Archive pour le 21 juillet, 2013

Créer par la pensée

Dessiner, peindre, voilà quelque chose qui était tout simplement impensable pour les grands paralysés. Une nouvelle Interface Cerveau Ordinateur permet désormais d’accéder à un logiciel de peinture… a condition de bien maitriser ses ondes cérébrales.

Créer par la pensée dans CO-CREATION crayon

Imaginez manier des crayons et des pinceaux sans lever le petit doigt. Heide Pfützner, une autrichienne paralysée à cause d’une sclérose latérale amyotrophique (SLA), a réussi à actionner un logiciel de peinture rien qu’avec sa pensée. 

C’est un véritable exploit. Car il ne suffisait pas juste de penser la peinture pour qu’elle se fasse. Il s’agissait de réellement maîtriser l’état de ses ondes cérébrales afin d’obtenir des effets précis sur le logiciel auquel elle était reliée. C’est ce qu’on appelle un exercice de neuro-feedback : apprendre à moduler ses réactions neuronales en fonction des résultats qu’elles ont sur un dispositif. Un vrai travail de yogi, coiffé d’électrodes qui actionnent une Interface Cerveau Ordinateur (ICO).

Si le champ des ICO est en plein essor, les recherches de l’équipe du Dr Guger de la société de technologie gTec en Autriche, permettent d’ouvrir la possibilité de créer. Et cela peut faire une grande différence pour des personnes dont le champ d’expression est autrement réduit à néant ou à des réponses fonctionnelles, du genre oui-non. « Le Brain Computer Interface est une technologie révolutionnaire qui me permet de créer de l’art avec mes pensées », a témoigné Heide Pfützner pour le Telegraph.

Et selon Javi Rodriguez chercheur de gTec, ce genre d’ICO pourrait aussi être utilisé chez les comateux. « Il peut être très difficile de dire si un patient est dans un coma réel ou « bloqué ». L’idée est de fournir un test pour contrôler l’état du patient », explique-t-il. Ces dispositifs pourraient alors ouvrir le scaphandre de certaines personnes en leur donnant la possibilité de peindre des papillons.

Lire l’article sur Maxisciences

Publié dans:CO-CREATION, PENSEE |on 21 juillet, 2013 |Pas de commentaires »

La médecine du futur


Loin de la conception cartésienne de l’être humain, des scientifiques sont en train de prouver l’existence de champs énergétiques liant le corps, l’esprit et l’environnement. Le documentaire The Living Matrix évoque ces pistes de recherches qui bouleversent nos conceptions traditionnelles. Si le film juxtapose parfois les témoignages et les découvertes scientifiques sans démontrer leur lien logique, il esquisse aussi le portrait prometteur d’une médecine d’avenir.

La médecine du futur dans GUERISON image_front_1_

Serions-nous à l’aube d’une révolution médicale ? Les avancées en matière de biophysique et de soins bioénergétiques sont en passe de changer fondamentalement notre conception de l’univers et de l’être humain.
Les peuples premiers et les cultures ancestrales ont toujours considéré l’univers comme un tout.
A la fin du 17ème siècle, les découvertes d’Isaac Newton et de René Descartes nous ont extraits de la trame de cet Univers, créant un modèle mécaniste où nous sommes tous séparés les uns des autres, et où l’esprit est séparé du corps. Un esprit réduit à un épiphénomène de la matière. Un corps sans pensée ni intériorité, qu’on voit comme une machine chimique à deux moteurs : le cerveau et le cœur, et qu’il suffit, en cas de défaillance, de rebooster avec la bonne substance chimique pour aller mieux. Il n’y a plus d’interconnexion entre les êtres vivants, et tout n’est plus qu’une histoire de suprématie de la matière, régie par des lois fixes. Cette idée réductionniste demeure le fondement de la pensée occidentale. Et notre médecine actuelle fonctionne encore sur cet ancien paradigme de la physique. Pourtant, aujourd’hui, des chercheurs en biophysique et biologie cellulaire vont vers une nouvelle compréhension de l’Univers, de l’Homme, du corps, de l’esprit et de la maladie, laissant entrevoir alors de nouvelles perspectives sur le plan médical. 
Le documentaire The Living Matrix, réalisé en 2009, par Greg Becker, donne la parole à des chercheurs, des thérapeutes, une journaliste scientifique, Lynne Mc Taggart ou encore l’astrophysicien Edgar Mitchell, pour explorer les principes de la bioénergétique du champ corporel humain. Si, à sa sortie, ce film n’avait pas fait grand bruit, il devient aujourd’hui une référence pour tous ceux qui s’intéressent aux médecines alternatives. Un succès tardif qui coïncide avec une ouverture d’esprit récente du grand public, et symbolise une tendance à ne plus vouloir considérer la science comme une vérité immuable et absolue. 
« A travers les siècles, explique le Dr Bruce Lipton, biologiste et généticien, nous nous sommes focalisés sur la réalité mécanique et avons abandonné le concept d’énergie et de champs dans la biologie. Mais on reconnaît maintenant que l’esprit est un champ énergétique de pensée que l’on peut lire avec les capteurs d’un électroencéphalogramme ou encore mieux, à l’aide d’un nouveau procédé de magnéto-encéphalographie, une sonde qui, bien qu’elle soit placée en dehors de la tête, peut lire les champs de l’activité nerveuse, sans même toucher le corps ». « La physique quantique tente de comprendre comment les cellules se parlent entre elles et comment elles gèrent l’information », explique Peter Fraser, chercheur en biophysique. 

Le pouvoir de la pensée

D’après les scientifiques intervenant dans ce documentaire, tout est question d’interconnexions entre les champs énergétiques du corps et de l’esprit. Les pensées, qui possèdent une réelle énergie physique, iraient même jusqu’à créer le corps. Le mental, l’intention et les croyances seraient alors trois facteurs capables d’influencer la maladie ou la guérison. « Nous avons constaté en laboratoire que lorsque nous avons des pensées positives, nous envoyons des substances chimiques, explique Edgar Mitchell. Pareil pour les pensées négatives qui ont un effet significatif sur le comportement des cellules. »
Si je pense : « Je vais aller mieux », serai-je réellement capable de me soigner ? 

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Publié dans:GUERISON, MAITRISE, PENSEE, POUVOIR |on 21 juillet, 2013 |Pas de commentaires »

Humain si petit !

Le big-bang est invisible, on n’a encore jamais vu la naissance d’une étoile ou d’une galaxie, mais la théorie reste confirmée ? 

Humain si petit ! dans HUMANITE b3

Le fait que nous ne puissions pas observer directement l’univers avec des télescopes entre le moment de l’explosion primordiale et la 380 000e année à cause de son opacité ne veut pas dire que nous n’avons aucun moyen expérimental pour explorer cette période. L’univers, à ses débuts, n’est en effet pas autre chose qu’un immense accélérateur de particules élémentaires, avec des électrons, des protons, des photons, des neutrinos, et d’autres particules encore et leurs anti-particules. Celles-ci allaient et venaient dans tous les sens, s’entrechoquant dans des collisions violentes. C’était un univers à très haute énergie, très chaud, très petit et très dense. Nous pouvons reproduire certaines de ces hautes énergies en construisant de grands accélérateurs de particules sur Terre. Ceux-ci prennent donc le relais des grands télescopes pour nous permettre de remonter à des temps plus tôt que la 380 000e année. Le plus grand accélérateur qui existe actuellement est le LHC (Large Hadron Collider, ou Grand collisionneur de protons) au CERN (Centre Européen de la Recherche Nucléaire) à Genève. Il va entrer en opération en l’an 2008 et permettre de remonter le temps jusqu’à un milliardième de seconde après le big-bang et de tester la théorie du big-bang et certaines théories de particules élémentaires, comme la théorie des cordes selon laquelle les particules élémentaires ne sont pas des points, mais des vibrations de bouts de corde infinitésimalement petits (de 10-33 cm). L’observation en direct des premières étoiles et galaxies pendant la prochaine décennie permettra de tester la théorie du big-bang encore plus loin. Mais en attendant, comme je vous l’ai dit, cette théorie a passé triomphalement bien de tests observationnels, que ce soit la distribution en énergie du rayonnement fossile ou la composition chimique des corps stellaires.

Qu’en est-il – détail énorme non sans rapport avec notre propos – de cette « masse noire » qui échappe à toute observation ou détection, tout en constituant, en théorie, plus des trois quarts de notre univers ? 

La « masse noire » découverte par l’astronome suisse-américain Fritz Zwicky en 1933 constitue en effet l’un des plus grands mystères de l’astrophysique contemporaine. A cela est venu s’ajouter le mystère de l’ « énergie noire » découverte en 1998, qui fait que l’expansion de l’univers, au lieu de décélérer est en accélération. Ainsi, nous vivons dans un univers-iceberg dont la partie émergée est minuscule. En effet, la partie visible de l’univers, les étoiles et les galaxies qui brillent, ne constituent qu’une partie infime (0,5%) du contenu total en masse et énergie de l’univers. Ces étoiles et galaxies sont faites de matière ordinaire (protons, neutrons, électrons désignés sous le nom générique de « baryons ») comme vous et moi. Mais en mesurant les mouvements du gaz d’hydrogène et des étoiles dans les galaxies et ceux des galaxies dans les amas de galaxies, les astrophysiciens se sont aperçus qu’il existe une grande quantité de « matière noire » qui ne brille pas, et qui manifeste sa présence principalement par les effets gravitationnels qu’elle exerce. Sans la présence de cette matière noire, les galaxies et les amas de galaxies se seraient désintégrés et auraient disparu en quelques centaines de millions d’années. Or ils sont toujours là. Il faut donc la présence d’une masse noire dont la gravité retienne le gaz et les étoiles dans les galaxies, et les galaxies dans les amas de galaxies. On sait que la matière noire constitue un total de 26,5% du contenu total en matière et énergie de l’univers. Sur ces 26,5%, seulement 4% sont composés de matière baryonique ordinaire, probablement sous la forme de nuages de gaz chaud dans les amas de galaxies et de gaz froid dans l’espace intergalactique. Qu’en est-il des 22,5% restants ? On pense qu’ils sont constitués de matière non pas ordinaire mais « exotique ». Certains astrophysiciens pensent que cette matière exotique se présente sous la forme de particules subatomiques massives nées dans les premières fractions de seconde du Big Bang et interagissant très faiblement avec la matière ordinaire et pas du tout avec la lumière. La matière lumineuse (0,5%) et noire (26,5%) contribue donc un grand total de 27%, soit à peu plus du quart du contenu de l’univers. Notre recensement de celui-ci est-il complet ? Assurément non, car en 1998 les astronomes furent tout ébahis de découvrir que le mouvement de fuite des galaxies aujourd’hui, au lieu de décélérer, ralenti par la force de gravité attractive du contenu matériel de l’univers comme on s’y attendait, s’accélère au contraire. Ils ont été contraints et forcés d’admettre qu’il existe dans l’univers une mystérieuse force « anti-gravité » répulsive qui s’oppose à la gravité. Les observations montrent que l’univers a bien été en décélération, mais seulement pendant les sept premiers milliards d’années de son existence. A partir de la sept milliardième année, il y a 6,7 milliards d’années, la force anti-gravité a pris le dessus sur la force de gravité et a provoqué l’accélération du mouvement d’expansion de l’univers. Le mouvement d’expansion de l’univers est donc analogue à celui de votre voiture quand vous vous arrêtez à un feu rouge. Vous appuyez sur votre frein pour décélérer et stopper la voiture au feu. Quand le feu repasse au vert, vous appuyez sur l’accélérateur afin de repartir. Comme pour l’univers, le mouvement de décélération a été suivi par un mouvement d’accélération. Les astrophysiciens pensent que la force anti-gravité responsable de l’accélération de l’univers est liée à la densité d’énergie du vide quantique qui existait dans les tout premiers instants de l’univers. Faute de plus d’informations, ils ont baptisé cette mystérieuse énergie « énergie noire ». Les mesures du taux d’accélération de l’univers nous disent que l’énergie noire contribue 73% du contenu de l’univers. Et les dernières mesures du contenu total en énergie et masse de l’univers ajoutent que nous vivons dans un univers de courbure nulle (on appelle cela un univers « plat »), avecune expansion éternelle qui ne s’arrêtera qu’après un temps infini ! 

Ainsi, non seulement la matière lumineuse dans les étoiles et les galaxies ne constitue qu’un insignifiant 0,5% du contenu en masse et énergie de l’univers, non seulement la matière dont nous sommes faits (protons, neutrons, électrons) n’en constitue qu’un minuscule 4%, non seulement il existe environ 6,5 fois plus de matière noire exotique (23%) que de matière noire ordinaire (3,5%), mais la majeure partie du contenu de l’univers (73%) est formée d’une mystérieuse énergie noire dont l’origine nous échappe totalement ! Le fantôme de Copernic à continué à sévir de façon implacable ! Depuis que le chanoine polonais a délogé la Terre de sa place centrale dans l’univers en 1543, l’homme n’a cessé de se rapetisser au sein de l’univers, à la fois dans l’espace et dans le temps. Notre astre, le Soleil, est devenu une simple étoile de banlieue parmi les centaines de milliards qui composent la Voie lactée. Celle-ci s’est perdue à son tour parmi les centaines de milliards de galaxies qui peuplent l’univers observable. Mais l’ego humain n’a pas fini de prendre des coups ! Désormais, l’homme sait qu’il n’est pas fait de la même matière que la plus grande partie de l’univers et que, si protons, neutrons et autres électrons n’étaient pas venus au monde, cela aurait à peine perturbé le contenu en masse et énergie de l’univers. Et pourtant, le miracle, si j’ose dire, est que malgré sa place insignifiante dans l’univers, l’homme est là pour se demander des questions sur le cosmos qui l’a engendré !

En quel sens ? 
Ne peut-on considérer comme quelque peu miraculeuse cette majestueuse structure cosmique dont témoigne l’univers, riche aussi de désordre, de chaos, d’incertitude; mais si parfaitement réglée qu’elle a donné naissance à la conscience ?

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Publié dans:HUMANITE, PLANETES, SOCIETE |on 21 juillet, 2013 |Pas de commentaires »

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