2

Comment s’est-on aperçu de ce réglage extrêmement précis de l’univers en vue de l’apparition d’une vie consciente ? Il faut savoir que les propriétés de l’univers sont déterminées par une quinzaine de nombres appelés « constantes fondamentales de la nature » ainsi que par son état physique au moment de sa naissance – ce qu’on appelle les « conditions initiales ». Prenons l’exemple d’une balle que je jette en l’air. Je peux déterminer exactement où et à quel moment elle va atterrir, si je connais les lois physiques (ici la loi de la gravité, déterminés par la constante gravitationnelle) ainsi que les conditions initiales, c’est-à-dire le point et l’instant précis où la balle a quitté ma main, la force avec laquelle je l’ai lancée, etc. Selon la théorie déterministe, détenir les constantes physiques et les conditions initiales permet de déterminer toutes les propriétés de l’univers. Les constantes de la nature sont, par exemple, la vitesse de la lumière, la masse de l’électron, sa charge électrique, la constante de gravitation, qui détermine l’intensité de la force gravitationnelle, ou encore la constante de Planck qui détermine la taille des atomes. Nous avons pu mesurer expérimentalement ces nombres avec une très grande précision, mais nous n’avons pas de théorie pour expliquer la valeur qu’elles ont plutôt qu’une autre. Par exemple, nous ne savons pas pourquoi la lumière voyage à 300 000 kilomètres par seconde au lieu de 3 mètres par seconde ou cent vingt millions kilomètres par seconde. Or ces constantes déterminent non seulement la masse et la taille des galaxies, des étoiles, des planètes, mais aussi de toute autre chose dans l’univers, y compris les êtres vivants : la hauteur de l’Everest, les contours délicats d’une pétale de rose, le long cou d’une girafe ou la fine taille d’une femme. La réalité autour de nous serait toute autre si ces constantes avaient des valeurs différentes. Ces constantes, comme leur nom l’indique, ne varient ni dans l’espace ni dans le temps. Quant aux conditions initiales, il s’agit entre autres de la densité de matière et d’énergie de l’univers, ou encore de son taux d’expansion au moment du Big Bang. 

Bien sûr, nous ne pouvons pas recréer l’univers en laboratoire. L’expérience a eu lieu une fois pour toutes. Mais les astrophysiciens peuvent jouer aux dieux créateurs en construisant des modèles d’univers, chacun avec sa propre combinaison de constantes et de conditions initiales, grâce à la puissance des ordinateurs modernes. La question à mille euros qu’ils se sont posée pour chaque modèle d’univers est : héberge-t-il la vie et la conscience après une évolution de 13,7 milliards d’années ? La réponse est des plus surprenantes : la vaste majorité des univers possède une combinaison perdante de constantes physiques et de conditions initiales et se retrouve dépourvue de vie et de conscience –sauf le nôtre, dont la combinaison est gagnante et dont nous représentons, en quelque sorte, le gros lot. La plupart des univers sont stériles parce qu’ils sont incapables de fabriquer des étoiles massives. Sans celles-ci, les éléments lourds comme le carbone, briques de la vie, ne pourraient pas exister. Et sans éléments lourds, la vie et la conscience ne seraient pas possibles. Car il ne faut oublier que nous sommes des poussières d’étoiles. La composition chimique actuelle des étoiles et des galaxies est de 75% en hydrogène, de 23% en hélium, et de 2% en éléments lourds. Ces éléments lourds jouent un rôle extrêmement important, parce que ce sont eux qui permettent à la complexité de se construire. Pendant les trois premières minutes de son histoire, l’univers n’avait pu produire que des noyaux d’hydrogène (formés d’un seul proton) et d’hélium (formés de deux protons et deux neutrons). Des éléments plus complexes n’ont pas pu être fabriqués après les trois premières minutes de l’univers parce que celui-ci se diluait inexorablement, empêchant les protons et les neutrons de se rencontrer et de s’unir pour former des noyaux d’atomes plus complexes, tel le carbone, l’oxygène ou l’azote. Parce que l’hydrogène est trop simple et que l’hélium est trop stable pour réagir chimiquement, si l’univers n’avait pas inventé les étoiles qui, par leur alchimie nucléaire fabriquent les éléments lourds, les acides aminés, les molécules d’ADN n’auraient pas fait leur apparition, la complexité n’aurait pas pu se construire, et l’univers serait dépourvu de vie et de conscience. L’univers aurait été bien morne et triste : il ne contiendrait que des nuages d’hydrogène et d’hélium et n’aurait formé ni galaxies, ni étoiles, ni planètes, ni hommes. Et surtout, il n’aurait jamais généré cet objet le plus complexe qui soit connu dans l’univers, le cerveau humain composé de quelque cent milliards de neurones, autant que le nombre d’étoiles dans une galaxie, ou de galaxies dans l’univers observable !

Lire la suite ici…… 

Publié dans:CO-CREATION, DEVELOPPEMENT, ELEMENTS, ENERGIES |on 26 juillet, 2013 |Pas de commentaires »

canneberge, « la » plante contre les infections urinaires

 

 canneberge,

Les femmes sujettes aux cystites ont tout intérêt à consommer régulièrement des extraits de ce fruit acide, qui a bien d’autres vertus.

La canneberge est un arbrisseau à feuilles persistantes qui pousse à l’état sauvage dans les tourbières des régions froides, les forêts de montage et les prés sablonneux, notamment en Amérique du Nord (États-Unis, Canada). Sa culture nécessite un sol acide ainsi que beaucoup d’eau. Ses rameaux minces et rampants peuvent atteindre 80 centimètres. Ils portent de petites fleurs ovales et roses qui produisent des baies rouges. Ces fruits au goût acidulé, qui sont récoltés de fin septembre à fin octobre, sont utilisés en thérapeutique.

Principales propriétés pharmacologiques

La canneberge a une acidité supérieure à celle du citron. Dans l’urine, ce pouvoir acidifiant inhiberait le développement de bactéries E. coli qui ne prolifèrent qu’en milieu neutre (ni acide, ni basique).

Plus récemment, les recherches ont permis également de montrer que l’un de ses tanins diminue la fixation de cette bactérie E. coli sur les parois de la vessie.

D’autres études indiquent qu’un des composants des baies de canneberge peut empêcher le rassemblement de certaines bactéries responsables de la plaque dentaire et de maladies parodontales.

Usages les plus fréquents

C’est avant tout la prévention de la cystite (inflammation infectieuse de la vessie) et de ses récidives chez les femmes, une action validée par l’Agence du médicament. Les spécialistes conseillent de la mélanger avec la piloselle (diurétique) et l’échinacée (stimulant l’immunité). Mais, dès les premières brûlures urinaires, ils recommandent de prendre une association busserole (antiseptique urinaire)/échinacée, le tout dans une eau minérale riche en bicarbonates.

La canneberge permet aussi d’éviter les ulcères digestifs dus à Helicobacter pylori et les maladies du parodonte (tissu de soutien des dents). D’ailleurs, ils est démontré qu’un traitement quotidien de 6 semaines avec un rince-bouche contenant les constituants de la canneberge entraîne une diminution significative du nombre de bactéries dans la salive.

Précautions d’emploi

Aucune toxicité, aucun effet secondaire connu et aucune contre-indication. Néanmoins, les personnes ayant un excès d’acide urique ou des antécédents de calculs urinaires doivent être prudentes. Quant aux diabétiques, ils ne doivent pas négliger la présence de sucres dans ces fruits.

À savoir

Cette plante, dont les baies constituent un composant de base de la sauce anglaise, est souvent appelée par son nom anglais, celui de cranberry. Mais attention, ce n’est pas son jus mais son extrait qui est efficace en thérapie.

L’ingestion d’un litre de jus de canneberge par jour pendant une semaine entraîne une légère diminution de l’acidité urinaire, une augmentation significative du taux de calcium et d’oxalate. Cette boisson augmente donc le risque de certains calculs (ceux à base d’oxalate de calcium), tandis qu’elle diminuerait celui de calculs phosphocalciques.

Ces fruits comestibles mais acides sont meilleurs après le gel ; dans le nord de l’Europe, on en fait une excellente gelée et aussi des confitures. Les feuilles peuvent servir à faire du thé.

Sources: Monographie de l’Institut européen des substances végétales (IESV) Le guide des plantes sauvages comestibles en France, par Michel Botineau, collection Guides des fous de nature, éditions Belin.

 

Publié dans:PLANTES |on 26 juillet, 2013 |Pas de commentaires »

Homosexualité dans la société |
madioucisse |
Les anniversaires des stars |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | Sénégal Junior Intelligence
| Anglais pour non-spécialist...
| bobs3