Un voyage Sirius-Terre
Issu des Carnets de Recherche de Christian Sastre
05 – Un voyage Sirius-Terre – Avec son aimable autorisation
L’Homme, cet émigré de Sirius
Voici l’idée fantastique (bien qu’elle ne soit pas nouvelle en réalité) développée dans ce Carnet, à savoir : Dans un lointain passé, des êtres ont réalisé un voyage interstellaire digne des récits actuels de science fiction. Il ne s’agit même pas d’anticipation, puisque ce terme signifie qu’une réalisation, ou une invention, bien qu’elle soit en avance sur les progrès techniques contemporains, apparaît d’ores et déjà du domaine du possible.
Ce voyage, tel que les Traditions anciennes laissent supposer qu’il eût lieu, est utopique au regard des critères scientifiques d’aujourd’hui. En effet, d’une part, les progrès futurs de la science ne permettent absolument pas de l’envisager, d’autre part, les intellectuels dénient toute forme de civilisations savantes précédant la nôtre. Et pourtant !
Il semble que nos ancêtres de quelques dizaines de milliers d’années, sinon de millions, vinrent de l’étoile de Sirius jusqu’à notre système solaire en vue de peupler cette partie de l’univers. Qu’importe les motifs qui les y ont contraints. Quoi qu’il en soit, nous, les habitants de la planète Terre, nous serions les descendants de ces voyageurs venus de Sirius.
D’ailleurs, comme le précise le titre, ce voyage ne s’est pas effectué comme un aller-retour Terre-Sirius-Terre. Ce fut un aller simple. Le parcours commença à partir de cette lointaine étoile et se termina là où la planète Terre gravite maintenant.
Quant aux traces qui pourraient subsister de cet incroyable voyage, elles sont difficiles à découvrir, à démontrer d’une façon indéniable. C’est pour cette raison qu’il est nécessaire de les rechercher dans ce qui forme la trame des civilisations passées.
Les légendes ne manquent pas dans l’histoire des peuples tendant à démontrer que l’humanité possédait de très bonnes connaissances relatives aux étoiles et plus particulièrement à Sirius.
Le présent Carnet est une courte synthèse sur les connaissances actuelles concernant Sirius et des liens qui influencent encore diverses traditions.
Nous nous pencherons donc sur cette « Grande Pourvoyeuse » de l’astrologie égyptienne afin de tenter de percer l’origine de son observation. Les Grecs la connaissaient également. Ensuite nous approfondirons notre sujet chez les Dogons. Ce peuple semble se transmettre une tradition selon laquelle – c’est important de le noter d’ores et déjà – la Terre gravitait, voici bien longtemps, autour de Sirius. Enfin seront recherchés des éléments susceptibles de savoir s’il est sérieux d’accorder du crédit à cette étrange et probable origine de l’humanité terrestre.
Auparavant, tournons-nous vers la science afin de connaître les données actuelles exactes fournies par les astronomes. De cette façon, il sera plus facile d’établir des relations entre le savoir des Anciens et les connaissances scientifiques actuelles.
Ce qu’en disent les astronomes
La plupart des renseignements qui suivent proviennent, d’une part, des dictionnaires et des livres de vulgarisation scientifique (surtout pour comparer les données) d’autre part, d’une réponse aimablement communiquée par la Société astronomique de France, (1) dont les précisions sont fort concises.
Sirius est l’étoile dominante de la constellation du Grand Chien (en latin Canis major), située dans l’hémisphère austral. Pour le ciel boréal, l’étoile la plus visible est Véga, dans la constellation de la Lyre. Canis major n’est pas la constellation la plus proche puisque celle du Centaure (Centaurus) n’est éloignée que de 4,3 années de lumière (en abrégé al.). D’après les déterminations les plus récentes (Georges D. et Cardyn V. Gatewood, 1.978), Sirius est à 8,63 al. Pour information, il est bon de préciser que les étoiles peuvent être visibles jusqu’à une distance de 500 années de lumière.
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