Archive pour le 25 novembre, 2012

Une intrigante interview Reptilienne

     

LE DOSSIER LACERTA  Entretien avec une Reptilienne par Ole K.

Introduction

« Je certifie que le texte suivant est l’absolue vérité et non une œuvre de fiction. Il s’agit d’une partie de la transcription d’une interview que j’ai réalisée, en décembre 1999, avec un être non-humain reptilien femelle, qui était déjà en contact depuis quelques mois avec un de mes amis (mentionné ci-dessous selon les initiales E.F.) ».

Une intrigante interview Reptilienne dans REPTILIENS marciens-300x258(Résumé : L’interviewer affirme qu’auparavant il se considérait comme un sceptique en ce qui concerne les ovnis et les extraterrestres, mais que l’entretien réalisé en Suède, pendant trois heures, dans une maison à l’écart, l’a convaincu. L’entretien ne comporte qu’une partie de ce qui a été dit, la Reptilienne désirant que certaines informations importantes ne soient pas rendues publiques. L’interviewer possède la totalité de la transcription (46 pages) et des dessins faits par lui, représentant la Reptilienne et son équipement, ainsi que la totalité de l’enregistrement sur cassettes, mais il ne les communiquera pas sans l’autorisation de la Reptilienne).

« J’ai envoyé le présent résumé à quatre de mes amis en Finlande, Norvège, Allemagne et France, afin qu’ils le traduisent dans leur langue respective et le diffusent. Si vous recevez ce texte, envoyez-le à un aussi grand nombre de gens que possible ». (…)

« Je certifie également avoir observé pendant ces trois heures d’entretien les facultés télépathiques et paranormales de la reptilienne – faire danser un crayon sur la table sans le toucher, maintenir une pomme en l’air à 40cm de sa main – et je suis absolument sûr qu’il n’y avait pas de truc. Il est certainement difficile à certaines personnes qui n’en ont pas eu l’expérience de le comprendre, mais j’étais réellement en contact avec son esprit et je suis certain que tout ce qu’elle a dit dans cette interview est la vérité ».

(…) « Un nouvel entretien est prévu (en Suède, au même endroit) pour le 23 avril 2000… ».

Ole K.

8 janvier 2000  TRANSCRIPTION DE L’INTERVIEW  (Q = Question – R = Réponse).

Q- D’abord, qui êtes-vous et qu’êtes-vous ? Etes-vous d’une race extraterrestre ou bien un être originaire de cette planète ?
Q- Pouvez-vous me dire votre nom?
Q- Quel âge avez-vous?
Q- Quelle est votre tâche ? Avez-vous un « travail », comme nous ?
Q- J’ai lu votre témoignage complet (que vous avez donné à E.F.) sur tout cela, mais pouvez-vous me répondre brièvement maintenant. Les ovnis sont-ils de vrais objets volants pilotés par des extraterrestres, ou appartiennent-ils à votre espèce ?
Q- Avez-vous un symbole spécial ou quelque chose de ce genre permettant d’identifier votre race ?
Q- Est-ce que les sept étoiles que vous mentionnez dans votre second symbole représentent les Pléiades?
Q- Vous ne m’avez pas permis de faire des photos, qui pourtant me seraient utiles pour apporter la preuve de votre existence réelle et de la véracité de cette histoire. Pouvez-vous vous décrire vous-même en détails?

Deuxième Partie

Ma peau est principalement d’une couleur vert-beige – plutôt vert pâle – et nous avons des dessins faits de taches irrégulières brunes (chaque tache mesurant 1 à 2 centimètres) sur le corps et le visage (les dessins sont différents en fonction du sexe, mais les femelles en ont plus, spécialement sur le bas du corps et sur le visage). Dans mon cas, vous pouvez observer les deux lignes de points au-dessus des sourcils, traversant mon front, sur les joues et au menton.

Mes yeux sont un peu plus grands que les yeux humains (pour cette raison, nous voyons mieux dans le noir). Ce qui domine, c’est la large pupille noire, entouré d’un petit iris d’un vert brillant (les mâles ont un iris vert foncé). La pupille est en fente et peut changer de taille, allant d’une minuscule ligne noire jusqu’à un large ovale en forme d’œuf. Notre rétine est extrêmement sensible à la lumière et donc la pupille doit s’y adapter.

(Résumé de la suite de la description : oreilles rondes externes, plus petites, mais meilleure audition. Sensibilité à une échelle de sons plus large. Muscle permettant de fermer complètement les oreilles, sous l’eau par ex. Nez plus pointu, forme de V entre les narines permettant de « sentir » les températures, une capacité qui s’est un peu émoussée avec le temps. Lèvres de la même forme que chez les humains, plus grande chez les femelles, de couleur brune. Dents très blanches, fortes, plus longues et plus pointues. Une seule couleur de cheveux – brun verdâtre – mais tradition de teinture selon l’âge. Cheveux plus épais et plus forts. Pas d’autre pilosité sur le corps de couleur vert-beige, avec des structures en écaille sur les cuisses et le haut des bras. Cinq doigts un peu plus longs et fins que chez les humains. Paumes lisses sans nos « lignes », mais une combinaison en forme d’écailles avec des taches brunes chez les deux sexes. Pas d’empreintes aux doigts. Peau plus douce. Petites cornes pointues sur le dessus des deux médius. Ongles gris et plus longs chez les mâles -5 à 6 centimètres- à bout rond chez les femmes, pointus chez les mâles. Différence par rapport à l’espèce humaine: une sorte de crête le long de l’épine dorsale jusqu’au niveau des hanches, avec une forme compliquée, comportant des plaques, faite de peau et de tissus. Structure très sensible au toucher et très innervée et vascularisée qui a un rôle dans la sexualité et la régulation de la température. Difficile de s’asseoir sur une chaise avec cela. Au soleil, les plaques se remplissent de sang reptilien qui se réchauffe de plusieurs degrés, d’où grand plaisir. Pas de nombril. Naissance différente comparée aux mammifères. Autres différences mineures non visibles car cachées par vêtements).

Q- Quelle sorte de vêtements portez-vous généralement? Je suppose que ceci n’est pas votre manière normale de vous vêtir.
Q- Vous mentionnez des personnes « proches de votre nom ». Est-ce que cela veut dire votre famille?
Q- Possédez-vous une queue comme les reptiles normaux?
Q- Vous dites que vous naissez d’une manière différente. Pondez-vous des œufs?
Q- Au sujet de la température de votre corps, vous dites que vous aimez être au soleil. Quel en est l’effet?
Q- Qu’est-ce que vous mangez?
Q- Pouvez-vous me dire quelque chose au sujet de l’histoire naturelle et de l’évolution de votre espèce? Est-elle très ancienne? Avez-vous évolué à partir des reptiles primitifs comme l’humanité a évolué à partir des singes?

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Publié dans:REPTILIENS |on 25 novembre, 2012 |Pas de commentaires »

Les Herbes Magiques

Les Herbes Magiques dans NATURE bouffeJuste avant de semer vos graines  et vos plantes il est important de consulter le jardin. On gagne du temps et de l’énergie à coup sûr. Il faut explorer minutieusement la Médecine de la terre, le sol ou vous allez planter pour voir comment les élémentaux et les Esprits du lieu vont réagir ! C’est un travaille d’équipe vous savez !

Laissez des Offrandes aux Esprits du jardin ; Présentez-vous, avec votre prénom et demandez-leur de quoi ils ont besoin et comment coopérer mieux avec eux. Déposer quelques grains de tabac ou de semoule de mais sur la terre cultiver. Vous pouvez aussi accrocher à une branche un petit sac de tabac en tissus rouge avec une intention de Gratitude. Pour chaque plante, placez une petite pierre dans la terre comme  ; une graine esprit… pour annoncer l’arrivée prochaine et invoquer les élémentaux des plantes qui en prendront soin. Par la suite demandez la Bénédiction des lieux et des semailles. Votre jardin seras sacré et ensoleillé et même les oiseaux y viendrons y chanter et y nicher. Quand les herbes sont à maturités il est essentiel de les remercier pour leur futur travail auprès des gens. Qu’elles soit créée pour des tisanes, teintures mères ou pommades, elles agiront en force et en bienfaits encore plus. Chaque Herbes Magiques a sont Esprit sacré. Ne soyez donc par surpris si à vos promenades au jardin vous avez un écho de leur voix qui vous parlent dans un silence révélateur.

C’est par la suite, un coup séché, que vos herbes de guérisons pourront équilibrer les gens de bonnes intentions qui passeront sur votre chemin.  Vous pouvez aussi avant toute chose déposer vos herbes sous la lumière de l’astre solaire ou lunaire pour que chacune de leur énergie leur soit accordées. La terre porte en elle milles et un trésors et ils sont tous pour vous… chacun, chacune de vous. Il suffit de bien vouloir les prendre, les touchers, les goûters et les aimers. Merci Mère Terre de ta nourriture pour que mon corps et mon esprit soit mieux, heureux et en santé.

Publié dans:NATURE |on 25 novembre, 2012 |Pas de commentaires »

Creeks, peuple amérindien

  

Les Creeks sont un peuple amérindien qui vivait à l’origine au sud-est des États-Unis, ils font partie des Cinq tribus civilisées. Ils se nomment eux-mêmes les Muscogee ou Muskogee. Cette dernière appellation qu’ils utilisent de nos jours, s’écrit Mvskoke selon l’orthographe traditionnelle. Les Muscogees vivent aujourd’hui principalement en OklahomaAlabamaGéorgie et Floride. Leur langue, leMvskoke, fait partie de la famille des langues muskogéennes. Les Séminoles sont de proches parents des Muscogees et parlent également la langue Creek.

Les Creeks étaient organisés en une confédération de 50 « villes ». Au centre de la ville se trouvait une place sur laquelle se dressait un bâtiment pour les affaires communes. Le conseil était présidé par un chef. Chaque maison possédait un jardin, cultivé par les femmes.

 

Histoire précolombienne

 

Creeks, peuple amérindien dans AMERINDIENS

Les Creeks sont probablement des descendants des constructeurs de monticules de la civilisation du Mississippi, reliés aux Utinahica de la Géorgie méridionale. Plus une confédération souple qu’une tribu simple, les Muscogees ont vécu dans des villages autonomes de la vallée fluviale des états actuels de la Géorgie et de l’Alabama. Ils étaient composés de nombreux groupes ethniques parlant plusieurs langues distinctes. Ceux qui vivaient le long du fleuve Ocmulgee étaient nommés « Creek » par les commerçants britanniques de la Caroline du Sud ; par la suite le nom a été appliqué à tous les indigènes de la région.

Les Creeks commerçaient avec leurs nouveaux voisins britanniques, échangeant avec les Européens diverses marchandises contre des peaux de daim et aussi des esclaves indiens capturés en Floride. Au xviiie siècle, les Creek ont commencé à se marier avec des commerçants britanniques aussi bien qu’avec des esclaves africains en fuite. Des différences dues à la géographie et au mode d’interaction avec les Européens ont entrainé une séparation de plus en plus importante des villes Creek entre les Villes basses de la frontière avec la Géorgie (sur la rivière Chattahoochee, la rivière Ocmulgee et la rivière Flint, et les Villes hautes de la vallée de la rivière Alabama.

Guerre d’indépendance

Comme beaucoup de groupes indigènes à l’est du Mississippi, les Creek étaient divisés sur le parti à prendre pendant la Guerre d’indépendance. Les Creek des villes basses sont restés neutres ; les Creeks des villes hautes se sont alliés avec les Anglais et ont combattu les colons rebelles.

Lorsque la guerre d’indépendance américaine fut officiellement terminée en 1783, les Creek s’aperçurent que la Grande-Bretagne avait cédé des terres Creek aux États-Unis naissants. L’État de la Géorgie a commencé à empiéter sur le Territoire Creek. L’homme d’État Creek Alexander McGillivray prit de l’importance en organisant la résistance à cette violation, recevant des armes des Espagnols de Floride pour combattre les Géorgiens expansionnistes. McGillivray a œuvré à l’émergence d’un nationalisme Creek et à la centralisation du pouvoir Creek en luttant contre les chefs de village qui, individuellement, vendaient des terres aux États-Unis. Par le Traité de New York en 1790, McGillivray a cédé une part significative des terres Creek aux États-Unis alors sous la présidence de George Washington, en échange de la reconnaissance fédérale de la souveraineté Creek sur le territoire restant. Cependant, après la mort de McGillivray en 1793, la Géorgie a continué son expansion sur le territoire Creek.

La guerre de Bâton rouge

La guerre Creek de 1813 - 1814, également connue sous le nom de Guerre de Bâton rouge (Red Stick War), a commencé comme une guerre civile dans la nation Creek puis s’est entremêlée avec la guerre de 1812.

Inspirés par l’éloquence ardente du chef Shawnee Tecumseh et de leurs propres chefs religieux, les Creek des villes hautes, connus des blancs sous le nom de « Bâtons-Rouges » (Red Sticks), ont cherché à résister par les armes à l’hégémonie des Blancs et aux programmes « de civilisation » administrés par l’agent indien des États-Unis Benjamin Hawkins. Les chefs Red Sticks William Weatherford (« Aigle Rouge »), Peter McQueen etMenawa se sont violemment opposés aux Creeks des villes basses menés par William McIntosh et alliés aux américains.

Le 30 août 1813, les Red Sticks menés par Aigle Rouge ont attaqué l’avant-poste américain de Fort Mims près de Mobile en Alabama, où les Américains blancs et leurs alliés indiens s’étaient réfugiés. Les Red Sticks ont conquis le fort et ont massacré les prisonniers, y compris les femmes et les enfants. Près de 250 personnes ont été tuées et ce massacre a provoqué une panique qui s’est propagée tout le long de la frontière du sud-ouest américain. En réponse au massacre de fort Mims, le Tennessee, la Géorgie, et le Territoire du Mississippi ont envoyé des troupes en territoire Creek. En infériorité numérique et mal armés, les Red Sticks menèrent un combat désespéré depuis leurs bastions du désert. Le 27 mars 1814, le général de la milice du Tennesse Andrew Jackson, aidé par le 39e régiment d’infanterie des États-Unis et par ses alliés Cherokee et Creek, a finalement écrasé la résistances des Red Sticks à la bataille de Horseshoe Bend sur la rivière Tallapoosa. Bien que les Red Sticks aient été écrasés (environ 3 000 Creeks des villes hautes ont péri dans cette guerre), la résistance Creek dura plusieurs mois. En août 1814, épuisés et mourant de faim, ils se rendirent à Jackson à Wetumpka (près de l’actuelle ville actuelle de Montgomery en Alabama). Le 9 août 1814, les Creeks furent contraints de signer le Traité de Fort Jackson, qui mit fin au conflit et imposa au peuple Creek la cession aux États-Unis de 20 millions d’acres (81 000 km²) de terre, soit plus de moitié de leurs possessions territoriales héréditaires.

Même les Creeks qui combattirent aux côtés de Jackson furent obligés de céder du territoire, car Jackson les jugea responsables de la rébellion des Red Sticks. Ce traité a ouvert la porte à l’Alabama fever, qui voit la population du Territoire de l’Alabama multipliée par 12 entre 1810 et 1820. L’État de l’Alabama fut ainsi incorporé aux États-Unis en 1819.

Publié dans:AMERINDIENS |on 25 novembre, 2012 |Pas de commentaires »

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