Archive pour le 8 septembre, 2012

Message du Nouveau Monde

Concernant les nombreuses recherches actuelles d’un lieu de vie collective, ou communauté,

qui soit comme une ambassade de lumière pour la nouvelle terre

Issu de la newletter de JACQUES DORVAL 

Message du Nouveau Monde dans 2013 - PREDICTIONS jacques-dorval-225x300

 

Dans mon travail de recherche, je vous livre ici ce que j’ai vu avec surprise lors d’une méditation récente: une vision joyeuse et très éclairante sous forme de parabole. Je la partage ici avec vous.

Jusque là je n’avais pas fait la distinction entre deux espaces de créations très distinctes, mais complémentaires. Il y a la création selon mes besoins, rêves et options, dans mon espace de vie ou terre intime. Il ya aussi la création d’un nouvel espace collectif ou aménagement de la nouvelle matrice collective dont la structure du gros œuvre est déjà établie. Notre double existence naturelle dans un corps individuel et un corps commun se précise. Ce concept nous était jusque là étranger car le collectif était exclusivement entre les mains occultes d’une petite organisation puissante et sombre. Aujourd’hui nous pouvons envisager d’avoir une voix au chapitre collectif terrestre.

Dans ma vision je vois un groupe d’humains engagés et au travail. Tous ont déjà une bonne expérience de création terrestre. Ils viennent de recevoir des circulaires d’informations concernant un changement de vie imminent et demandant une réforme complète de leur espace de vie. Ils planchent dessus. L’énergie dégagée est impressionnante car une aura arc-en-ciel s’en dégage. Ils reçoivent ces plans par méditation depuis d’autres espaces beaucoup plus vastes et lumineux encore. L’effervescence est à son comble. Ils vont réformer l’économie, la finance, la politique, la nourriture, la santé, les loisirs, la production, l’enseignement, les échanges, les ressources etc..tout ce qui compose la vie humaine en société. Super génial !

 Ce travail de pré-réformes étant maintenant établi, une délégation demande à rencontrer un certain haut responsable élu de l’administration, car il serait, lui, très favorable à cette transformation. Celui-ci vient à leur rencontre et subitement la relation se tend. Après un long moment de silence pesant, celui-ci, visiblement contrarié, leur déclare ceci :

 <<  Vous auriez dû m’en parler bien avant de développer un aussi gros travail. C’est pathétique car vous êtes mal informés ou avez mal compris quel est le projet global, même si votre idée de départ est très juste. Votre intention est très bonne, mais vous ne saviez pas que tout l’espace ici va être démonté sur une période déjà programmée. Personne n’a osé vous le dire officiellement, mais l’espace où vous vivez quotidiennement, et auquel beaucoup se sont parfaitement adaptés, hélas pour eux, était en fait comme une prison géante et autonome dans un vaste espace libre. Or cette établissement très ancien va fermer demain et n’enfermera plus personne parce que sa structure hermétique sera ouverte. Quelques vieux nostalgiques voudront rester pour témoigner et faire une visite guidée des ruines.

 Avant ça il y aura d’abord une période de déménagement et de transfert, même si la plupart des meubles, rénovés ou neufs, ne sera plus utilisable dans la nouvelle structure. Tout votre effort aujourd’hui devrait porter sur l’information de ce transfert et de ce transbordement de vos affaires personnelles dont la plupart seront vite inadaptées. Ne réparez plus vos vêtements, ni ne confectionnez, car le climat sera très différent. N’acheter plus de nouveaux outils car ils ne seront pas utilisables à cause du voltage. Ne vous formez plus sur les techniques habituelles très adaptés au confort de l’espace étroit de cette prison. Tous vos actuels efforts de bien être deviendront inutiles car votre joie sera permanente et sera le pilier de votre bonheur. Préparez vous au transfert et à construire des bases provisoires et mobiles car votre espace sera encombré, pour un temps, d’une masse de gravas en cours de déblaiement. Travailler à organiser ce nettoyage avant de penser à reconstruire. Vous n’avez même pas encore les plans des nouveaux espaces qui sont gigantesques. Pourquoi repeindre des murs de cellules qui vont être abattus demain ? Pendant le temps de la démolition les conditions de vie au quotidien seront plus dures et inconfortables qu’avant, mais vous serez heureux parce que libérés. La soupe ne sera pas toujours servie à la même heure et vous devrez aller la chercher, mais vous serez heureux.

 Concernant la reconstruction qui s’en suivra ensuite, nous vous enverrons des ingénieurs spécialisés pour établir vos cahiers des charges et faire vos choix en fonction des nouvelles possibilités dont le problème pour vous sera le gigantisme comparé aux anciens trous à rats que sont vos cellules. Des ingénieurs de construction, envoyés vers vous, vont chercher des partenaires parmi vous pour travailler en équipe à bâtir une cité adaptée au nouvel espace, car ils n’ont aucune expérience de la mentalité et des besoins des ex-prisonniers que nous sommes tous. Ils ne connaissent que les humains libres et parfaits des autres espaces. Vous-mêmes tout seuls en seriez incapables car vous n’avez aucune expérience des plans, du matériel et des matériaux dans le nouvel espace devenu cosmique sous la loi de l’UN.

 Arrêtez donc vos actuelles expériences de formation et de réformes, ainsi que tous vos plans sur la comète, car hormis le travail de nettoyage et inventaire de votre cellule, une petite valise personnelle avec vos souvenirs et livret de famille, vos intentions pures et une bonne forme physique et mentale, vous n’avez aujourd’hui aucune idée du possible hors de ce monde qui va être démoli. Le monde qui s’ouvre à vous est au delà de vos rêves.

 A l’inverse informez bien, avec délicatesse, tous vos semblables de cette situation, c’est déjà un très gros travail quotidien sur une courte période. Sans cela vous ne pourrez éviter la panique. Invitez le plus de gens possible à tranquillement monter sur les terrasses supérieures de notre établissement afin d’embarquer sur les canots, car il faudra au début se contenter d’un arche avant d’arriver au Mont Ararat. C’est une image prise dans notre histoire.

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 Si nous n’avons pas dit cette vérité plus tôt, c’est pour ne pas traumatisé plus ceux qui sont ici bien installés, très adaptés, et très satisfaits hélas des bénéfices qu’ils en retirent. Déniant leur état carcéral, ils jouissent de ce qu’ils pensent être leur réussite, comparativement à la masse. Nous ne ferons pas de ségrégation au mérite dans ce transbordement. La réforme actuelle que vous préparez depuis que vous savez qu’elle est possible ne sera pas applicable dans le nouvel espace. Seule la cueillette abondante de vos intentions pures sera utile pour établir les cahiers des charges. Cette récolte consciente de vos aspirations se retrouvera dans les plans de vos nouvelles cités sous la loi de l’UN.

 La nourriture même bio ne sera plus adaptée car l’agriculture sera différente et votre digestion aussi. La santé verra son domaine étendu à des ressources inédites. La politique disparaîtra avec la hiérarchie, de même que la monnaie et le concept de travail rémunéré. La spiritualité, la philosophie, la psychologie et la religion seront obsolètes car l’esprit et la matière, le conscient et l’inconscient, ne seront plus séparés. Demandez donc à votre entourage de ne plus restaurer leur quotidien mais de se préparer à changer toutes leurs habitudes avec l’arrivée progressive de nouveaux outils. Ne réformez pas en profondeur les statuts actuels de votre société, car ils vont devenir sans objet. Pourquoi travailler à transformer cette prison en paradis alors qu’elle va tout naturellement s’ouvrir sur le  paradis déjà en place ? Ne soyez pas trompés par ceux qui souffrent cruellement de cette perspective de l’arrêt de leur prison où ils ont investis tant d’énergie. Ils cherchent comment la reconstruire sous forme de paradis. Voilà où est l’illusion créé par les nostalgiques de l’ancien établissement.  La prison est rendue inactive et vous allez être ré-adaptés à la liberté de vie. Ne prenez pas vous-même en charge ce travail collectif. Accepter en premier de sortir et d’être soignés et guidés. Les cadres qui sont en charge de ce transfert n’en demandent pas plus. Vous ne pourrez déménager et vous adapter à votre nouvel espace qu’en partenariat avec les ingénieurs accoutumés qui commencent à arriver ici.>> fin de la citation de l’élu favorable.

Voilà j’ai un enseignement très claire. Il y a bien ma propre création selon mes propres choix et options, selon mes aspirations profondes. C’est mon vote personnel, mon billet numéroté dans la nouvelle matrice. Il y a donc bien aussi, en plus, concernant le collectif, une autre création de service à la communauté. Elle passe par un contrat (volontaire et facultatif) avec les Etres du Triangle d’Or, ou aussi d’autres Etres constructeurs comme les généticiens, tous ingénieurs du vivant, jusque là inconnus de nous, ayant tous la maîtrise de la construction dans les matrices de la vie cosmique. Nous avons connu déjà le collectif Kryeon, puis Soria, et nous pouvons accueillir dés aujourd’hui d’autres collectifs de guidance et d’enseignement. Ce sont nos amis d’en haut et d’en bas aussi.Pour ceux qui sont chamans ils travaillent déjà avec les puissants esprits de la nature.

 Je comprends mieux enfin les grognements récents de mon lézard à gueule menaçante (Le totem en bois qui incarne mon inconscient profond). Il me force depuis le début de cette année à incarner la rupture avec les anciens paradigmes , car la construction de la nouvelle société libre ne pourra pas s’établir sur la prolongation, le raffinement, l’amélioration ou la réforme des pratiques et schémas anciens. Reconstruire c’est d’abord accepter le déménagement depuis l’ancienne matrice, pour ensuite ré-apprendre la vie de fond en comble, dans un autre esprit et dans un autre espace libre.  

En conséquence je suis appelé à me déplacer vers le nouveau monde,  qui sera toujours terrestre mais dans une autre dimension,  avec le moins de bagage possible et à cesser de demander que de nouveaux pouvoirs soient installés dans ma vie ancienne pour la transformer. Mon disque dur doit d’abord être formaté.  Le nouveau ne guérit pas l’ancien, c’est une grave erreur d’installer ce faux et dangereux concept dans sa vie et de vouloir l’enseigner. L’ancien meure de sa belle mort cyclique. Le nouveau lui succède et les humains changent de bord en laissant leur passé derrière eux. Le nouveau ne vient pas réformer l’ancien. Le bateau ne montera pas sur le quai. Voilà ce que je nomme la rupture. 

Je suis sincèrement désolé si je scandalise ici l’un des destinataires qui ne serait pas sur cette voie.

 Bises de Jacques – du site http://www.la-grande-revelation.com/espace-presse-a2167499

Les aventures d’une Morte

Contes et Légendes

Lorsqu’on prend le chemin de fer de Fougères à Saint-Brice, on ne tarde pas à apercevoir, sur un riant coteau qui domine la vallée du Nançon, le petit bourg de Lécousse.

Son clocher pointu ressemble de loin, quand les cloches se font entendre, à un long bonnet de laine planté sur le chef branlant d’un vieillard.

Les aventures d'une Morte dans La MORT images1

C’est au bourg de Lécousse que résidait, au commencement du siècle dernier, un curé qui, de temps à autre, du haut de la chaire, disait à ses ouailles :

« Au jour du jugement dernier, lorsque le bon Dieu s’écriera : Curé de Lécousse, où es-tu ?… Je me cuterai comme Adam après sa faute dans le Paradis terrestre, et je ne répondrai pas. 

« Il criera plus haut : Curé de Lécousse, où es-tu ?… Je me cuterai encore plus avant et ne dirai rien.

« Mais le bon Dieu qui sait tout, qui entend tout, s’avancera vers moi et me dira d’un air menaçant : Curé de Lécousse, qu’as-tu fait de tes paroissiens ?… Alors je serai bien obligé de répondre, et je lui dirai : Mon Dieu ! pardonnez-moi ; mais bêtes vous me les avez donnés, et bêtes je vous les rends. »

C’est à ce même curé qu’est arrivée l’aventure suivante, si l’on en croit un petit couturier de Lécousse auquel nous devons ce récit.

Un paysan, du nom de Pierre Marchand, dont la demeure était isolée des autres habitations du bourg, s’aperçut qu’on venait, la nuit, dérober les légumes de son courtil.

N’étant pas très brave, le bonhomme n’osa pas s’embusquer dans les ténèbres pour appréhender le voleur au collet. Il imagina un autre moyen :

« Si je lui envoyais, pensa-t-il, quelques grains de plomb dans les jambes, je pourrais l’empêcher de courir et m’assurer qu’il est du pays. »

Sa femme, Jeanne Martin, qui n’avait pas grande confiance dans son adresse, lui dit :

— Prends garde de mal ajuster et de faire un malheur.

— Non, non, répondit-il, et fier de son idée, il s’en alla un soir se coucher sur la paille de son hangar, son fusil près de lui, espérant bien que le voleur ne lui échapperait pas.

En effet, à peine venait-il de s’étendre sur la paille, qu’il entendit du bruit. Il se leva doucement, remué par la peur, vit une masse sombre se glisser sous une haie et se diriger vers le carré de choux. Il prit son fusil, crut bien ajuster dans les jambes et fit feu. Un cri affreux se fit entendre.

Jeanne, non encore couchée et qui était occupée à cuire de la galette, accourut bien vite, une lanterne à la main. Ô ciel ! le mari et la femme trouvèrent une pauvre vieille étendue par terre, ne donnant plus signe de vie.

Tous les deux restèrent, un instant, muets de terreur, en reconnaissant une de leurs voisines. « Que faire ? que devenir ? » s’écrièrent-ils. La situation était grave, en effet, Pierre Marchand, les larmes aux yeux, se voyait déjà entre deux gendarmes à la prison de Fougères.

Jeanne fut la première à se remettre de son émotion. « Les femmes sont toujours plus rouées que les hommes », ajouta le couturier.

— Personne ne nous a vus ni entendus, dit-elle ; mettons la vieille dans un sac, et allons la déposer à la porte de M. le curé.

Pierre, plus mort que vif, alla chercher un sac, mit la bonne femme dedans, chargea le tout sur son dos et s’en alla, suivi de Jeanne, vers la demeure du prêtre.

Arrivés au presbytère, ils placèrent le corps de la bonne femme, déjà raide, debout et appuyé sur la porte. Puis Jeanne appela d’une voix affaiblie : « M. le recteur ? M. le recteur ? Je voudrais me confesser avant de mourir. Je meurs… Je meurs ! »

Le brave homme de curé se leva précipitamment, mit sa soutane de travers et vint ouvrir la porte, une chandelle à la main.

Les cris plaintifs avaient cessé, et les époux Marchand s’étaient sauvés.

Le cadavre de la vieille s’abattit sur le prêtre et éteignit sa lumière. Il appela sa servante, son domestique, et tous les trois réunis constatèrent, à leur tour, que la bonne femme était morte.

L’infortuné curé se lamentait de n’avoir pu secourir cette femme, peut-être en état de péché mortel. Il se trouvait aussi malheureux que Pierre Marchand et répétait comme lui : « Que faire ? que devenir ? »

Sa servante lui dit :

— Rassurez-vous, monsieur le recteur, Jean votre domestique va mettre la vieille dans un sac et la porter au gué de Marvaise. On supposera qu’elle s’est noyée.

— Faites ce que vous voudrez, répondit le curé atterré. 

Jean venait de quitter le bourg, lorsqu’il fut rejoint par un individu portant, comme lui, un sac sur le dos.

Après avoir cheminé ensemble quelques instants, le garçon du curé vit bien que son compagnon ne le connaissait pas, et seulement alors il osa lui demander ce qu’il avait dans son sac.

L’autre, qui supposa qu’à pareille heure il ne pouvait avoir affaire qu’à un voleur de son espèce, avoua, en riant, qu’il avait été à même de dérober un cochon tout entier, tué et habillé ; mais le croyant trop lourd, il s’était contenté d’en prendre la moitié.

— Je le regrette maintenant, ajouta-t-il, car me voilà à deux pas de ma demeure.

— Moi, répondit Jean, j’ai été plus gourmand que toi. J’en ai un tout entier sur le dos, que j’échangerais volontiers contre ta moitié, car je suis encore à plus de deux lieues de chez moi, et je n’en puis plus.

— Si cela te va, ce n’est pas de refus, il est sain au moins ? 

— Comme un gardon.

Et nos deux voyageurs échangèrent leurs fardeaux. Ils se donnèrent ensuite une poignée de main et se séparèrent.

Jean prit un sentier détourné, et rentra promptement au presbytère où il raconta ce qui lui était arrivé, à la grande joie du recteur et de la servante.

Le voleur, en rentrant chez lui, jeta son sac par terre en disant : « V’là ti un cochon qué lourd. » Puis il s’approcha du foyer en racontant à sa femme ses aventures de la nuit.

— Tu dois avoir faim, notre homme ; veux-tu une grillade de lard frais ?

— Volontiers, répondit-il.

Et sa femme s’en alla déficeler le sac. Qu’on juge de leur stupéfaction en voyant le cadavre !

— Oh ! tout de même, marmotta le voleur, j’ai été joué comme un imbécile que je suis.

— Tout cela est bel et bon, répondit sa femme ; mais le plus pressé est de nous débarrasser de cette vieille. Attache-la solidement sur le cheval aveugle que tu as amené hier ici, et qui n’a pas été vu de nos voisins. C’est aujourd’hui la foire de Fougères, et, en mettant la bête sur la route, elle va suivre instinctivement les premiers chevaux qui vont passer. Dépêchons-nous, car voici le jour.

Ils placèrent la vieille, à califourchon, sur la haridelle, la ficelèrent solidement, lui ramenèrent son capuchon sur le nez, et conduisirent le cheval sur la route.

Des paysans, avec des charrettes et des bestiaux, ne tardèrent pas à arriver de toutes parts, et comme le jour commençait seulement à poindre, ils ne firent pas attention ni à la vieille ni à son cheval.

La bête aveugle suivit les autres animaux et arriva sur la place d’armes à Fougères.

Un marchand de faïence venait de s’y installer, lorsqu’il vit le cheval de la vieille arriver en droite ligne sur sa marchandise étalée par terre. Il cria de toutes ses forces : « Hé, hé ! la vieille, tirez sur la bride ! tirez sur la bride ! » mais la bonne femme ne bougea pas. 

Le cheval avança brisant sous ses pieds soupières et assiettes.

Le marchand furieux s’empara d’un bâton et frappa, de toutes ses forces, la bête et la vieille. Celle-ci tomba par terre, et la foule, ameutée autour d’elle, s’aperçut qu’elle était morte. Les gendarmes accoururent et s’emparèrent du marchand qu’ils conduisirent en prison.

Un médecin fut aussitôt appelé, et déclara que la bonne femme avait été tuée d’un coup de fusil en pleine poitrine, et n’était certainement pas morte des coups de bâton qu’elle avait reçus.

Sur cette déclaration, on rendit la liberté au marchand, et on lui donna le cheval aveugle pour l’indemniser de ses pots cassés.

La justice eut beau faire, elle ne découvrit pas le coupable. Ce ne fut qu’à son lit de mort, que Pierre Marchand raconta ce qui lui était arrivé et mit ainsi en repos la conscience du curé de Lécousse.

(Conté par Pierre Le Coq, couturier, âgé de 82 ans, à Lécousse.)

Publié dans:La MORT, POLTERGEISTS et LEGENDES |on 8 septembre, 2012 |Pas de commentaires »

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Publié dans:CHIFFRES |on 8 septembre, 2012 |Pas de commentaires »

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