Archive pour le 1 mai, 2012

La Pensée

 

Nous sommes faits de la somme de nos pensées.  Décidez dès maintenant quelles seront celles qui seront les plus nombreuses en vous et pèseront le plus lourd dans la balance.

 Ensuite, c’est l’observation de ses paroles, le prolongement de vos pensées, qui se fait à un niveau plus haut car si les pensées appartiennent au corps mental, assurément que la parole est associée au corps sentimental, l’expression de votre héritage des quatre premiers corps.  C’est pour cette raison que vous avez le langage le plus complexe de toutes les espèces sur la terre.  Les prémisses du langage débutent avec les réactions du corps émotionnel, se structurent avec les constatations du corps mental et deviennent réflexions avec le corps sentimental, etc.  Donc, c’est dans le corps de l’amour, le lien avec l’autre, qu’on peut mieux observer ses paroles et leurs impacts.

La Pensée dans PENSEE Si nos pensées nous définissent en tant que conscience individuelle, nos paroles nous précisent en tant que conscience collective.  Bien des paroles sont éphémères et semblent refléter un sentiment du moment.  Mais soyez attentif car les sentiments sont toujours le prolongement durable de pensées qui elles-mêmes prolongent des émotions qui elles-mêmes prolongent des sensations.  Il ne vous est pas demandé de contrôler vos paroles ni vos pensées à la source.  Mais de les observer pour mettre en lumière leur contenu.  Cela les actualise dans leur essence et vous donne le choix de les répéter ou de les arrêter en connaissance de cause. 

 Vouloir annuler un comportement par son interdit c’est simplement croire que l’ignorer va le faire disparaître.  L’ignorance n’amène jamais l’élévation de la conscience.

 Cela peut être difficile parfois de différencier les paroles qui nous font régresser ou font régresser les autres de celles qui font progresser.  Mais du point de vue plus élevé du corps amoureux, siège de la compréhension, il n’y a pas d’équivoque.  Nos paroles servent-elles à nous rapprocher, à nous unir aux autres ou au contraire, à nous en éloigner, à nous en séparer?  Nos paroles sont-elles des limites exagérées qui freinent nos progrès et élèvent des barrières entre nous et les autres ou si à l’opposé, stimulent-elles notre évolution et construisent-elles des ponts entre les individus?  Parlons-nous généralement pour se rapetisser et rapetisser les autres ou dans l’autre sens, pour se grandir et grandir les autres?  On ne peut rattraper une parole lancée ni se taire à jamais pour éviter les maladresses.  Mais quand on remonte à la source d’une parole qui nous a particulièrement frappée par son impact négatif sur nous ou sur l’autre et qu’on en décode sa raison, on peut commencer à manifester son contraire.

  Qu’aimeriez-vous entendre de la bouche des autres?  Soyez consciemment honnête et commencez dès maintenant à le dire aux autres.  Vous pouvez exprimer sur vous et sur l’autre des commentaires qui peuvent déranger, déséquilibrer, mais si c’est fait pour améliorer la compréhension et consolider les liens entre les individus, cela est naturel.  Cependant,  rappelez-vous toujours que si vous avez assez de salive pour critiquer, vous devez en avoir aussi assez pour complimenter.  Si vous portez attention sur ce qui vous fait du bien chez l’autre et l’exprimez, si vous prenez conscience de toutes les stimulations plaisantes qui vous parviennent de votre entourage et l’exprimez en mots, cela les prolongent et les densifient dans votre vie.  Vos paroles peuvent devenir des prières constantes qui exaucent vos voeux, ceux de vos proches, et tendent à bâtir une harmonie d’ensemble.

 Enfin, ce sont vos actes que vous devez observer.  Ils sont associés au corps amoureux parce qu’ils sont un geste vers soi ou vers l’autre, le reste de l’univers.  On ne peut examiner objectivement ses actes qu’à partir du sixième corps, celui des concepts, des principes qui régissent l’univers.  Pour mettre en évidence leurs racine cachée, il faut faire à rebours le cycle qu’une action découle d’un sentiment, découle d’une pensée, découle d’une émotion, découle d’une sensation.  Si votre sixième corps ou même votre cinquième corps est peu développé, vous pouvez demander l’aide du corps correspondant appartenant à votre être suprême, votre moi supérieur.  L’héritage des corps plus vastes peut nous être accessible en tout temps.  Il suffit d’y croire et d’établir le contact.  Il y a toujours une conscience plus grande associée à chacun de nos corps dans lequel il est en mouvance.

 Cela peut être difficile parfois de se regarder agir et de discerner nos actes qui nous font avancer en rapport à ceux qui nous font stagner ou même reculer.  Connaître les motivations profondes, en comprendre l’essence pour mieux voir l’intention derrière un geste, est parfois vital. Mais ce n’est pas au début du cycle, avant le geste, qu’il faut réfléchir mais à sa fin, dans ses conséquences sur sa vie et celle des autres.  Quoique l’on en pense, de trop réfléchir avant de poser un geste est le limiter et brimer ses pulsions premières. C’est difficile à comprendre mais un geste réfléchi n’est pas source de découverte mais une répétition du déjà vu. Un nouveau geste doit s’appuyer sur l’ensemble des réflexions découlant des gestes passés et non être contrôlé par les émotions, les pensées, les sentiments posés sur ce geste.  Advienne que pourra, la découverte de l’inconnu, de champs plus vastes, est primordiale à l’évolution.  La seule règle à respecter est que ce geste ne cause pas une régression grave à soi ou à un autre être.

   Vos actes vous reflètent-ils vraiment?  Est-ce que vos différents corps s’harmonisent dans cette intention?  Est-ce que l’enthousiasme et la satisfaction profonde sont présents dans cette action?  Comme un rituel sacré, est-ce que vos gestes sont un hommage constant à la vie qui s’exprime à travers vous?  Dans cette danse continuelle, vous pouvez y célébrer votre grandeur unique tout en respectant le ballet d’ensemble.

200px-RobertFuddBewusstsein17Jh dans PENSEE Je répète qu’examiner ses pensées, ses paroles et ses actes en les actualisant à sa conscience pour tenter de les transformer ne doit pas être une sorte de contrôle pour mieux les refouler dans l’inconscient et ainsi être influencé d’une façon encore plus insidieuse.  Un désir sincère de progrès passe par la remise en question et en profondeur de ces trois éléments fondamentaux à l’expression de la vie.

La prise de conscience aiguë de ses propres limites est en soi un premier pas pour dépasser ces mêmes limites.

 Que pensez-vous à propos de vous, des autres, votre passé, votre présent, votre futur?  Est-ce que vos paroles reflètent la meilleure partie de vous?  Est-ce que vos actes sont toujours remplis de bienveillance, de respect et d’amour?  Est-ce que les trois sont en symbiose comme leurs corps respectifs?  Élevez vos pensées pour qu’elles deviennent une méditation positive constante.  Élevez vos paroles pour qu’elles deviennent prières édifiantes pour vous-même et les autres.  Élevez vos actes pour qu’ils deviennent rituels sacrés à la gloire de votre moi Divin.

    Tout ce que l’on fait mérite d’être bien fait.  Il n’y a rien de profane.  Tout est spirituel car tout découle de l’essence Divine.  Plus on prend conscience de chacune de ses manifestations, plus on les  modifie et transforme ainsi son présent qui se reflète dans son passé et son futur.

Extraits du livre NAJA L’ILLUMINÉ -  PREMIER PORTRAIT  À L’ORIGINE DE TOUT CANALISÉ PAR

                     COLIN CHABOT – retrouvez les écrits en son entier ici : http://www.music-close-to-silence.net/a_lorigine_de_tout.pdf

Publié dans:PENSEE |on 1 mai, 2012 |Pas de commentaires »

Jésus, les Maîtres et les Grands Instructeurs

 

Rollin Olson. Certains des ces Maîtres sont-ils connus publiquement ?

Benjamin Creme. L’un d’entre eux, que tout le monde connaît, est le Maître Jésus. Lorsqu’il vivait en Palestine, Jésus était un disciple très avancé, un initié du quatrième degré, presqu’un Maître. Il passa la quatrième initiation, la Crucifixion, ouvertement, dans le monde extérieur. Normalement, nous ne sommes pas censés mourir sur une croix lorsque nous passons la quatrième initiation. Lui le fit de manière à symboliser pour nous, de manière saisissante, cette grande expérience de renoncement. Jésus est maintenant un Maître. Il l’est devenu, dans sa vie suivante, sous l’identité d’Appolonius de Tyane, qui ouvrit un ashram au nord de l’Inde, où il mourut et fut enterré. C’est de là qu’est venue la légende selon laquelle Jésus ne serait pas mort sur la croix, mais qu’il aurait quitté secrètement la Palestine et serait parti en Inde, où il serait enterré. Il s’agit Jésus, les Maîtres et les Grands Instructeurs dans JESUS 180px-MaestroTrognano_Calvario_milanobien de l’être qui fut Jésus, mais dans son incarnation suivante en tant qu’Appolonius. Jésus est maintenant un Maître très avancé. Aux VIIe et VIIIe siècle, il s’est rendu en Amérique où il a transmis des enseignements aux populations indiennes, puis il est parti pour le Pacifique où il a donné des enseignements aux Polynésiens. Tous ces peuples ont gardé la légende d’un homme blanc venu enseigner, et les différents noms qu’ils lui donnent ont tous un lien avec celui de Jésus. Il leur apprit qu’un autre grand instructeur viendrait de l’Est, qui prodiguerait lui aussi ses enseignements aux Indiens et, bien sûr, lorsque les Espagnols, Cortez et ses hommes, sont arrivés, ils furent accueillis à bras ouverts par Montezuma et son peuple qui, pour leur peine, furent massacrés, comme chacun le sait.

RO. Vous avez mentionné le nom de Jésus. Y a-t-il d’autres noms qui pourraient nous être familiers ?

BC. Celui, très connu, du Maître Djwhal Khul, le Maître tibétain qui a donné au monde les enseignements transmis par Alice Bailey. De 1919 à 1949, il lui dicta par télépathie mentale, une série d’ouvrages, 19 au total (auxquels s’ajoutent les cinq livres qu’Alice Bailey écrivit elle-même). Ces enseignements très profonds et, à mon avis, très pratiques, constituent la phase intermédiaire des enseignements donnés par les Maîtres pour le nouvel âge, celui du Verseau, qui commence maintenant. Les enseignements préliminaires furent communiqués auparavant dans la Doctrine secrète, transmise par l’intermédiaire de Helena Petrovna Blavatsky. Mme Blavatsky travailla avec un groupe de Maîtres et pendant quelques années elle vécu avec eux dans l’Himalaya. L’un d’entre eux était le Maître Morya, son propre Maître, et un autre le Maître Koot Hoomi, tous deux très avancés. Profondément concernés par l’évolution humaine, ce sont eux qui, avec le Maître Jésus, inaugureront la nouvelle religion mondiale qui se développera plus tard : une religion très scientifique, basée sur le processus d’initiation dont nous venons de parler.

RO. Les Maîtres que vous avez cités sont tous des hommes. N’y a-t-il pas de femmes parmi les Maîtres ?

BC. Actuellement, il n’y a pas de Maîtres incarnés dans des corps de femmes.

RO. Pourquoi cela ?

BC. Les Maîtres, en un sens, ne sont ni hommes ni femmes. Ils sont parvenus à un équilibre parfait entre ces deux aspects. Sur le plan de l’âme, il n’y a pas de sexe, ni masculin ni féminin. Il existe simplement une énergie avec deux pôles, l’un positif, l’autre négatif, comme pour l’électricité. C’est une énergie bipolaire. Les Maîtres, étant des âmes parfaites, ont atteint l’équilibre entre ces deux pôles. Cependant, lorsqu’ils prennent un corps physique (ce qu’ils ne font pas tous : deux tiers d’entre eux sont actuellement incarnés dans un corps physique dense, c’est-à-dire environ 40), c’est pour l’instant un corps masculin, afin d’ancrer puissamment dans le monde l’énergie qu’ils possèdent abondamment, celle de l’aspect masculin ou spirituel, ceci pour contrebalancer l’aspect matériel qui se manifeste bien davantage dans le monde d’aujourd’hui. Cela est lié au niveau d’évolution atteint par notre planète. Dans 350 ou 400 ans environ, les choses changeront, et les Maîtres s’incarneront dans des corps féminins jusqu’à ce qu’un équilibre soit atteint entre le nombre de Maîtres masculins et de Maîtres féminins.

180px-Jordan_River dans JESUSCela n’a rien à voir avec un quelconque parti pris à l’égard des femmes, ou de l’aspect féminin. Bien au contraire, les Maîtres sont à l’origine du mouvement de libération des femmes. Ils jugent essentiel que les femmes prennent leur place en toute égalité avec les hommes dans le nouvel âge, âge qui sera connu comme celui de Tara, la Mère. L’ère de Maitreya est celle où se manifestera l’aspect maternel. La femme représente la Mère, l’aspect nourricier, celui qui nourrit l’enfant, la famille, la civilisation. Les nations sont également masculines ou féminines, et celles qui sont féminines pourront devenir le siège d’une civilisation. Aussi est-il essentiel que les femmes puissent jouer totalement leur rôle, en toute égalité, dans la vie de l’humanité. En Occident, cela s’inscrit déjà largement dans les faits, mais en Orient, c’est encore très loin d’être le cas. Les femmes ne sont souvent considérées guère mieux que des biens mobiliers. Un grand changement est nécessaire. C’est pour cette raison que les Maîtres ont inspiré le mouvement de libération des femmes.

RO. Un Maître a-t-il un corps physique comparable au nôtre ? Ou est-il différent ?

BC. Il nous ressemble (en mieux), mais son corps est parfait, c’est un corps de lumière et il peut disparaître et réapparaître à volonté. Il peut traverser les murs et voyager instantanément par la pensée.

RO. Est-il exempt de toute maladie ?

BC. Oui, totalement. Les Maîtres ne meurent pas, ne vieillissent pas. Ils peuvent vivre des milliers d’années dans le même corps. On verra bientôt le Maître Jésus qui possède le même corps depuis plus de 650 ans. Certains Maîtres ont le corps qu’ils avaient lorsqu’ils ont atteint la maîtrise. D’autres ont des corps qui ont littéralement des milliers d’années. Ils ne dorment pas et ne mangent pas. Ils se nourrissent directement de la lumière solaire, du prana, de l’énergie venant directement du soleil. Ils portent des robes immaculées, ou, s’ils sont vêtus à la manière occidentale, des costumes très bien coupés. Mais ils créent leurs vêtements par la pensée.

RO. Les vêtements aussi… ?

BC. Oui. Ils n’achètent pas du tissu dans le commerce ; ils peuvent le créer eux-mêmes.

RO. Quelle est la place de l’humanité dans cette notion de hiérarchie ? Vous avez parlé des Maîtres, en incarnation ou non, où nous situons-nous par rapport à eux ?

BC. Il existe trois grands centres, et j’ai mentionné deux d’entre eux. Le premier est celui qui s’appelle Shamballa, un grand centre éthérique situé dans le désert de Gobi. C’est le centre où sont connus la Volonté et le Plan (le plan de l’évolution) de la Déité qui est l’âme de notre planète. Cette volonté et ce plan sont transmis au deuxième centre, la Hiérarchie spirituelle des Maîtres et des initiés, le centre où s’exprime l’Amour de Dieu. Le troisième centre est l’humanité elle-même, le centre où se manifeste l’Intelligence de Dieu. Ces centres sont actuellement séparés, mais grâce au processus évolutif, ils finiront par être réunis. Tout comme l’étincelle divine, appelée la « monade » dans la terminologie théosophique, se reflète en tant qu’âme, qui elle-même se reflète dans la personnalité humaine qui finit par s’unir à elle au cours du processus d’évolution, de même, dans l’ordre extérieur, l’humanité s’unira à la Hiérarchie. Quand les hommes seront prêts, lorsqu’il y aura suffisamment de disciples dans le monde pour créer un lien avec la Hiérarchie, le centre que nous appelons l’humanité deviendra finalement identique à celui où s’exprime l’Amour de Dieu, la Hiérarchie spirituelle. Puis, celle-ci s’unira finalement avec Shamballa, le centre où la Volonté de Dieu est connue. Le but des Maîtres est de se joindre à Shamballa, tout comme le nôtre, même si nous l’ignorons, est de nous unir à la Hiérarchie. Pour finir les trois centres seront réunis. Le processus évolutif sera alors achevé.

RO. On pourrait dire que l’intelligence n’est guère exprimée par l’humanité.

BC. Ce n’est pas un manque d’intelligence, mais de volonté spirituelle. Nous avons de grands idéaux, mais nous avons tendance à penser que l’idéal suffit, qu’il se réalisera en quelque sorte tout seul. Mais il faut le mettre en œuvre.

texte issu de : Les enseignements de la Sagesse éternelle
Interview de Benjamin Creme, par Rollin Olson

(source: PartageInternational.org)

Publié dans:JESUS |on 1 mai, 2012 |Pas de commentaires »

Une Vérité

Conclusion du livre de Naja-Colin

 

Existe-t-il une vérité ultime, unique et immuable?  Sûrement puisque vous la cherchez.  J’aime ce genre de réponse qui renvoie à l’essence même des pourquoi.  On ne peut chercher ce qui n’existe pas car le désir crée la chose.  On ne peut qu’imaginer que ce qui est déjà compris dans l’univers.  Tout ce qui fut pensé et sera pensé par un être vivant existe déjà.  Voilà une phrase sur laquelle on peut médire ou méditer longtemps.  Elle est basée sur le principe qu’aussi complexes que peuvent être les connections d’un cerveau, il ne peut créer que ce qui est déjà compris dans l’univers dont il est issu.  On peut s’unir à un être supérieur pour recombiner des éléments simples en de nouvelles combinaisons mais cela est déjà réalisé en Une Vérité dans HUMANITE 220px-Max_Weber_1917potentiel à l’échelle du cosmos entier.  Ma propre conscience n’en a pas encore résolu toutes les équations ce qui me laisse présager d’autres plaisirs à venir.  Pour l’instant, je ne peux que vous rappeler cette ancienne vérité.  On ne découvre rien, on ne fait que redécouvrir tout.

 Je voudrais encore tant vous dire mais j’en ai déjà trop dit.  La soif de savoir des humains, c’est un peu de nous qui se manifeste en vous.  Mais voir trop loin, entrevoir des mondes accessibles que dans un futur lointain, ne peut que vous faire perdre pied dans votre réalité présente.  Les rêves inspirent et vous font avancer mais ne doivent pas primer sur le concret.

 Ce livre vous a donné un vaste aperçu des concepts et des principes de base qui sont généralement acceptés dans les civilisations supérieures.  Cela était nécessaire pour que vous compreniez comment nous, en tant qu’entité spirituelle ou extra-terrestre, on pense, on conçoit l’univers.  Il fallait que vous preniez connaissance de nos axiomes qui régissent nos vies.  Maintenant, vous pourrez mieux comprendre le rôle que l’on a joué dans le passé sur votre terre, le rôle que l’on jouera dans le futur et le rôle aussi que l’on ne jouera pas.

 A n’en pas douter qu’il existe des énergies sources à l’origine de d’autres univers inaccessibles à notre conscience.  Mais laissons ces autres réalités se questionner sur elles-mêmes.

 Tout ce que je vous ai révélé ici est ma vérité issue d’une multitude de vies comprises et actualisées en moi.  Cela fait de moi un être hautement personnalisé car le personnel finit un jour par rejoindre l’universel.  Ma vérité est aussi grande que ma conscience et occupe tout l’espace que j’occupe.  Plus je prends de l’expansion, plus ma vérité englobe des multitudes de vérités.

Il n’y a rien de faux dans l’univers.  Il n’y a que des vérités devenues inutiles par la découverte de vérités plus vastes, plus englobantes.  J’ai transmis ici seulement mon vécu, mon savoir accumulé au fil de mes expériences.  Si vous ne faites que les répéter aux autres sans les vivre, les expérimenter dans votre quotidien pour qu’elles deviennent personnelles, elles ne sont que paroles vides de sens.  Une vérité qui n’est que répétée devient un mensonge.

 Toutes les vérités doivent nous faire grandir, nous faire sentir mieux, exalter le meilleur de nous-mêmes.  Même si souvent elles peuvent déstabiliser d’anciennes vérités stagnantes.  La grande vérité commune à tous, seule l’essence Divine la possède.  Dieu voudrait bien la partager mais dès lors, elle se morcelle et se teinte de la personnalité de chaque individu.  Nous ne sommes pas encore un tout unique et c’est bien ainsi.  Peut-être cela se réalisera dans un présent lointain.

 Les civilisations oscillent, tour à tour,  entre la valorisation des croyances communes à tous au détriment des croyances individuelles ou la valorisation des croyances individuelles au détriment des croyances communes à tous.  Même dans la réalisation hypothétique d’une vérité unique dans le futur, elle sera suivie tôt ou tard d’une nouvelle période favorisant les expériences individuelles qui seront sources de nouvelles vérités personnelles.

 Malgré tout ce qu’il fut dit avant moi, je me suis permis quand même d’apporter ma contribution.  Ma personnalité m’a permis de redire les choses autrement.  Peut-être mes paroles toucheront des êtres qui ont des affinités avec ma façon d’être.  Tant qu’il aura quelqu’un qui aura une expérience personnelle de l’univers, elle sera bonne à partager.  Mais le savoir de l’un, né de l’expérience, devient seulement la connaissance de l’autre s’il n’est pas aussi expérimenté par lui.

 Trop de connaissances qui ne sont pas appliquées dans le quotidien peuvent créer des écarts vibratoires entre vos différents corps et être la cause de déséquilibres importants.  Les vérités qui ne sont pas applicables concrètement devraient être rangées dans le surconscient, le non-réalisé pour ressortir quand votre évolution le réclamera.

  En attendant que mes révélations vous servent toutes concrètement, j’espère qu’elles auront aidé à ouvrir et à éclairer votre conscience.

 

NAJA L’ILLUMINÉ

Extraits du livre NAJA L’ILLUMINÉ -  PREMIER PORTRAIT  À L’ORIGINE DE TOUT CANALISÉ PAR

                     COLIN CHABOT – retrouvez les écrits en son entier ici : http://www.music-close-to-silence.net/a_lorigine_de_tout.pdf

Publié dans:HUMANITE |on 1 mai, 2012 |Pas de commentaires »

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