Origine des drogues récréatives
Plantes sacrées de la création.
Effets des drogues récréatives sur le développement spirituel
Lorsque ces plantes sacrées apparurent dans la Création, elles avaient pour rôle de hausser l’énergie et la conscience. Au départ, il y a très longtemps, les plantes altérant l’état de conscience aidaient les humains à percevoir leurs qualités divines, leur Soi divin éternel et le Créateur. Elles furent également employées pour augmenter les facultés téléphathiques, de même que les dons de clairaudience, de clairvoyance, de psychométrie, et à d’autres fins similaires. Ces ouvertures spirituelles reliaient chacun plus directement au royaume angélique, aux esprits de la nature, au royaume animal et aux êtres de l’autre côté du voile. Les énergies accrues par les plantes sacrées donnaient accès au voyage interdimensionnel. Tels étaient les principaux rôles de ce substances végétales ; il s’agissait de percer des voies spirituelles. C’était ainsi au début de la création, avant de déclin du niveau de conscience qui eut lieu au cours du quatrième âge d’or.
Pendant une très longue période d’évolution de la Terre, les gens puisaient à même l’énergie de ces plantes avec grande déférence, en ayant le sentiment du sacré et une intention pure ; ils consommaient une petite portion de la feuille cueillie directement sur la plante vivante, selon l’expérience désirée. Une grande variété de ce genre de plantes existait, chacune offrant un don spirituel spécifique ; on n’en faisait jamais mauvais usage et elles ne provoquant aucune dépendance. On enseignait aux petites à s’en servir dès un âge tendre ; du coup, il n’était pas question d’employer ces plantes pour des usages autres que ceux auxquels elles étaient destinées. Les plantes sacrées étaient douées d’une fréquence vibratoire de la cinquième dimension, ou plus encore.
Par ailleurs, on ne fumait pas ces substances pour ensuite les inhaler dans les poumons, comme on le fait avec les équivalents actuels des herbes d’origine, du reste tout à fait différents. L’époque, les utilisateurs ne consommaient qu’une petite portion de la feuille ou une feuille entière, selon l’espèce ; cela suffisait à obtenir les résultats désirés. En outre, on traitait ces végétaux avec le plus grand respect ; il fallait demander l’autorisation des devasde chaque plante pour bénéficier des propriétés de chacune. Toutes croissaient partout en abondance et presque chaque foyer réservait dans son jardin un coin sacré pour la culture de quelques espèces ; elles étaient considérées comme une nourriture de l’âme aussi importante que les aliments destinés au corps.
En vérité, les plantes sacrées étaient porteuses d’une vibration si élevée que, lorsqu’on les absorbait, les propriétés liées à leur vibration élevaient le corps et ouvraient la conscience à des révélations et à des expériences de nature supérieure. Lesdites « herbes » que fume la génération actuelle dans l’espoir d’établir une connexion avec un aspect supérieur en elle ou d’expérimenter d’autres réalités dimensionnelles appelées fix ou « voyages » n’ont rien à voir avec celles qui étaient initialement employées à des fins spirituelles ; ces dernières n’existent plus dans votre réalité tridimensionnelle ; plusieurs espèces ont toutefois été préservées à l’intérieur de la Terre.
Pour comprendre ce qu’il est advenu de cet héritage dont l’humanité a fait libre usage pendant si longtemps, il faut remonter le cours de l’histoire jusqu’au début de l’âge des ténèbres, au moment où les gens ont abandonné leurs pouvoirs au profit de vibrations inférieures et à des puissances autres que leur Soi divin. L’une après l’autre, les civilisations de Gaia ont oublié leur état originel d’ouverture au divin et se sont tournées vers les énergies manipulatrices et tyranniques des ténèbres. Certains êtres incarnés qui, avant de venir sur terre, s’adonnaient aux arts obscures et avaient acquis un vaste savoir à propos d’autres sphères d’existence, devinrent les magiciens sinistres des temps anciens. Ce sont eux qui on d’abord modifié génétiquement la racine des plantes originelles afin d’exercer un contrôle plus grand sur la population en atténuant ses pouvoirs et perceptions spirituels. Le processus eut cours sur une période de temps très longue ; les plantes d’origine furent progressivement détruites ou leurs vibrations abaissées.
Aujourd’hui, ce que vous appelez « drogues récréatives » présente une vibration négative corrompue très éloignée de celle des substances sacrées de jadis. Ce à quoi sont accros nombre de jeunes et d’adultes en ce monde, ce sont des produits qui mènent leurs usagers à des plans inférieurs de la sphère astrale, là où ils sont capturés et attachés par des entités qui ont besoin de leurs énergies afin de survivre ; ces entités sont la cause première des dépendances. Elles naissent des distorsions dans le corps émotionnel des utilisateurs de drogues. Bien réelles, elles existent sous forme de conscience à faible énergie ; il vient un moment où leurs tentatives de s’emparer de l’énergie des humains deviennent de plus en plus agressives. Avec le temps et l’usage, ces entités augmentent en nombre et en puissance dans le champ énergétique de leurs hôtes.
On peut affirmer que votre dépendance est aussi leur « drogue ». Ce concept de la genèse de la dépendance est mal compris ; s’il l’était, rares seraient ceux qui, en votre monde, consommeraient des substances provoquant une dépendance, y compris la cigarette et l’alcool. Avec le temps, les vibrations des plantes qui restaient furent encore modifiées, jusqu’à ce que peu de choix s’offrent à vous aujourd’hui. Il ne reste qu’un nombre infime de végétaux de basse vibration pouvant modifier l’état de conscience. Au lieu de mener mentalement les adeptes vers des royaumes lumineux lors de leurs voyages multidimensionnels, les drogues actuelles le conduisent vers la vibration inférieure du plan astral, là où la lumière est voilée et la conscience, complètement déformée. Les magiciens funestes ont réussi à modifier les vibrations des plantes primitives de façon à provoquer une déchirure de l’âme et une dissociation plus profonde de la Source.
Les adeptes des drogues récréatives sont, pour la plupart des individus qui perçoivent consciemment ou non le fait d’avoir perdu toute connexion avec leur Soi divin et qui sont alors en quête d’une forme d’union affective avec un aspect plus vaste d’eux-mêmes. Les dépendances résultent du fait que ce désir naturel de l’âme n’est jamais assouvi en se livrant à ce type d’activité. Les drogués finissent par inhaler ou ingurgiter une quantité croissante de substances psycho-actives par besoin ou par désir désespéré de se relier à une partie d’eux-mêmes qui comblerait le vide, ce néant qu’ils ressentent dans leurs tripes. Plusieurs le perçoivent comme une tentative de découvrir à l’extérieur les joyaux, l’amour qui ne résident que dans le Soi et auxquels on accède exclusivement en appréciant le Soi qui vit l’intérieur et palpite dans le coeur. Je le répète, les substances disponibles à la surface aujourd’hui et susceptibles d’altérer l’état mental et spirituel ne peuvent qu’amplifier le vide, le néant, la solitude de l’âme qui cherche la plénitude hors du Soi.
Si une personne dépend d’une substance à basse vibration pour connaître un état de conscience altéré ou se reconnecter avec le divin, les résultats obtenus deviennent l’illusion la plus trompeuse, le leurre d’un mental-ego tortueux. Saisissez-vous ce point ?
Les herbes que l’on cultive à ce jour et les substances chimiques fabriquées aux fins d’altération des états de conscience sont totalement étrangères à l’âme, aux corps physique, au mental et au corps émotionnel. Elles entraînent dans ces corps des dénaturations que seul le temps pourra rectifier, voire plusieurs vies dans certains cas. Là où régnaient l’amour, l’innocence et la pureté d’intention au départ, au temps où les plantes sacrées avaient préservé leur schéma génétique premier, on rencontre maintenant une négativité qui a pris la forme d’une gigantesque conscience collective d’entités attachées à la drogue qui ravagent la fibre même de la vie et de la conscience. Il est presque impossible désormais de trouver un endroit exempt de ces entités. Ils ‘agit d’un autre complot des frères maléfiques, dot l’intention est d’entraver ou de stopper l’évolution de cette génération tout entière. De vastes groupes de ces créatures attendent une « proie consentante » agglutinés là où les gens se réunissent pour inhaler ou consommer de la drogue.
Si vous pouviez apercevoir ce que nous voyons de notre point de vue, vous sauriez sans l’ombre d’un doute que quiconque s’adonne aux drogues appelle à lui des dizaines voire des légions, de ces entités diaboliques qui s’accrocheront à lui et le tourmenteront sur le plan affectif pour l’inciter à consommer davantage. Vampires assoiffés, elles rivalisent pour obtenir leur « drogue ». La dépendance ne provient donc pas tant des plantes en soi que des entités qui se fixent à ceux qui les absorbent. Voilà la cause première des tourments reliés à la toxicomanie.
Ces entités ont l’apparence de serpents de fumée opaque mesurant de deux à cinq mètres de longueur. Elles s’amplifient et s’intensifient sous la forme d’une énergie qui enveloppe les divers corps – physique, émotionnel, mental et spirituel – des consommateurs de drogues, peu importe le mode d’usage. C’est surtout le corps émotionnel qui en subit l’influence, car les entités astrales incarnant cette vibration lui impriment l’envie insatiable d’une quantité croissante de drogues. Ce qui conduit la plupart du temps à des changements de personnalité et à des dommages psychologiques ; l’âme se dissocie de plus en plus de l’objectif de l’incarnation de son « véritable soi ». Car ceux qui passent leur vie confinés à un tel état d’être auront peut-être à vivre plusieurs incarnations avant de retrouver le niveau de conscience qu’ils avaient en venant à cette vie. Ils auront régressé sérieusement dans leur évolution personnelle.
Adama, Maître Lémurien, canalisé par Aurélia Louise Jones – TELOS II – page 35

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