Les croyances
LE PROJET PLÉIADIEN
L’assistance pléiadienne dans la vie humaine
par Yasmine Rooney – tiré de la Revue UNDERCOVER #11 de Joël Labruyère.
CRISTALLISATION ET MÉMOIRE
Nous savons à présent que les pensées (les croyances) naissent sous la forme de cristaux liquides puis se solidifient à des degrés divers selon notre ouverture d’esprit. Nous savons également que l’homme se raccroche à ses expériences, celles-ci demeurant alors dans son plan d’existence. Cette absence de lâcher-prise l’amène à répéter les mêmes expériences, et cette répétition se manifeste sous la forme de la mémoire. Lorsque l’expérience est nouvelle, nous répondons par nos émotions et donc par notre corps physique. Lorsqu’elle est revécue, nous employons le terme de remémorisation. Notre corps continue à réagir aux expériences tant que nous ne nous en sommes pas détachés. Notre mémoire est localisée dans les membranes cellulaires sous la forme de cristaux liquides. Nous revivons continuellement nos expériences, notre corps étant ainsi occupé en permanence. Tous nos comportements sont déterminés par la mémoire de ces expériences. Étant consciemment occupés à revivre nos expériences immédiates, nous ne sommes pas en mesure de nous concentrer sur les mécanismes internes qui sous-tendent ces expériences et, le plus souvent, nous ignorons l’existence de tels mécanismes.
SCHÉMAS RÉPÉTITIFS ET PERTE D’ÉNERGIE DANS LES CROYANCES
Nous avons vu que le corps est un système complexe de pensées cristallisées.
La lumière issue de la source universelle et qui est appelée à se manifester doit auparavant pénétrer notre corps, le régénérant alors qu’elle en pénètre le système. En nous demeure cristallisée la croyance dans la mort, croyance selon laquelle l’esprit ne peut survivre sans le corps : notre existence dépend donc de notre corps. Nous ne réalisons pas qu’avec ou sans corps nous existons et que nous n’avons pas besoin d’un corps pour vivre. Nous nous sommes inclinés devant la réalité physique et ceci explique notre chute.
Alors que la lumière issue de la source universelle pénètre notre corps physique, elle perd son énergie dans le maintien des croyances qui assurent la cohésion de notre corps. De l’énergie est également utilisée lorsque nous revivons les expériences qui créèrent ces croyances et en produire de nouvelles. Lorsque nous tentons d’exprimer un désir, nous observons souvent qu’il ne se manifeste pas immédiatement, voire pas du tout, et nous abandonnons. Ceci est dû à l’énergie absorbée par l’ensemble des croyances cristallisées qui engendrent notre système physique et les circonstances de nos existences. Pour disposer de la pleine puissance, un être humain doit être en mesure de se détacher de ses croyances et expériences anciennes. Il s’agit là d’un processus que nous devons réapprendre.