Archive pour mars, 2013

Communiquer par Channeling

 

résumé de lectures par : Pascuser

Quelques notes sur le moyen de communiquer par channeling :

Communiquer par Channeling dans CHANNELING nabuleuse1Tom (c’est le nom de l’aspect des neufs qui communique à travers Phyllis Schlemmer) indique que leur mode de communication n’est pas du channeling à proprement parler. Ils ne parlent pas à Phyllis, ils ne lui relaient pas d’information. Phyllis est systématiquement sortie de son corps (sur sa volonté de participer à ce travail) et ne le dirige plus lorsque Tom est là. Ils lui avaient demandé au tout début si ils pouvaient faire diriger les fonctions basiques de son corps par un ordinateur, ce qui les soulagerait de cette charge pendant que Tom occupe le corps. Ayant peur de

ceci, elle a refusé, mais accepté que ça soit les neuf qui prennent en charge le corps eux-mêmes. Cela amène des difficultés parfois de leur côté, car ils assurent la respiration, la circulation es fluides, etc puisque les principes inconscients de Phyllis ne sont pas là. Tom est alors dans le corps et il utilise le cerveau de Phyllis auquel il envoie ce qu’il veut dire en pensée ; le cerveau renvoie les mots et le corps les prononce.

Phyllis ne sait jamais ce qui s’est dit durant les séances, il faut lui raconter après ; elle n’est pas consciente de la conversation pendant qu’elle a lieu ; elle n’est pas là.

PS : une fois les neufs étaient apparus à Phyllis sous la forme de vieillards vénérables alors qu’elle était « sortie » de son corps. Elle leur a demandé de voir leur véritable apparence. Elle les a alors vu sous la forme de boules de lumière ; c’est ainsi qu’ils sont en tant qu’âme.

Les neuf indiquent qu’ils n’ont aucune raison de devoir utiliser un autre canal puisque la mission que Phyllis pour permettre la communication est bien remplie ; et qu’ils n’utilisent aucun autre canal directement à travers le monde (ils ne le feront pas à moins que Phyllis ne vienne à disparaître)

Certains medium disent parfois avoir des informations des neuf. Un participant cite des noms (non indiqués dans le livre) et les neuf disent qu’en effet ce sont des civilisations partenaires qui leur parlent, mais pas eux directement ; seulement indirectement pare ce qu’ils sont sous le giron indirect des neuf; mais en fait ce sont des informations de la responsabilité seule de la civilisation qui parle aux médiums.

Aux questions de savoir comment on peut faire confiance en le channeling de Tom, puisque le Tibétain par exemple indique que ce sont des informations provenant de bas astral, d’esprits désincarnés et qu’il ne faut pas faire confiance en la médiumnité ?

Ils répondent qu’en effet à l’époque ou cette information a été donnée, il y avait beaucoup d’utilisation des médiums et de contacts avec des esprits inférieurs qui se faisaient passer pour qui ils n’étaient pas, et donc la nécessité de ne pas faire confiance à n’importe qui était importante. Dans le fond la situation est la même aujourd’hui, n’importe quel esprit peut dire n’importe quoi à n’importe quel médium ; mais la situation mondiale est différente, il faut à nouveau des interventions, de la communication avec les hommes qui sont nécessaires Il faut donc utiliser de nouveau ce moyen de communication. Les informations du passé sur les façons de faire ne doivent pas être figées et doivent évoluer. Pour savoir à qui se fier ou pas, il faut écouter les propos et voir si on est en accord profond intérieurement ou si ça dysfonctionne. Le tibétain a bien donné des informations de manière psychique lui aussi.

Les neuf insistent en disant qu’ils ne sont pas des esprits (au sens de désincarnés vivant dans l’atmosphère terrestre) Parmi les esprits il y en a d’évolués qui peuvent apporter des messages de valeur et beaucoup qui ne sont pas évolués et qui n’apportent que de la confusion à ne pas écouter. Comment faire la part des choses : il faut utiliser son intérieur.

Beaucoup de civilisations aussi utilisent des moyens de relais psychique pour communiquer (des sous-civilisations des 24 et des civilisations des « autres »). Il y a des bonnes choses à prendre et beaucoup à rejeter aussi.

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Publié dans:CHANNELING |on 6 mars, 2013 |Pas de commentaires »

Le Fils de l’Homme


Par le Maître -, par l’entremise de Benjamin Creme

  Nombreux sont ceux qui attendent le retour du Christ dans l’appréhension et dans la crainte. Ils pressentent que son apparition provoquera de grands changements dans tous les domaines de la vie. Ils n’ignorent pas que ses valeurs ne pourront que transformer leur façon de penser et de vivre, et pâtissent face à une telle perspective. En outre les Eglises ont donné du Christ une image si mystique à travers les siècles, que beaucoup craignent son jugement et son pouvoir omnipotent. Ils l’attendent comme un Dieu venu pour punir les méchants et récompenser les fidèles.

  Il est profondément regrettable qu’une vision aussi déformée du Christ ait ainsi pénétré la conscience humaine. Un tel être n’existe pas. Pour comprendre la véritable nature du Christ, il est nécessaire de le considérer comme un fils de Dieu parmi tant d’autres dotés chacun d’un potentiel pleinement divin, et ne différant de ses frères que par le degré qu’il a atteint dans la manifestation de cette divinité.

Le Fils de l'Homme dans JESUS personnage-300x300  Que le Christ ait manifesté cette divinité dans sa plénitude est ce qui fait sa gloire, et nous pouvons nous incliner devant un tel accomplissement. Qu’un tel accomplissement soit rare est également une vérité indiscutable. Mais pour les hommes, le prodige est que le Christ ait été l’un d’entre eux. Il n’est rien, parmi les épreuves et les souffrances des hommes, qu’il ne connaisse. Comme tous les hommes, il a parcouru le sentier pas à pas. Il n’est rien, dans l’éventail complet de l’expérience humaine, qu’il n’ait partagé. Ainsi est-il vraiment le Fils de l’Homme.

  Il ne fait guère de doute que s’il devait apparaître parmi nous sans être annoncé, peu le reconnaîtraient. Il est si différent de l’image que l’on se fait de lui habituellement, qu’il passerait inaperçu dans la foule. Il en est ainsi aujourd’hui, alors qu’il se trouve parmi ses frères, n’attendant que l’invitation des hommes pour commencer sa mission. Nombre de ceux qui le voient quotidiennement ne le reconnaissent pas. D’autres le reconnaissent, mais ont peur de parler. D’autres encore attendent et prient, dans l’espoir qu’il est bien celui qu’ils n’osent espérer. Ce n’est qu’une fois qu’il aura fait sa déclaration devant le monde qu’il sera reconnu aux yeux des hommes et dans leur cœur.

  Tandis que nous attendons ce jour sans pareil, tentons de clarifier dans notre esprit les raisons de son retour et de comprendre la nature de la tâche qu’il s’est lui-même imposée. C’est pour établir parmi nous la réalité de Dieu, qu’il est venu ; pour restaurer les Mystères divins, qu’il est ici ; pour apprendre aux hommes comment aimer, et aimer encore, qu’il est parmi nous. C’est pour établir la fraternité humaine, qu’il foule de nouveau le sol de notre Terre ; pour tenir ses engagements envers Dieu et envers les hommes qu’il accepte ce fardeau ; pour inaugurer le nouvel âge qu’il est revenu. C’est pour confirmer les inestimables acquis du passé, inspirer les merveilles du futur, glorifier Dieu et les hommes, qu’il est descendu de sa montagne.

  Considérons ses priorités : instauration de la paix ; inauguration du système de partage ; élimination de la culpabilité et de la peur ; purification du cœur et de l’esprit des hommes ; éducation des l’humanité selon les lois de la vie et de l’amour ; introduction aux Mystères ; embellissement de nos villes ; suppression des obstacles aux voyages et aux échanges entre les peuples ; création d’un fonds commun de connaissances accessible à tous.

  Que pareille tâche ne soit pas aisée, même pour le Fils de l’Homme, est l’évidence même. Les habitudes anciennes de division et de séparation ont de profondes racines, la peur et la superstition tiennent des millions d’êtres sous leur emprise. Mais jamais auparavant dans l’histoire du monde n’est venu un Instructeur aussi bien équipé pour sa tâche. Maitreya vient faire la guerre à l’ignorance et à la peur, à la division et à la pauvreté. Ses armes sont la compréhension spirituelle, la connaissance et l’amour. Son armure resplendissante est la Vérité elle-même.

Juin 1984 
Extrait du livre L’EVEIL DE L’HUMANITE de Benjamin Creme

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Publié dans:JESUS |on 3 mars, 2013 |Pas de commentaires »

Quelques données à propos des Vénusiens

Quelques données à propos des Vénusiens dans PLANETES cheminIl y a des dizaines de milliers d’années, les Vénusiens vécurent sur la Terre et ce sont eux qui fondèrent la civilisation lémurienne. Ils construisirent un grand empire et développèrent la science et la technologie sur la planète mais durent finalement en partir, sans qu’il soit possible d’établir avec certitude s’ils furent contraints à cet exil par des Lyriens ou des Draconiens. 

Les Vénusiens sont des monothéistes et croient en un Dieu unique omniscient et omnipotent. 

Bien que non physiques, les Vénusiens sont mortels. Ce sont des êtres éthériques qui sont capables de se rendre physiques soit avec la seule force de leur esprit, soit en utilisant des instruments spéciaux qu’ils portent généralement à la ceinture. Ils peuvent se matérialiser sous n’importe quelle forme. Ils se considèrent eux-mêmes comme des frères et sœurs des humains. D’après ce qu’Omnec Onec ou des contactés comme Adamski en ont rapporté, leur apparence naturelle est celle de nos races terrestres nordiques, mais ils sont beaucoup plus lumineux, avec une consistance moléculaire et une fréquence différentes de celles de nos corps terrestres.

 Le royaume des Vénusiens ne se limite pas uniquement à Vénus ; il recouvre un monde plus large et situé sur un niveau de fréquence plus élevé, qui englobe Vénus. Leur race, « les Nors », vit disséminée dans plusieurs systèmes stellaires. Ils ont des bases et des colonies sur Mars et Vénus. Ils ont aussi une base sur la Lune, comme en possèdent d’ailleurs différents autres groupes d’extraterrestres. Ces autres groupes utilisent souvent Mars et Vénus comme point de ralliement pour venir nous observer, parce que ce sont les planètes les plus proches de la Terre. 

Les vaisseaux vénusiens peuvent être contrôlés soit manuellement, soit automatiquement, soit par la pensée. Ceux qui sont capables de contrôler les vaisseaux par leur pensée correspondent à l’élite vénusienne. De nombreux vaisseaux voyagent au voisinage de la Terre sans qu’il nous soit possible de les apercevoir, à moins d’être clairvoyant ou à moins que leurs occupants n’aient choisi de les matérialiser. Les Vénusiens utilisent des vaisseaux-mères qui transportent d’autres vaisseaux plus petits dont il existe sept types différents. Certains ont été photographiés par le contacté Adamski. 

Dans ses livres, Omnec Onec a largement décrit le mode de vie des Vénusiens sur leur planète. Ils ont, semble-t-il, connu des périodes de guerres intenses, leurs civilisations ayant plusieurs fois été détruites durant les dizaines de millions d’années écoulées. Ils vécurent à une époque dans le plan physique de leur planète. Puis ils ont fini par atteindre un état d’équilibre et d’harmonie et leur planète est entrée dans un « Âge d’Or ». Leur quête d’un état de conscience supérieur a permis à l’ensemble de leur civilisation un glissement dimensionnel de la vie physique vers le plan éthérique où ils séjournent normalement. 

À l’heure actuelle, Vénus serait habitée par des entités physiques humaines et reptiliennes, sous la surface, et par conséquent en sécurité loin des conditions de surface extrêmes. Des colonies existeraient en surface dans des villes dites « biodomes » alors que d’autres vivraient dans la contrepartie d’anti-matière de Vénus, qui se situe dans un univers parallèle. Dans cet univers parallèle d’anti-matière, Vénus ferait partie d’une alliance de 12 planètes appelée l’Alliance Koldasienne, selon certains contactés. 

Les Vénusiens organisent des patrouilles spatiales qui travaillent sous le contrôle d’un Conseil Galactique composé de représentants des planètes avancées. Ce Conseil est également connu sous le nom de « Fédération des Planètes ». Les patrouilles de la Fédération peuvent servir de force armée dans certains cas extrêmes, comme ce fut probablement le cas lors de conflits avec des Draconiens. Leurs vaisseaux sont équipés de rayons désintégrant qui rendent en comparaison la bombe H aussi désuète que des arcs et des flèches. Ces armes ne sont presque jamais utilisées mais restent toujours disponibles en cas d’urgence. Ils protègent les planètes expérimentales comme la Terre contre les menaces extérieures. Les équipages sont constitués d’hommes et de femmes, et les familles voyagent souvent ensemble. 

L’une des missions des Vénusiens consiste à aider la race humaine à développer ses niveaux matériel, moral et spirituel. Ils nous transmettent parfois des informations d’ordre éthique ou bien scientifique quand ils jugent le moment opportun, en fonction d’une évaluation des risques encourus et en respect des lois universelles. Les Terriens ont eu des contacts avec des êtres de Vénus depuis au moins 18,5 millions d’années. En effet, Sanat Kumara, le Logos de la Planète Terre, autrement dit la Conscience planétaire à laquelle appartiennent toutes les âmes de toutes les lignées d’évolution minérales, végétales, animales, humaines et autres, est venu jadis de Vénus avec 105 frères kumaras pour créer la Hiérarchie Spirituelle de notre planète. Vénus est une planète sœur de la nôtre qui incarne le principe d’Amour. Il semble que Jésus soit venu de Vénus, de même que Bouddha et qu’ils soient originellement des kumaras.

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Publié dans:PLANETES |on 3 mars, 2013 |Pas de commentaires »

Eveiller sa faculté de canalisation

         

Pamela transmet Marie Madeleine.

Ce message a été reçu dans le contexte d’un atelier offert par Gerrit & Pamela sur le thème de la canalisation. La plupart des participants étaient des conseillers spirituels désireux de développer leurs talents de canalisation et de surmonter leur manque de confiance en eux dans cette matière.

Eveiller sa faculté de canalisation dans ASCENSION eclat

Chères sœurs, chers frères, je vous accueille tous cordialement. Je suis Marie Madeleine et je ne suis pas venue seule. Je suis ici en compagnie de beaucoup d’autres. Aujourd’hui, nous allons parler de l’art de canaliser. Beaucoup d’entre vous désirent canaliser mais se sentent enfermés dans le doute et l’anxiété à ce propos. Certains d’entre vous canalisent déjà mais n’osent pas l’exprimer en public. Aujourd’hui, j’aimerais offrir une perspective différente sur la question de savoir si vous pouvez ou devriez canaliser. Je vous dis que le fait de canaliser n’est pas du tout quelque chose de nouveau pour vous. Vous l’avez déjà pratiqué sous diverses appellations dans de nombreuses vies avant celle-ci. Ce n’est pas très difficile ! S’ouvrir à la canalisation ne consiste pas à apprendre quelque chose de nouveau pour vous, mais plutôt à réveiller des talents qui vous sont familiers, voire même innés.

Vous avez tous vécu sur cette planète auparavant et avez exprimé vos talents sur Terre dans différentes vies : les dons de l’intuition, de la canalisation, du troisième œil. Vos vies précédentes ont souvent été marquées par ces dons et ils sont encore là aujourd’hui. Chacun-e de vous est entouré-e des personnalités que vous avez été autrefois et qui, sous une forme ou une autre ont écouté cette voix intérieure, la voix de l’âme, et l’ont transmise à d’autres personnes sur terre. Vous avez été un pont entre ce monde et l’autre, le monde de l’âme dont vous êtes originaires. Longtemps, cela a été l’appel de votre âme. Essayez de percevoir, si vous le pouvez, ces personnalités autour de vous. Elles font partie de votre âme, comme un rayon de soleil fait partie du soleil. Elles n’en sont pas la totalité, mais une partie inaliénable. Peut-être voyez-vous ou ressentez-vous certaines de ces silhouettes de vies passées autour de vous. Prenez le temps de les ressentir calmement et clairement.

Ce n’est pas nouveau pour vous de canaliser. Vous avez déjà fait cela auparavant, de différentes façons et sous différentes formes. C’est quelque chose de familier, qui vous est venu naturellement. Je vous demande maintenant de vous relier à cette manière de canaliser familière et naturelle que vous connaissiez dans ces vies précédentes, ou plutôt, appelons-les ces « autres vies ». Ces choses ne sont pas limitées dans le temps, comme vous pourriez le penser. Permettez à chacune de ces personnes que vous avez été de s’approcher et de se couler en vous, observez simplement qui s’avance et n’intellectualisez pas trop. Laissez simplement cela se faire à partir de votre ressenti. Vous n’avez pas besoin de voir une personne, vous pouvez en avoir une simple impression. Et parfois, ça prend juste un peu de temps avant que vous ne ressentiez quelque chose. Cette femme ou cet homme que vous sentez près de vous et qui fait partie de votre âme veut vous donner quelque chose maintenant.

Les vies précédentes, les autres vies, sont comme toutes les vies, un mélange de beau et de moins beau : lumière et ombre, bien et mal, si vous voulez. Cette personne qui est maintenant avec vous vient vous donner sa Lumière et cette belle partie fluide d’elle-même qui ressentait une connexion et formait un pont avec l’autre monde depuis lequel elle canalisait de l’amour, de l’encouragement et de l’espoir pour les gens de son entourage. Souvenez-vous de cette connexion, pas mentalement, mais dans vos cellules et vos ressentis. Retrouvez l’impression, à quoi ressemblait ce pont vers l’autre monde.

Permettez-vous de recevoir de l’aide dans ce processus en considérant cette personnalité d’une autre vie comme un guide. Imaginez un temps où la canalisation se passait bien et où vous étiez capable de partager le courant de votre âme avec d’autres personnes. Vous n’avez pas besoin d’imaginer les détails. Il s’agit du courant et du sentiment de sécurité que vous aviez, ainsi que de son évidence et de son caractère familier. En fait, aucun d’entre vous ne doit apprendre à canaliser, car c’est quelque chose que vous savez déjà faire. La clé est de rétablir la manière de le faire : vous reconnecter à cette partie de vous qui fait cela avec facilité. Bien qu’il existe des peurs et des souffrances qui résistent en vous, en vous souvenant de la facilité avec laquelle la canalisation se faisait, vous enlevez un morceau de cette résistance.

Le temps est venu maintenant, il y a une réelle opportunité sur Terre pour accueillir ce que vous avez à offrir. Il y a des gens qui attendent que cette énergie vous traverse, vous et vos frères et sœurs artisans de Lumière. Le monde vous attend ! Alors que dans d’autres vies et en des temps anciens, vous avez souvent dû être circonspects et agir presque subrepticement et en secret, il y a actuellement un besoin, une opportunité et une réceptivité pour vos dons. La puissance féminine du troisième œil et de l’intuition est de nouveau bienvenue. En réalité, c’est une sous-estimation : elle est non seulement bienvenue mais on en a désespérément besoin ! L’humanité est en détresse. Il y a une crise dans le monde entier, une crise économique et écologique. C’est une crise profonde dans son questionnement : « Quelle est notre relation à nous-mêmes, au monde et à la Terre ?  » Tout le fondement de notre future relation à nous-mêmes et aux autres tourne autour de cette question.

Beaucoup de gens sont pris dans les peurs, les conflits, l’illusion. Certains se sentent perdus et il y a une solitude profonde dans le cœur des êtres humains. De cette solitude émerge la recherche désespérée d’une balise externe à laquelle se raccrocher. Mais cette Lumière guidante n’est pas extérieure. Vous ne la trouverez en personne d’autre, ni dans une institution ni dans une organisation. Actuellement, il est clair qu’il n’y a plus aucune certitude en-dehors de soi : pas dans un emploi, ni une maison, ni même dans une relation personnelle, ni dans un cercle d’amis. Vous êtes amenés toujours plus au fond de vous, à l’intérieur, par tout ce qu’il se passe au-dehors. Cela peut effrayer beaucoup de gens. Vous avez pu ressentir cela lors de la méditation tout à l’heure, en vous connectant à l’énergie collective. (Avant la transmission, Gerrit a offert une méditation guidée au groupe). Vous avez pu observer la peur et le stress que vivent beaucoup de gens actuellement.

Quel est votre rôle dans tout cela ? Votre tâche, votre chemin ? La réponse se trouve dans votre réalité intérieure. Cela revient toujours à rester proche de soi-même, car vous savez que le « chemin » est en vous. Vous êtes déjà familiers avec ce monde intérieur, avec la paix et le calme que vous pouvez y trouver. C’est pour cette raison que vous êtes là actuellement, pour être les guides ou les enseignants, dans le sens le plus large et le plus libre de ces termes. Non pas comme des chefs, au sens traditionnel, mais pour être des exemples vivants d’une connexion profonde avec ce qui transcende la vie terrestre, avec ce qui transcende les certitudes externes, et avec ce qui est indépendant de celles-ci. Une connexion avec votre âme. En un sens, votre mission de vie consiste à laisser rayonner cette connexion envers les autres. Cela vous amène directement au cœur de ce que vous êtes, et ainsi, vous touchez aussi les autres et les invitez à faire de même.

Ramenez votre attention sur ce petit cercle de personnalités d’autres vies qui vous entourent et qui font partie de vous. Vous partagez avec elles des qualités et des traits de caractère, même si elles ont vécu à des époques et dans des circonstances différentes. Mais dans leur essence, c’est le même cœur. Dites-leur, à celles qui ont dû agir dans l’ombre et le secret, que la voie est libre maintenant : « J’ai la permission maintenant de révéler toutes les qualités que vous avez développées par le passé. Je peux maintenant laisser rayonner ma Lumière, je suis bienvenue sur Terre. »

Chez certaines de ces personnalités, vous pouvez ressentir qu’il y a des mémoires douloureuses de rejet, de condamnation, de n’avoir eu aucune opportunité de partager la réalité qu’elles avaient à donner. Il est temps à présent de guérir toutes ces vieilles souffrances. Elles doivent être vues, rappelées et honorées, afin qu’elles puissent être libérées et laisser la place à une joie, une légèreté nouvelles, une manière d’être soi-même sans effort.

Ces personnalités anciennes peuvent vous rappeler vos dons, vos connexions naturelles, votre âme. C’est le cadeau qu’elles vous apportent : des qualités que vous avez toujours élaborées et cultivées très soigneusement en d’autres temps, par l’expérience, la pratique et l’entraînement. Mais vous avez aussi un cadeau pour elles en retour : Dites-leur qu’elles peuvent maintenant lâcher prise de leurs anciens fardeaux, et qu’elles peuvent s’affranchir du sentiment de ne pas être bienvenues, de cette souffrance passée. Ne pas vous sentir bienvenus et et ne pas vivre ce qui vous était naturel ont été une grande souffrance pour vous. Malgré cela, votre sagesse a grandi à cause de cette expérience ainsi que votre compréhension de la nature humaine, de la lumière et de l’ombre. Acceptez ce passé et laissez vos autres vies retourner à leur liberté, libérées de leurs vieilles souffrances et de leurs traumas, laissez-les aller leur chemin. Prenez dans votre cœur ce qu’il y a de sage et de beau en elles. Remerciez-les pour cela. Faites-le vraiment du fond du cœur. Remerciez-les pour les cadeaux qu’elles vous laissent, puis libérez-les, afin qu’elles puissent enfin se reposer de leur connexion douloureuse avec la Terre. C’est ainsi que le passé se guérit.

Tout ce qui est bon et durable venant du passé reste avec vous. Ce n’est pas perdu même si cela a longtemps été entouré de souffrances, d’incertitudes, de peurs et de frustrations. Vous pouvez le libérer et récolter un diamant de ce passé. C’est maintenant, dans cette vie, que ce diamant peut briller et rayonner dans le monde et vous donner du bonheur, le bonheur d’être simplement vous-même et de ne plus devoir vous cacher. C’est la clé pour tout. S’il vous est possible de faire l’expérience de ce merveilleux diamant qui est en vous, alors tout le reste arrive presque tout seul dans votre vie. Vous attirez les relations, les circonstances de vie et d’activité professionnelle qui appartiennent au diamant. Ressentez la présence de cette énergie resplendissante en vous. Tant de force et de sagesse emprisonnées depuis des siècles et chez toutes ces personnes que vous avez été. Ressentez-en la profondeur, le mystère et la merveille. Ayez du respect pour ce que vous êtes et cessez de vous mépriser et de vous critiquer.

Ressentez que vous êtes un canal, ici et maintenant, ressentez le diamant que vous êtes. Regardez simplement cet espace de votre corps où vous percevez ce joyau et permettez à son énergie radieuse de circuler dans tout votre corps de façon à baigner dans sa Lumière.

Je suis ici en égale, je ne suis pas un maître qui se tient au-dessus de vous. Je suis exactement comme vous et je me sens très proche de vous, votre égale dans mon cœur. Quand vous avez des doutes, ce qui est fréquent dans la réalité humaine, Je suis avec vous pour vous aider à mobiliser vos forces et vous rappeler qui vous êtes. Pour vous rappeler de croire vraiment en vous, et de rester en contact avec le diamant éblouissant que vous êtes déjà, ici et maintenant.

Pamela Kribbe - Traduction Christelle Schœttel

- Les messages de Jeshua sont disponibles en livre ! - 

La peur du bonheur


La peur du changement : principale résistance au bonheur.

La peur du bonheur dans PEUR a

Qui, spontanément réfléchit au bien fondé et au pourquoi de ses actes quand tout va bien ? Spontanément ? Pas grand monde.. Quand la vie est un long fleuve tranquille où tout coule de source (ou presque !), les interrogations existentielles ne semblent pas être le propre de l’homme. Et même quand çà va moins bien, il est démontré qu’on possède des capacités énormes à vivre avec nos conflits, nos incohérences et même une bonne dose de mal-être. Parmi les moyens les plus répandus qui contribuent à nous faire accepter ces contraintes, deux semblent exceller : 

-le premier constitue en une rationalisation après coup de nos actions même les plus involontaires, automatiques, néfastes ou incohérentes auxquelles on va trouver une excellente raison logique tendant à prouver que c’était la seule solution possible. Une telle attitude venant d’une autre personne nous semblerait le comble de la mauvaise foi, de nous, çà paraît logique !
-le second est de projeter sur l’extérieur la cause de nos problèmes : l’autre quel qu’il soit, conjoint, enfant, parent, supérieur, etc.ou de manière plus large, la malchance, la fatalité, le destin.

Autre croyance profondément enracinée : celle du caractère. On est malchanceux, timide, nerveux, timoré, etc, etc.de la même manière qu’on a le nez aquilin ou les yeux marrons, une fois pour toutes .C’est comme une caractéristique figée de notre être qui nous détermine à vie dans une certaine catégorie d’individus.

Et ce n’est le plus souvent que quand la souffrance ou le handicap deviennent trop difficiles à supporter et qu’on a l’impression que le temps nous vole une vie dont on a été incapable de profiter, qu’on commence à ressentir le besoin de faire cesser cet état de choses. Encore que dans un premier temps c’est vers l’extérieur qu’on se tourne, attendant la recette ou l’intervention magique, la solution toute faite (et si possible rapide) à nos problèmes.

Et si on a la chance de ne pas se prendre au piège des marchands d’illusion en tout genre et de leurs produits miracles, peut-être en viendra-t-on à considérer que c’est sur soi-même qu’on devra réfléchir et agir pour essayer de changer les choses.
C’est ce que propose une démarche thérapeutique.

1) Responsabilité personnelle ou destin.

Pour entrer dans une telle démarche, il faut éprouver une souffrance ou un handicap suffisamment fort pour dépasser notre inertie habituelle, mais également et surtout avoir au moins l’intuition que nous ne sommes pas pour rien dans cette souffrance, que çà vient en grande partie de nous et non entièrement de l’extérieur. En grande partie ne veut pas forcément dire entièrement : votre conjoint ou partenaire peut être effectivement un ignoble individu, et il n’est pas question de le blanchir, toutefois quand en analyse on découvre les raisons de notre choix, on n’ose plus vraiment impliquer la malchance ! Ce n’est pas forcément lui qui a changé, mais le temps qui révèle peu à peu ce qui était là dès le début mais qu’un aveuglement total de notre part nous masquait afin de nous permettre de mieux tomber dans le piège dont justement on se plaint aujourd’hui. A croire que nos inconscients communiquent mieux que nous et signent des pactes à notre insu, nous laissant le soin de régler les factures ! Ce début de sentiment de responsabilité dans la situation que l’on vit est la condition sine qua non sans laquelle rien n’est possible.

Par exemple, suite à une série d’échecs sentimentaux, 2 solutions se présentent : la première est de dire qu’on n’a décidément pas de chance et que le destin semble s’acharner à nous faire rencontrer exclusivement des personnes qui ne nous correspondent pas. On a alors toutes chances de finir dans une solitude aigrie ou se résigner à se contenter d’une vie insatisfaisante en renonçant à un bonheur qui ne semble pas être pour nous. La deuxième est de réfléchir au fait que c’est bien nous et personne d’autre qui avons été attiré par ces partenaires (et non par d’autres tout aussi possibles).On verra également que toutes ces personnes sous des apparences parfois très différentes ont beaucoup de points communs et que les relations engagées sont quasiment similaires, en tout cas répétitives comme si les leçons des échecs précédents n’avaient pas servi. Peut-être même détectera-t-on certains comportements répétitifs de notre part qui entraînent inéluctablement les mêmes conséquences. Alors de victime, on deviendra acteur et responsable de la situation dans laquelle on se trouve, de passif, on pourra redevenir actif, chercher à comprendre le pourquoi de ces comportements et envisager d’abandonner ces attitudes nocives pour en choisir de plus appropriées. Ce ne sera alors plus exclusivement la faute de l’autre ou du manque de chance mais de comportements erronés de notre part, entraînant des conséquences forcément insatisfaisantes mais toutefois logiques et prévisibles. 

Se sentir responsable de sa situation, c’est reprendre la maîtrise de sa vie, c’est surtout reprendre espoir dans l’avenir puisqu’on sait maintenant qu’il ne dépend que de nous (ou du moins en très grande partie) et qu’il suffit le plus souvent de changer d’attitude pour changer de destin. En effet si on l’a créé, il devient possible de le modifier.

2) Et la maladie ?

Jusque là on n’a parlé que de situations d’échec ou de malaise existentiel.
Qu’en est-il lorsque le malaise n’est pas ressenti à l’état pur mais se masque derrière un symptôme ou une série de symptômes ?

Fatigue, douleurs, troubles fonctionnels tels que colites, migraines, etc. ne sont le plus souvent que des témoins d’un état de stress entretenu par de mauvaises conditions de vie, mais surtout par notre manière de réagir à ces conditions, par exemple en les subissant passivement au lieu de les changer ou en se mettant « comme par hasard » dans des situations impossibles ou des relations toxiques. Alors le conflit engendré dont on n’est pas forcément conscient ou dont on n’ose parler se manifeste au travers du symptôme, celui ci étant une manière pratique d’évacuer nos problèmes sans faire le lien avec leur cause, donc sans éprouver la nécessité de changer quoi que ce soit.

Il est plus dur de nier l’origine personnelle du ou des troubles quand leur origine psychique est plus manifeste comme par exemple dans des crises d’angoisses, une anxiété généralisée, un TOC, une dépression avérée, etc.. encore qu’avant d’en identifier la source réelle il faudra parcourir un long chemin.

La forme la plus insidieuse reste la vraie somatisation, celle qui dépasse le trouble fonctionnel pour passer dans le domaine de la lésion organique. Le type de personnes ayant recours à ce mode d’évacuation extrême de leurs problématiques psychiques semble en effet souffrir d’une « défaillance » dans l’élaboration psychique de leurs conflits et de leurs émotions qui rend extrêmement difficile toute remise en question (mais pas impossible). Le corps par la maladie se charge alors de parler de ce qui ne peut ou ne sait se dire autrement.

Il est évident que rien ne peut se substituer à une consultation médicale, toutefois prendre en compte le facteur psychique de la maladie, en rechercher la cause dans une insatisfaction chronique, un stress subi juste avant son apparition et en suivre l’évolution par rapport aux évènements de vie peut apporter bien des réponses et ouvrir une autre voie de traitement possible même si elle n’est que complémentaire.

3) De la difficulté de changer.

Tenons pour acquis que la responsabilité personnelle de nos problèmes a été admise et que des deux solutions qui se présentent supporter l’inconfort ou décider d’y mettre un terme c’est la seconde qui a été choisie.

Je vous renvoie entre autres au bulletin 39 (les défenses du Moi) ou encore au bulletin 43 (les facéties de l’inconscient) pour comprendre à quel point il est difficile d’être objectif avec soi-même et cesser de voir la réalité au travers d’un prisme déformant. La première action sera donc de choisir quelqu’un pour nous aider dans cette démarche de compréhension des causes réelles de nos difficultés. Et admettre qu’il faudra peut-être du temps car on ne peut défaire en un jour ce qui depuis des années constitue en quelque sorte pour nous une seconde nature.
Admettons encore une fois que ceci est compris et admis, la personne volontaire et motivée, suffisamment adaptable, mentalement ouverte à d’autres possibles et décidée à agir pour faire bouger les choses (le patient idéal en quelque sorte). 

Et bien même une telle personne ne fera pas l’économie de la difficulté à changer les choses, même s’il est largement démontré que c’est de loin notre intérêt de le faire. On peut même dire que le succès et la durée d’une thérapie sont directement liés à notre capacité à négocier avec ce refus du changement.

Le refus du changement c’est tout d’abord la peur de l’inconnu. Un « tiens » vaut mieux que deux « tu l’auras » nous dit La Fontaine. Ce précepte de sagesse populaire semble être fortement ancré dans les esprits. Mais peut -on vraiment parler encore de sagesse quand tenir à une souffrance semble valoir mieux que d’espérer deux bonheurs ? Car ce besoin de sécurité extrême en arrive à nous faire effectivement tenir à nos souffrances parce qu’elles sont connues donc quelque part sécurisantes. Choquant n’est-ce pas ? Et pourtant. Tous les psychothérapeutes quelque soit leur orientation qui assistent au quotidien au spectacle de patients qui semblent s’accrocher à leurs symptômes comme à une bouée de sauvetage plutôt que d’opérer une petite remise en question (et surtout les actions qui en découlent) en sont témoin.

Parce qu’entreprendre une démarche de changement c’est affronter l’inconnu à nouveau, prendre le risque de perdre ses sécurités, de contrarier son entourage, de modifier ses conditions de vie et bien sur d’échouer dans cette démarche. Autant de chose qui font reculer avant même de faire un point objectif sur les avantages et les inconvénients de cette tentative qui nous diraient qu’au pire l’échec nous renverra dans notre situation initiale, au mieux, on risque d’être plus heureux.

Témoin de ce type de mouvement une patiente fortement dépressive qui en tout début de thérapie se demandait si son époux l’aimerait encore si elle guérissait. Drôle de préoccupation mais qui indiquait de manière certaine ce qui s’est confirmé par la suite, qu’elle pressentait intuitivement qu’inconsciemment il la préférait dépressive ce qui était pour lui un excellent moyen de donner libre cours à son tempérament tyrannique sans qu’elle n’ait la force de s’y opposer.
Ces peurs à elles seules suffisent pour que le patient se mette en situation d’échec par rapport à sa thérapie qui va alors s’éterniser, à moins qu’il ne décide sous un prétexte quelconque d’y mettre brutalement un terme.

4) Une peur d’un autre âge..

Alors comme çà l’être humain serait condamné à vie par une peur injustifiée de changer, une insécurité fondamentale qui lui interdirait de sortir des sentiers battus comme un programme génétique inhérent à la race et qui la marquerait d’une tache indélébile qui constituerait à faire elle -même son propre malheur ? Ou encore une fois faut-il aller chercher plus loin les raisons d’une telle aberration ?
Quelle est cette force d’inertie qui va à l’encontre de notre propre bonheur contre toute logique ?
Et bien c’est une certaine forme de fidélité à une autorité intérieure qui nous ordonne de ne pas désobéir à certaines opinions, comportements ordres et interdits qui même totalement dépassés et inadaptés règnent en maîtres absolus sur nos décisions, opinions et actions. Ces « programmes » sont ceux que nous avons intériorisés à partir des messages directs ou indirects que nous ont transmis nos parents et auxquels notre inconscient continue de se soumettre automatiquement et contre toute logique alors même que notre conscient hurle leur inutilité et leur côté néfaste.

Parce que pour un tout petit enfant dépendant pour sa survie de ses parents, ceux ci prennent valeur de Toute Puissance qui peut autant préserver la vie que la détruire.

Et que perdre l’approbation dont l’appui de personnages aussi puissants n’est ni plus ni moins que prendre le risque de mourir. Donc cet appui doit être préservé à tout prix , même si pour çà on doit faire le sacrifice de notre individualité juste pour leur plaire et ainsi conserver leur amour et par conséquent leur protection.
Et alors même que l’on est devenu adulte, qu’on les a quittés, que peut-être même on s’est fâché, voire même qu’ils sont morts, on continue à se conformer à leurs désirs pour ne pas perdre leur appui ( imaginaire bien sûr), appui qui un jour nous a été vital. Et on continue à se sentir terrorisé à la simple idée de le perdre comme si on était encore un tout petit enfant démuni qui n’a d’autre ressource qu’eux pour survivre. Tout ceci reste vous l’aurez compris totalement inconscient autant qu’irréel puisqu’il y a en réalité bien longtemps qu’on se passe d’eux.
Mais vu à travers ce miroir déformant, désobéir, risquer de déplaire, de transgresser leurs ordres prend valeur de risque mortel et on renonce à vivre pour obéir à des ordres qui depuis longtemps ne nous concernent plus.

5) Conclusion.

Il semble être grand temps de séparer présent et passé, adulte et enfant, parents imaginaires tout puissants et parents réels et surtout parents et figures parentales réactualisées et projetées sur notre entourage, pour revenir à quelque chose de beaucoup plus simple qui serait le vrai contact avec la réalité et ses problèmes qui bien souvent n’ont besoin pour se résoudre qu’un minimum de bon sens.

C’est ce simple bon sens que je vous souhaite pour continuer votre chemin

 Martine Massacrier, Psychothérapeute, Sophrologue 

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Publié dans:PEUR |on 2 mars, 2013 |Pas de commentaires »

Soleil Intérieur

 Soleil Intérieur dans SOCIETE sun

Vous pouvez retrouver le centre de ce soleil, votre noyau central, au cours de la journée, chaque fois que vous revenez à Maintenant, en posant votre attention complètement dans l’instant présent. Si vous êtes occupé-e avec le passé ou le futur, vous sortez de votre centre et vous perdez votre connexion avec votre source de lumière, avec ce qui vous porte. Mais qu’est-ce réellement que le Maintenant ? On vous demande d’être dans le Présent, le moment présent, mais qu’est-ce que ce Maintenant en réalité ? Dès qu’on l’évoque, il est déjà passé. Le maintenant n’est pas une minute, ni une seconde. En fait, il ne peut être nommé, ce n’est pas une unité de temps. Le Maintenant nous échappe quand nous voulons déterminer ce qu’il est. Il n’y a pas de limites à ce temps qu’est le Maintenant. Le Maintenant défie les modes de pensée ordinaires.

Dans le sens terrestre, il est possible de calculer le temps et de le compter. Il y a vingt-quatre heures dans une journée, soixante minutes dans une heure, sept jours dans une semaine, etc. Cette façon de considérer le temps n’est pas naturelle pour l’esprit humain. Le Maintenant est libre du temps. Quelle unité de temps peut le décrire ? L’esprit humain ne peut ni comprendre ni contenir le Maintenant, parce qu’il n’est pas assujetti à la logique de la pensée, bien qu’il soit tout à fait compréhensible par vos ressentis. Vous savez ce que c’est que d’être complètement pris dans l’instant présent. Par exemple, dans un moment de grande joie. Il vous est arrivé de connaître ces moments où vous avez vécu quelque chose de très beau et qu’en même temps, vous avez réalisé que ce moment était spécial. Vous étiez conscient-e et complètement ouvert-e à l’expérience vécue qui était en résonance avec votre corps, votre âme et vos sentiments. Quand cela arrive, vous êtes Un avec l’expérience, Un avec le Maintenant. Vous êtes le Maintenant !

Lorsque vous êtes dans le Maintenant, vous êtes alors aussi au centre de votre soleil, de votre âme, et tous les changements prennent place depuis ce noyau central en vous. Nous avons parlé aujourd’hui de la peur et de votre anxiété lorsque vous êtes en-dehors de votre centre. La peur est aussi liée au fait de penser en termes de temps mesurable, de passé et de futur : « Que va-t-il se passer ? » « Qu’est-ce qui ne va pas aller ? » Anticiper l’avenir par peur est très humain, mais cela peut arriver seulement si vous vous éloignez de votre centre, du Maintenant. Être dans le Maintenant signifie que toutes vos forces intérieures sont rassemblées et s’intègrent, et vous faites cela en étant complètement présent-e dans votre corps, votre âme et vos ressentis.

Je voudrais ajouter quelque chose à propos de ce concept de temps, comment il peut vous intimider et vous effrayer. Au cours de ces dernières décennies, il y a eu beaucoup de prédictions relatives à certaines dates. Le temps est alors considéré comme une sorte de ligne qui court du présent vers le futur, et sur cette base, certains événements se fixent. En acceptant cette vision du temps, vous seriez en mesure de vous préparer en vue des événements à venir, vous pourriez ainsi agir soit par peur, soit par confiance. Mais est-ce une représentation juste ? L’avenir est-il une ligne droite sur laquelle les choses ont une place fixe ? L’avenir est-il la somme totale de toutes ces heures, ces journées et ces mois qui se trouvent devant vous ? Ou bien est-ce une façon totalement restrictive de considérer le temps et l’avenir ?

Pamela Kribbe – Traduction Christelle Schœttel

 - Les messages de Jeshua sont disponibles en livre ! - 

Publié dans:SOCIETE, TERRE |on 2 mars, 2013 |Pas de commentaires »

Les prophéties de Raspoutine

Les prophéties de Raspoutine

Le prophète russe Raspoutine ( Grigory lefimovitch Raspoutine. 1872/1916 ) fut certainement un prophète, un voyant les plus énigmatiques. Raspoutine avec son physique d’ours de sibérie, une vraie force de la nature, sans instruction ni éducation, eut dès son enfance le don de voyance. Il entra dans la cour impériale russe grâce a ses dons de guérisseur magnétiseur 

Un regard profond à l’extrême…. car quiconque le regardait était hypnotiser! Le village de prokrovskoie vit sa naissance et son mariage, il eut trois enfants. Le plus étrange est qu’il lui fallut moins de six mois pour imposer ses vues dans la cour du Tzar, toute la cour se l’arrachait, « surtout les dames ». On disait de lui qu’il réalisait des miracles. Lui seul était capable de stopper les hémorragies dues aux crises d’hémophilies du tzarévitch, ce qui lui attira les bonnes grâces du tzar du toute les Russie.

Les prophéties de Raspoutine dans PROPHETIES raspoutine

Voici quelques prophéties de Raspoutine

  • Les moins capables mèneront la charrue, en Russie, comme en France, en Italie, et partout ailleurs l’humanité sera vaincue par la cupidité (des bandits,corruption) la sagesse sera enchaînée. 
  • Une plante appelée sang croîtra en europe. Son premier fruit sera mur l’année du mystère. 
  • Des monstres naîtront qui ne seront ni homme, ni animal. De nombreux hommes qui ne seront marqués ni dans leur chair ni dans leur esprit auront la marque sur leur âme lorsque les temps seront murs. 
  • Vous verrez dans la basse-cour, le monstre des monstres : L’homme sans âme. 
  • Avec une fréquence de plus en plus grande vous verrez comment les parties du corps deviendront folles, là ou la nature avait crée l’ordre, l’homme sèmera le désordre.

La fin de raspoutine

On tenta de l’empoisonner au cyanure, mais cela sans effets ! On déchargea sur lui un revolver, il eu malgré cela, la force de tenter d’étrangler son agresseur, puis s’enfuit le corps truffé de bal, il s’effondra, en le croyant mort on l’attacha et on le jeta dans la Volga gelée. Plusieurs jours plus tard on découvrit son corps et on s’aperçu qu’il était mort noyé… et qu’il avait réussi a se détacher. Alors ? prophète, chamane, guérisseur, voyant, …

 

Publié dans:PROPHETIES |on 1 mars, 2013 |Pas de commentaires »

Elle a rejoint la Terre


Omnec Onec –congrès OVNI

 

 Native de Vénus, Omnec Onec rejoignit la Terre en 1954 afin de transmettre un extraordinaire message d’Amour et d’espoir à notre monde.

                              Elle a rejoint la Terre dans CHANNELING omnec-107x150

     Lors du premier « Congrès OVNI international » de Tucson, en Arizona, en novembre 1991, une jeune et jolie femme se présenta aux quelques 300 participants comme étant Omnec Onec, originaire de la planète Vénus. 

Son âge semblait avoisiner les 35 ans, mais elle en revendiquait 439. L’ensemble de l’auditoire fut impressionné par son aisance et la clarté de son discours, comme le souligne ce témoignage recueilli à l’époque par l’un des journalistes chargés de couvrir l’événement : 

« Elle nous a dit qu’elle avait résolu le problème du voyage interplanétaire aussi facilement qu’elle avait résolu celui de la température à la surface de Vénus. Elle nous a expliqué avec une grande éloquence comment elle “hyper-sautait” d’une dimension à une autre. Et tout le monde comprenait. Personne ne comprend jamais rien quand Stanton Friedman explique la physique du voyage dans le temps, mais tout le monde comprenait Omnec. Son message concernait principalement le développement spirituel et l’Amour universel. Mais elle semblait capable de discuter de n’importe quel sujet, y compris de l’algèbre de Grassman ! » 

Quelques mois auparavant, plusieurs journaux des États-Unis avaient déjà fait état d’une américaine déclarant être originaire de Teutonia sur Vénus et avoir été transportée en vaisseau jusqu’au Tibet avant de devenir américaine sous le nom de Sheila Gibson.

 Elle racontait qu’elle était née sur Vénus, qu’elle y avait été préparée et éduquée durant 8 de nos années en vue de sa future mission sur la Terre, et qu’elle en était partie depuis la cité de Retz, qui est la capitale physique de Vénus, à bord d’un vaisseau en forme de soucoupe. 

Elle décrivit Retz comme un port spatial entouré d’un désert chaud et sec ressemblant à ceux du sud-ouest des États-Unis. Elle précisa que la soucoupe à bord de laquelle elle se trouvait avait pénétré rapidement à bord d’un immense vaisseau interplanétaire en forme de long cylindre orbitant autour de Vénus, puis décrivit en détails son court vol à destination de notre planète où elle atterrit au cours de l’été 1954 sur les hauteurs himalayennes du Tibet, à l’intérieur de l’une des nombreuses navettes attenantes au vaisseau, un engin petit et de forme circulaire. Un monastère tibétain isolé avait été choisi comme destination en fonction de deux critères : son altitude élevée et favorable à un ajustement progressif à l’inconfort atmosphérique lié à notre pesanteur terrestre, et son éloignement de notre civilisation matérialiste, destiné à adoucir le fossé entre les valeurs spirituelles de la société vénusienne et les nôtres.

Omnec Onec ajouta que les corps des Vénusiens ressemblent à ceux d’êtres humains exceptionnellement attrayants, mais que ce n’est qu’une apparence, car ils sont avant tout beaucoup plus lumineux, avec une consistance moléculaire et une fréquence différentes de celles de nos corps terrestres, ce qui fait que notre atmosphère est dangereuse pour les Vénusiens, tout comme leur atmosphère s’avérerait mortelle pour nos formes. Il semble que le corps d’Omnec ait ainsi eu à subir une sorte de transformation de densité physique grâce à certaines technologies inconnues de notre civilisation, pour qu’elle puisse débarquer sur notre planète en toute sécurité. 

Elle a par la suite affirmé que notre culture est si primitive, si violente, et notre étrange atmosphère si lourde et si polluée qu’il est bien difficile pour une vénusienne de s’y adapter. Elle a même utilisé à différentes reprises le mot « répugnant » pour qualifier la nourriture américaine, parce que cette dernière privilégie la consommation de cadavres d’animaux au détriment des multiples aliments mis généreusement à notre disposition par notre Mère, la Terre. 

et-ovni dans O.V.N.I et E.T.Sous l’égide de Maîtres spirituels, Omnec étudia notre planète et sa civilisation dans ce monastère tibétain durant toute une année, avant de se trouver une nouvelle fois à bord d’un vaisseau-navette pour y être amenée jusqu’au beau milieu du désert du Névada, où la soucoupe se posa en pleine nuit au cours de l’été 1955. Dans un paysage qui lui rappela les environs de Retz, elle retrouva un vénusien qui l’attendait dans une automobile neuve de marque Cadillac en compagnie d’un autre extraterrestre. Ils la conduisirent alors jusqu’à Memphis, dans le Tennessee, afin qu’elle y soit progressivement conditionnée aux valeurs de notre société décadente. Elle raconte qu’habituée au silence des véhicules vénusiens et à leur fonctionnement à l’énergie libre, elle trouva le bruit de la voiture et ses émanations de fumée tellement insupportables que, plusieurs fois au cours du trajet, elle en perdit connaissance ! 

Les Américains, et surtout leur nourriture, lui parurent extrêmement grossiers. Mais il avait été programmé qu’elle accepte les coutumes de ce peuple afin de mieux se fondre dans l’anonymat de notre société de consommation. Elle devait en effet impérativement se préserver et taire ses origines jusqu’au jour de ce fameux congrès d’ufologie en Arizona au cours duquel toute l’assistance fut subjuguée par son charme et son aisance, et qui marqua l’ouverture officielle de sa mission terrestre, 

Pour mieux s’intégrer aux basses vibrations terrestres, elle choisit d’emprunter l’identité d’une jeune américaine, Sheila Gipson, qui avait été victime d’un accident de bus en se rendant chez sa grand-mère, et dont le corps entièrement calciné n’avait pu être identifié. Et c’est ainsi qu’Omnec devint une américaine en apparence tout à fait ordinaire, jusqu’au jour où elle publia le livre dans lequel elle révèle pourquoi elle s’est exilée sur la Terre. Car il lui faut désormais expliquer aux habitants de notre planète et les convaincre que les Vénusiens furent jadis confrontés aux mêmes problèmes que ceux que nous devons aujourd’hui affronter, et qu’ils sont parvenus à les résoudre. 

La clé de cette réussite est au fond assez simple. En voici le principe : l’énergie qui nous porte et qui sustente toute forme de vie est l’Amour de notre Créateur. Sans cet Amour, rien ne peut exister. À travers cet Amour, nous sommes tous des êtres universels. De même que nous ne sommes pas limités à une seule existence terrestre, nous ne sommes limités à aucun plan d’existence, car l’Amour ne connaît aucune limite ! 

Nous pouvons, si nous l’acceptons, recevoir et apprendre beaucoup des Vénusiens. 

Voici quelques magnifiques extraits du message délivré à notre humanité par notre chère Sœur vénusienne, Omnec Onec.

Extraits du « Message de Vénus », par Omnec Onec  à lire ici….

 

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Publié dans:CHANNELING, O.V.N.I et E.T. |on 1 mars, 2013 |Pas de commentaires »

Il n’y a pas d’Ascension

 

résumé de lectures par : Pascuser

Une question étant posée sur l’ascension, les neuf indiquent qu’il n’y a pas d’ascension. C’est une mauvaise compréhension du fait que la Terre, en tant que véhiculé spatial pour l’humanité va devenir moins dense, par l’action de transformation par ouverture de la conscience de l’humanité ; dans un mouvement allant vers l’avant. Il n’y aura pas certains qui ascendant et d’autres pas. Selon les sources, cela peut être une information erronée car mal comprise de certaines sous-civilisations, ou des intentions volontairement négatives des « autres » pour créer la destruction (car les informations vont de pair avec des informations de destruction pour ceux qui ne font pas l’ascension). Encore une fois, croire en la destruction c’est apporter des pierres à sa réalisation… attention à la provenance de tels propos !

Il n'y a pas d'Ascension  dans ASCENSION image-91-a-300x241Mais il y a aussi les sous-civilisations qui ne sont ni avec les « autres », ni avec les neuf, qui viennent donner les informations qu’elles veulent donner avec leurs propres intentions.

L’humanité est entrée dans la période correspondant Bibliquement aux 1000 ans durant lesquels l’humanité peut avoir les choses en mains. Elle peut décider d’accélérer le changement dans le bon sens ou abandonner sa volonté à ceux qui veulent le pouvoir pour détruire. Le fait qu’il n’y ait pas de mort après la mort ne signifie pas qu’il n’y ait pas de responsabilité envers notre propre mort (accidentelle par un mauvais mode de pensée en donnant le pouvoir aux « autres » ou volontaire) et qu’elle n’ait pas d’importance. Il y a un prix à payer pour la coupure d’une vie avant qu’elle ait pu accomplir ce qui avait été prévu et le prix à payer risque beaucoup de ne pas nous plaire.

Les dernières questions portent sur l’utilisation d la technologie et des ordinateurs, l’interrogateur a manifestement des doutes sur leur bien pour l’homme.

Les neuf répondent clairement que la Terre est un lieu destiné à faire atteindre un équilibre entre physique et spirituel.

L’humanité a vécu des âges de travail laborieux, proche de l’esclavage. Le millénaire à venir est celui du mental, cela signifie que pour équilibrer, le millénaire à venir sera celui de la technologie ; l’humanité doit être libre des tâches laborieuses et utiliser sa technologie en ce sens. Ce n’est qu’en étant libéré des tâches laborieuses par la technologie qu’elle peut travailler le côté spirituel correctement. Au fur et à mesure que l’homme comprendra la puissance du mental, il en émergera une technologie. Mais attention là aussi, il faudra garder l’équilibre, pour ne pas perdre de vue le développement spirituel. Technologie et développement spirituel ; il faut les deux et pas l’un sans l’autre.

Lire la suite ici…

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Publié dans:ASCENSION |on 1 mars, 2013 |Pas de commentaires »

La peur de soi-même

 

Respect et affirmation de soi

Pour imposer le respect aux autres, il convient déjà de se respecter soi-même. Donc de s’accorder une juste valeur, ni trop basse ni trop haute. Hélas, complexes et craintes héritées de l’enfance poussent souvent à se mésestimer.

Isabelle Taubes

  • On peut avoir peur de soi-même. Les passions, échappant à la volonté, on peut avoir l’impression d’être un autre. Freud montrera que l’homme est dirigé par son inconscient]
  • [Il est aussi absurde d'avoir peur de soi-même que d'avoir peur de son ombre. La connaissance de soi est le meilleur moyen pour ne plus se craindre soi-même. L'homme, grâce à sa volonté, peut maîtriser ses passions.] 
  • Une dévalorisation précoce

La peur de soi-même dans PEUR image-116-300x186Dans cette société qualifiée par le psychanalyste Jean-Claude Liaudet d’« hypernarcissique et irrespectueuse des êtres », nous ne sommes pas tous logés à la même enseigne. Comment l’individu hors normes, trop petit, trop gros, trop maigre, trop vieux, oserait-il faire entendre sa voix, protester et affirmer une valeur qu’il a déjà du mal à s’accorder à lui-même ? Face au sentiment de se faire « marcher sur les pieds » par un enfant, un collègue ou un inconnu, la personne issue d’un milieu dévalorisé, convaincue de son infériorité, se taira ou, au contraire, exigera maladroitement, agressivement, d’être respectée. Et peu importe si cette sensation repose sur un simple malentendu, pour un regard ou un mot mal compris…

Notre capacité à réagir, à nous imposer – ou non – repose en effet sur nos complexes et nos craintes les plus intimes. Car, pour inspirer le respect, pour oser s’affirmer, il convient déjà de se respecter soi-même. La peur de déplaire, le sentiment de ne pas valoir grand-chose peut pousser quelqu’un à subir sans réagir les remarques désobligeantes de son entourage ou à demeurer avec un partenaire grossier.

Une dévalorisation précoce

Ces difficultés à s’affirmer remontent généralement à l’enfance, aux premières années où le moi et l’estime de soi se construisent. Il n’existe pas de recette miracle pour permettre à un individu d’avoir conscience de sa valeur et de son droit au respect. En revanche, avec un enfant, toutes les petites phrases dévalorisantes qui vont parfois le marquer à vie (« Tu n’es qu’un bon à rien », « Tu n’arriveras jamais à rien »…) doivent être bannies. Même si « cela ne signifie pas qu’en s’interdisant d’humilier l’enfant, de se moquer de lui, ses parents en feront un ado puis un adulte sans complexes, tempère le psychanalyste Gérard Louvain. Un enfant peut aussi manquer de confiance en lui car il est identifié à un père ou une mère méprisé par l’autre parent. De plus, certains parents brillants, doués, sûrs d’eux refusent inconsciemment de servir de modèle : ils voient en leur fils ou leur fille des rivaux ne devant surtout pas les égaler ».

Lui répéter qu’il est merveilleux l’expose à se prendre de plein fouet les démentis du réel. Quant aux malentendus autour de la fameuse idée de Françoise Dolto – « l’enfant est une personne », une phrase trop souvent interprétée comme : « L’enfant est un adulte miniature qui sait ce qu’il lui faut, laissons-le s’exprimer » –, ils ont produit des dizaines de milliers d’enfants privés de repères. Car livré à ses pulsions, loin d’apprendre à s’autonomiser et à s’affirmer, l’enfant risque au contraire d’osciller entre mégalomanie et basse estime de soi, sans jamais apprendre à se connaître et à s’affirmer à bon escient. « C’est exactement le phénomène auquel nous assistons actuellement, remarque Gérard Louvain. D’un côté, nous voyons des ados et des jeunes adultes incapables de supporter la moindre frustration, le plus petit retard dans la satisfaction de leurs envies, de se séparer de leur téléphone portable pour se concentrer sur une leçon d’anglais… Et de l’autre, nous recevons de plus en plus de jeunes souffrant de phobies scolaires, qui ne savent pas se situer tellement ils sont terrifiés par les autres. »

À la différence de la politesse, qui s’enseigne, le respect se transmet. « Ce qui conduit au paradoxe suivant, décrypte Stéphane Clerget : un individu peut être d’une exquise politesse en société et totalement irrespectueux envers sa femme, par exemple. » Pourtant, la bonne nouvelle, c’est que le respect est contagieux. « Brisons la chaîne, propose Stéphane Clerget. Défendons les autres quand nous voyons qu’on leur manque de respect, et nous serons plus à même de le susciter envers nous-mêmes. » Car qui respecte les autres se respecte soi-même. Ce qui est encore la meilleure voie vers l’estime de soi.

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Publié dans:PEUR |on 1 mars, 2013 |Pas de commentaires »
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