Co-création – le moteur
votre état de victime est directement proportionnel à votre état de bourreau.
Alors, si vous avez reçu des coups durs dans votre vie, sachez que c’est vous-même qui en êtes à l’origine d’abord, et qu’ensuite c’est l’utilisation inconsciente de votre propre pouvoir de cocréation qui en a donné le punch. Dit autrement, inutile d’accabler la Vie de vos malheurs, puisqu’en fait c’est vous-même qui en êtes à l’origine.
Et puis, si vous n’êtes pas d’accord, allez demander à votre âme c’est quoi votre contrat de vie, et vous verrez que les épreuves que vous avez endurées sont exactement celles dont vous aviez besoin, puisque c’est justement l’objectif que vous êtes venus expérimenter dans cette incarnation.
Je dis cela, car beaucoup de gens ne peuvent concevoir que tout est parfait en ce monde. Ils ne peuvent l’admettre, car ils ne voient que des choses qu’ils refusent intérieurement. C’est parfaitement normal d’avoir cette réaction, puisque c’est une réaction de dualité. En effet, ce n’est que lorsque l’on prend conscience qu’aucun plateau de la balance n’est préférable à l’autre que l’on peut se poser au centre et regarder combien il est impossible d’être en équilibre dès que vous êtes dans l’un des plateaux.
La meilleure façon d’arrêter un match de foot, c’est de mettre la balle au centre et de la laisser en l’état. C’est alors que les joueurs, blasés d’attendre, rentrent tous un par un au vestiaire et vont se rhabiller… C’est ainsi que le mental-égo (l’entraineur à la solde des bookmakers) se voit mis au chômage technique, voire carrément à la retraite anticipée.
En revenant au sujet principal, découvrez dans la vidéo pourquoi on utilise les expressions suivantes : “En avoir plein le dos”, “en avoir plein le derrière”, “avoir des problèmes intestinaux”, “être boulimique”, “faire de la compensation”, “avoir reçu un coup de poignard en plein cœur” avec son homologue en plein dos. Découvrez aussi pourquoi vos maux de crâne où la nuque raide. Bref, je ne vais pas tout écrire, car d’autres articles m’attendent…