Archive pour le 27 mai, 2012

Des cas de possession

Les possessions diaboliques : mythe ou réalité ?

Comment reconnaître un cas de possession ? Peut-on être possédé et en état de grâce ? Que faire devant une possession ? Les pactes avec le démon, ça existe vraiment ? Qui peut faire un exorcisme ? Comment se protéger contre les possessions ?

Ce que dit l’Eglise

L’Eglise affirme que les démons ont vraiment le pouvoir de posséder ou d’obséder les corps des hommes comme celui des objets matériels.

La possession est le phénomène par lequel le démon envahit le corps d’un homme et en prend le contrôle. Les deux éléments fondamentaux de la possession sont :

 La présence d’un ou plusieurs démon(s) dans sa victime. 
 Le commandement « despotique » du démon sur elle.

Des cas de possession dans POSSESSION Merkaba-Dante-Paradiso-Canto-31-Chakras-Above-HeadL’infestation est la présence d’un démon dans un objet matériel.

Les personnes qui souffrent d’une possession sont appelées : énergumènesobsédésdémoniaques ou possédés.

On a affaire à un exorcisme lorsque l’Église demande, avec son autorité, au nom de Jésus, qu’une personne ou un objet soit protégé contre l’emprise du Malin et soustrait à son empire. Sous sa forme simple, il est pratiqué lors de la célébration du Baptême. L’exorcisme solennel, appelé grand exorcisme, ne peut être pratiqué que par un prêtre et avec la permission de l’Évêque.

Que disent les Evangiles ?

L’Evangile cite de nombreux cas de possessions : il y a par exemple le possédé de Gerasène, que Jésus libère de ses « légions » de démons (Mc 5.1-13) ou le possédé que Jésus exorcise dans la synagogue de Capharnaüm après que ce dernier eut tenté de l’agresser (Mc 1.13-27). Les Evangiles notent que Jésus, pendant sa vie publique, « chassait de nombreux démons » ( Mc 1.34) et que les gens qui assistaient à ces premiers exorcismes étaient stupéfaits « car Jésus avait autorité sur eux » (Lc 4.36).

Jésus envoie ses disciples avec le pouvoir de chasser les démons (Mc 6.7) et précise que certains genres de démons « ne peuvent être chassés que par la prière » (Mt 17.21). Lors des exorcismes pratiqués par Jésus, se révèle clairement sa divinité : les démons le craignent et reconnaissent en lui « le Saint de Dieu » (Lc 4.34).

Son pouvoir d’exorciste lui sera d’ailleurs objecté par ses détracteurs. Certains juifs accusaient en effet Jésus de tenir son pouvoir du démon (Mc 3.22-30). Mais Jésus leur répond habilement en poussant leur raisonnement jusqu’à l’absurde : s’il chassait les démons par un pouvoir démoniaque, cela signifierait que le royaume de Satan est divisé, ce qui n’a aucun sens.

Satan est le protagoniste principal de la mort de Jésus : Jésus avait en effet affirmé que par sa passion, « le prince de ce monde serait jeté dehors » (Jn 12.31). Cet holocauste permettra donc à Jésus de « racheter » l’humanité de ses péchés. Le démon craint cette victoire de Jésus ; il avait même affirmé que « le monde lui appartenait » (Lc 4.6). Satan tente donc de dissuader Jésus (Lc 4.13 ; Mt 16.36-46), et il va simultanément déchaîner sa haine contre le Fils de Dieu : c’est l’heure des ténèbres. Satan pénètre dans le cœur de Judas (Jn 13.27), le « fils de la perdition » (Jn 17.12), qui va livrer Jésus au Sanhédrin avant d’aller se pendre.

Par la Résurrection, Satan est définitivement vaincu, ce qui le place dans une situation extrême : il ne peut se convertir mais connaît sa défaite et est donc désespéré. C’est justement dans ce royaume du désespoir, de la désolation, qu’il essaie d’attirer les hommes. En effet l’homme est la créature préférée de Dieu, et donc celle que Satan hait le plus, et par sa liberté l’homme peut refuser Dieu jusqu’à l’extrême de la condamnation éternelle. C’est là qu’il veut le mener, par cause de sa haine et pour se venger ; et pour cela il ment continuellement à l’homme, lui qui est « menteur et père du mensonge » (Jn 8,44).

C’est pourquoi Jésus, dans la prière qu’Il nous a laissée, nous invite à demander à Dieu : « Délivre-nous du Mal ». Le catéchisme commente (CEC 2851) : « dans cette demande, le Mal n’est pas une abstraction, mais il désigne une personne, Satan, le Mauvais, l’ange qui s’oppose à Dieu. Le « diable » (dia-bolos) est celui qui « se jette en travers » du dessein de Dieu et de son œuvre de salut accomplie dans le Christ ».

La grandeur de ce combat est représentée en particulier dans le livre de l’Apocalypse de saint Jean : lorsque la victoire sur le « prince de ce monde » (Jn 14,30) est acquise, celui-ci « se lance à la poursuite de la Femme » (Ap 12,13), mais il n’a pas de prise sur elle : Marie, la nouvelle Eve, est préservée du péché et de la corruption de la mort. « Alors, furieux de dépit contre la Femme, il s’en va guerroyer contre le reste de ses enfants » (Ap. 12, 17). C’est pourquoi l’Esprit et l’Eglise prient : « viens, Seigneur Jésus » (Ap 22,17) puisque sa Venue nous délivrera définitivement du Mauvais.

Quels sont les différents genres de possession ?

On peut classifier les cas de possession en quatre groupes, suivant deux critères : le consentement de la personne et son état de grâce. La plupart des cas de possession proviennent de cérémonies occultes : spiritisme et rituels sataniques.

vmnbjhli dans POSSESSION 1er cas : La victime est en état de grâce et consent à la possession. C’est un cas assez rare, mais qui est rapporté par certains exorcistes. Il arrive que Dieu donne à certaines âmes la possibilité de souffrir jusque dans leur corps la présence d’un démon pour pouvoir affermir leur désir d’aimer Dieu et de renoncer au péché. On connaît le cas, au XIXème siècle, du Père Surin qui fut possédé par un démon alors même qu’il réalisait un exorcisme ; ses mémoires, en ce sens, ont été très précieuses pour montrer que le démon n’a en fait aucune influence directe sur la volonté de sa victime. Il ne fait que susciter des tentations… Mais il ne faut pas confondre ce cas avec celui des âmes qui s’offrent à Dieu comme « victime d’oblation » pour le salut des âmes (Ste Thérèse de Lisieux, Marthe Robin,…). Il peut aussi arriver dans certains cas que le démon s’en prenne à des personnes avec acharnement à cause du bien qu’ils font au monde : Le saint curé d’Ars et le Padre Pio avaient l’habitude de se battre « physiquement » contre le démon durant des nuits entières. Et il n’était pas rare qu’ils apparaissent le matin tout couverts de contusions… et que dans la journée un grand pécheur vienne se confesser.

 2ème cas : La victime est en état de grâce, mais ne consent pas à la possession. Ce cas, que l’on trouve dans l’Evangile (le jeune homme possédé depuis l’enfance Mt 17.14-21), est peut-être plus fréquent qu’on ne le pense. Il est difficile à comprendre car il nous semble, à première vue, assez injuste… « Qu’a donc fait cette personne de mal pour mériter une telle souffrance ? »La foi nous apprend cependant que Dieu n’est pas la cause du mal et qu’il n’accepte un mal que pour en faire sortir un plus grand bien. On a vu en effet des familles entières revenir à la foi et aux sacrements grâce à ce genre d’épreuve. Ce cas se produit rarement, pour ne pas dire jamais, dans les personnes qui ont une profonde vie spirituelle et sacramentelle. Certains exorcistes indiquent que cela peut se passer quand le rituel du baptême a été tronqué du cérémonial d’exorcisme, par négligence ou présomption.

 3ème cas : La victime n’est pas en état de grâce, mais n’est pas pour autant consentante à la possession.Il s’agit en fait d’un châtiment de Dieu dû à un enracinement profond dans le péché. Dieu « permet » cette possession à cause de l’endurcissement du cœur de l’homme. Thyrée (De daemoniacis, I pars, ch. 30, n° 9-23) signale principalement les désordres d’infidélité, d’apostasie, d’abus de l’Eucharistie, de blasphème, d’orgueil, les excès de luxure, de paresse, la persécution contre les serviteurs de Dieu, le manque de respect contre les parents, les violences de la colère, le mépris de Dieu et des choses saintes… Il arrive que ces personnes aient eu une certaine vie spirituelle. Mais à force de pécher, de ne pas pratiquer leur foi, l’eau chaude est devenue tiède, puis froide… puis a littéralement gelé. Alors le démon peut très facilement prendre « les commandes » de cette âme, comme il le fit avec le malheureux Judas (Jn 13.27). Dans ce cas, le démon conduit généralement sa victime au désespoir en la forçant à commettre des péchés très graves. La victime reçoit une image tant détestable d’elle-même qu’elle ne peut plus se supporter. Elle tombe dans la schizophrénie et la dépression. Cela s’achève souvent – c’est la victoire du démon – par un suicide. C’est aussi dans cette catégorie que l’on peut classer ceux qui, non baptisés, n’ont jamais eu accès à la vie de grâce.

 4ème cas : La victime n’est pas en état de grâce et est pleinement consentante à la possession. Ce cas provient d’un « pacte » établi avec Satan. Dans ce cas, le possédé devient complice du démon et reçoit généralement des « dons obscurs » qui lui permettent de multiplier ses forces pour répandre le mal dans le monde. Il y a alors une sorte « d’inversion » de l’ordre de la grâce : le possédé reçoit des pouvoirs et une protection particulière tant que ces derniers peuvent lui être utiles. Cependant, il ne faut pas croire que le démon devienne l’« ami » de celui qui pactise avec lui, car le diable n’a pas d’ami, il n’a que des victimes. Ceux qui se prêtent à ce triste jeu peuvent avoir un instant l’impression d’avoir gagné l’amitié de Satan. Qu’ils ne se fassent pas d’illusion : le diable les méprise autant que tous les êtres humains, race largement inférieure à sa nature angélique et pourtant préférée du Créateur.

Issu du site : http://qe.catholique.org/le-mal/6104-les-possessions-diaboliques-mythe-ou-realite

Publié dans:POSSESSION |on 27 mai, 2012 |Pas de commentaires »

Mer-ka-ba

Discours Enflammé sur 2012

Malheureusement, des chrétiens conservateurs ont utilisé de fausses interprétations des paroles de notre ancêtre Jésus pour asservir physiquement, économiquement, émotionnellement et/ou spirituellement les gens autour du monde pendant 1686 ans (depuis que l’empire romain s’est approprié par la force la religion chrétienne en l’an 325 de notre ère).

Heureusement, les chrétiens libéraux font de leur mieux pour vivre la vie du Vrai Jésus par leurs propres moyens aimants, malgré la vaste quantité de désinformation qui existe au sujet de Jésus. Les chrétiens libéraux suivent la voie d’Amour de Dieu du Vrai Jésus, comme on le voit par leurs actions pour aider les autres.

Lancez la “Lecture” ci-dessus. Entendez, dans des énergies émotionnelles enflammées de type “conservateur” comment Jésus et Dieu ont l’un comme l’autre de l’antipathie pour les conservateurs craignant Dieu. Écoutez comment les chrétiens conservateurs suivent la voie de la crainte de Dieu de Lucifer, comme prouvé par leurs actions dans la vie.

Mer-ka-ba dans MER-KA-BA merka02Il a maintenant été scientifiquement prouvé que les conservateurs ont une difformité dans leur cerveau droit, qui les rend agressifs toutes les fois où ils font face à l’incertitude, comme prouvé par des scientifiques à l’University College de Londres en Angleterre et comme rédigé dans leur étude scientifique venant juste d’être publiée.

Les libéraux ont des cerveaux droits normaux et sont tolérants avec les autres, même en temps d’incertitudes. Toutefois, les conservateurs, avec leurs difformités du cerveau droit, réagissent par un comportement agressif et remplit de peur lorsqu’ils font face à l’incertitude.

Comme prouvé par des archives de famille, les gens savent ce qui est juste à l’intérieur d’eux. Ainsi, lorsque l’on reçoit des informations qui contredisent ce que nous savons être juste à l’intérieur de nous, alors l’énergie de l’incertitude surgit.

Les libéraux sont tolérants avec les autres et gardent un équilibre émotionnel, même lorsqu’ils font face à l’incertitude. Mais, les conservateurs, avec leurs cerveaux droits émotionnellement déformés et remplis de peur sont facilement manipulés pour entrer dans un comportement agressif, comme prouvé tout au long de l’histoire et comme on le voit par leurs actions dans le monde d’aujourd’hui.

Les libéraux qui continuent à voir l’Amour de Dieu couler à travers eux vers les autres jusqu’au 21 Décembre 2012 seront en mesure d’aller avec l’ancêtre de notre famille, Jésus (qui est connu sous de nombreux noms dans de nombreuses contrées), en “Terre Promise”.

tc3a9trac3a8dre-philippe-william-sinclair dans MER-KA-BALes conservateurs d’aujourd’hui craignent Dieu parce qu’ils savent à l’intérieur (en raison de leurs propres choix dans la vie) qu’ils ne verront jamais la “Terre Promise”, car seules les personnes aimant Dieu, qui deviennent des Anges durant les Temps de la Fin, seront choisis pour Ascensionner au “Jour du Jugement” du 21 Décembre 2012.

Libéraux, n’attendez pas, préparez-vous pour les énergies de l’Ascension maintenant, partez plus tôt. Apprenez à utiliser les énergies de l’Amour. Faites partie des Ascensions de Corps Physique (ceux qui partent avant le 21 Décembre 2012), comme prophétisé par Jésus.

(Matthieu 24:40-41 “Alors deux seront au champ, l’un est pris, l’autre laissé. Deux femmes en train de moudre à la meule, l’une est prise, l’autre laissée.”)

Les lauréats de nos Classes de Connaissance Véritable pour Activants/Activateurs visitent la “Terre Promise” chaque semaine depuis 5 ans. Nos Enseignants Guérisseurs Wab Sekhmet se rendent maintenant à la “Terre Promise” plusieurs fois par jour.

Apprenez à utiliser les énergies de l’Amour dans nos Classes de Connaissance Véritable

Méditant - Apprenez à utiliser l’énergie d’Amour pour vous aider
Activant - Apprenez à utiliser l’énergie d’Amour pour aider les autres
Guérisseur - Apprenez à utiliser l’énergie d’Amour pour guérir les autres
Enseignant - Apprenez à utiliser l’énergie d’Amour pour enseigner aux autres

 

Écrivez à Classes@Merkaba.org pour un calendrier des Classes de Connaissance Véritable de notre famille à venir dans votre région du monde.

Publié dans:MER-KA-BA |on 27 mai, 2012 |Pas de commentaires »

La Médiumnité

Comment expliquer la médiumnité ?

Jon Klimo (1987) a développé les théories élaborées par divers chercheurs pour expliciter la médiumnité. Il a évoqué les thèses de : Arnold Mandell, Frank Barr, Bob Beck, Andrija Puharich, Jack Schwarz (fondateur et président d’Aletheia Foundation à Ashland dans l’Oregon), William Tiller (professeur d’ingénierie à Stanford). L’observation suivante de Jon Klimo m’apparaît très pertinente :

« Les phénomènes médiumniques impliquent peut-être des oscillations électromagnétiques invisibles à faible champ générées par des êtres « non-physiques » qui entraînent par résonance (génèrent la même vibration dans, ou baissent l’harmonique de) certaines structures moléculaires en relation avec les états de conscience modifiés du channel. »

Auparavant il convient de répondre aux deux questions fondamentales suivantes :

- Quelle est la nature de l’Au-delà ?

- Qu’est-ce qui survit à la mort ? 

1. Quelle est la nature de l’Au-delà ?

La Médiumnité dans MEDIUM medium_s1_1L’Au-delà c’est avant tout ce qui est au-delà de nos facultés de perception sensorielle et de nos instruments de mesure. J’évoque, dans mon livre, la notion de « Plans de conscience«  qui vibrent sur des fréquences extrêmement élevées. Ceux-ci interpénètrent l’Univers matériel en 3 D et occupent par conséquent le même espace que ce dernier. Ces Plans correspondent notamment à l’Univers « superlumineux » théorisé par Régis Dutheil, avec des vitesses supérieures à la vitesse de la lumière. Cet Univers se trouve donc au-delà du « mur de la lumière ». On peut parler à ce propos de Plans « hyper-physiques », de mondes intérieurs, d’« autres dimensions » ou d’Univers multidimensionnel.

Nous pouvons distinguer les aspects visibles et invisibles de la Création, lesquels incluent des mondes physiqueset des mondes spirituels. Ces derniers sont constitués de plans vibratoires qui interpénètrent, selon des patterns de fréquences variées, notre Univers en 3 D.

William Buhlman (qui pratique la sortie hors du corps) note avec justesse que la plus grande partie de l’Univers « n’a pas les particules pour fondement, ainsi que la science actuelle le suppose, mais bien les fréquences », les particules physiques de matière n’étant que « le résultat dense des fréquences (ondes) non-physiques d’énergie ». Il évoque un continuum de fréquences d’énergie se prolongeant en profondeur dans le cœur de l’Univers multidimensionnel.

Les explorations extracorporelles que l’on peut faire soi-même montrent que le « Ciel » des religions est « en réalité une série de magnifiques environnements d’énergie invisibles constituant l’univers multidimensionnel ».William Buhlman note en outre que la nature multidimensionnelle de l’Univers peut offrir une explication logique à l’existence de mystères contemporains comme la courbure de l’espace-temps, la « matière obscure », l’Univers en expansion, les « trous noirs » et l’effet tunnel…

 2. Qu’est-ce qui survit à la mort ?

medium-pur-cher dans MEDIUMIl existe, en dehors de toute littérature médiumnique ou « ésotérique », des tentatives d’explication relatives à la nature de l’« Esprit » ou de l’âme survivant à la mort. On a ainsi spéculé sur des particules spécifiques qui constitueraient un « agrégat » cohérent formant notre conscience. Ces particules ont été différemment nommées : « éons » (Jean Charon), « psychons »« psytrons »… Ces particules seraient chargées d’un contenu informationnel. Des milliards de « psytrons » formeraient un « nuage » interpénétrant des sites récepteurs du cortex, un échange permanent s’effectuant entre ce « nuage », le cerveau et le monde extérieur. Ce paquet de particules serait le siège et la nature de notre Esprit. On a évoqué aussi les conceptions d’Emile Pinel (à propos des champs H1, H2 et H3), ainsi que la « psychomatière »… Il y a aussi les champs informationnels théorisés par Pim Van Lommel, le cerveau fonctionnant en tant que récepteur et aussi transmetteur, mais non pas comme conservateur de la conscience.

On peut comparer le cerveau à un poste de télévision qui reçoit des ondes électromagnétiques et qui les transforme en sons et images (ou à une caméra de télévision qui transforme des images et des sons en ondes électromagnétiques). Si on éteint la télévision la réception cesse mais la transmission continue, l’information transmise restant présente dans les champs électromagnétiques. Cette information peut être reçue sur un autre poste de télévision. Pim Van Lommel parle de « non-localité ».

On notera également que Mario Beauregard, chercheur en neurosciences du Département de psychologie et de radiologie de l’Université de Montréal, considère que la conscience n’est pas générée par l’activité électrochimique du cerveau et n’est donc pas localisée dans le cerveau. La biologiste moléculaire Sylvie Déthiollaz considère également que la conscience n’est pas le fruit de l’activité neuronale. Il s’agit, dit-elle, de son ressenti intime.

Pour le lecteur familier de la littérature médiumnique et ésotérique les champs informationnels évoqués par Pim Van Lommel doivent être associés au corps spirituel. Il convient de rappeler, à ce sujet, que de multiples sources convergentes font état de l’existence, en plus du corps physique, d’un ou plusieurs corps subtils coexistant, pendant l’incarnation, avec ce corps physique. Certains récits de « décorporés », les communications médiumniques, etc., font abondamment référence à un corps spirituelVoici, par exemple, ce qu’a dicté à sa mère le messager de l’Au-delà Georges Morrannier :

« Nous sommes très étonnés, après la mort physique, de nous retrouver dans un corps consistant qui nous paraît aussi dur que celui que nous venons de quitter. (…) Nous sommes dans un corps rigoureusement identique au corps physique, même ton de peau, même teinte de cheveux. C’est à ce point surprenant que nous ne voulons pas croire à notre mort terrestre. »

Pour la personne familière, comme moi, de la littérature médiumnique, il ne fait pas de doute que c’est le « corps subtil » qui survit à la mort et qui est à l’origine des multiples communications avec « l’Invisible » répertoriées à travers le monde, qu’elles soient passées ou présentes. Ceci nécessite, comme nous l’avons vu, la présence d’un médium ou d’un channel…

Le corps subtil (aussi appelé « corps astral »« corps psychique »« périsprit »« corps métaphysique »« corps spirituel », etc.) peut en outre, en certaines circonstances, se dégager de son substrat physique, permettant de la sorte une extériorisation de la conscience, de façon spontanée (le plus souvent) ou provoquée. On appelle ce phénomène la « décorporation » (ou sortie hors du corps, « voyage astral »« projection astrale », etc.). Les NDE (ou expériences au seuil de la mort) ne sont pas autre chose que des cas de décorporation à l’approche de la mort…

Le corps spirituel, celui qui survit à la mort biologique, peut être défini comme étant un organisme subtil (de nature énergétique) associé au corps physique pendant la vie sur le plan matériel. Ce corps « métaphysique », qui constitue le siège de la conscience après la mort biologique ou transition, sert de véhicule structurel à la personnalité entre deux incarnations.

Propos d’Alain Moreau sur le site http://www.mondenouveau.fr/index.

Publié dans:MEDIUM |on 27 mai, 2012 |Pas de commentaires »

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