Echelle de Guidance émotionnelle
Les divers degrés de votre échelle de guidance émotionnelle
(Extraits des pages p.115-125)
Nous pourrions dire que des émotions différentes vibrent à des fréquences différentes, mais il serait plus juste d’affirmer que vos émotions sont des indicateurs révélant la fréquence à laquelle vous vibrez. Si vous gardez à l’esprit que vos émotions indiquent dans quelle mesure vous êtes aligné avec votre Énergie Source et que mieux vous vous sentez, plus vous acceptez de vous aligner sur les choses que vous désirez, il vous sera davantage facile de comprendre comment réagir à vos émotions.
En étant parfaitement aligné avec votre Énergie Source, vous aurez conscience d’être libre, puissant et bon, vous saurez que l’amour vous habite, que votre valeur est indéniable, vous réaliserez quel est le but de votre existence et que tout est bien.
Chaque fois que vos pensées vous amènent à connaître votre véritable nature, vous découvrez qui vous êtes réellement, car vous atteignez ainsi un état d’alignement absolu. Le sentiment que ces pensées éveillent en vous constitue l’ultime émotion de connexion. Si vous référez à la jauge à essence d’une voiture, cet état d’alignement pourrait se comparer à celui d’un réservoir qui est plein.
En d’autres termes, imaginez une jauge ou une échelle graduée indiquant à une extrémité le degré de plein consentement à votre connexion avec votre Énergie Source, et à l’autre, celui de votre plus grande résistance à permettre votre alignement avec cette même Énergie Source.
Voici à quoi peut ressembler une telle échelle graduée de la gamme complète de vos émotions :
- Joie, savoir, maîtrise personnelle, liberté, amour et appréciation
- Passion
- Enthousiasme, empressement et bonheur
- Attente positive et confiance
- Optimisme
- Espoir
- Contentement
- Ennui
- Pessimisme
- Frustration, irritation et impatience
- Accablement
- Déception
- Doute
- Souci
- Blâme
- Découragement
- Colère
- Vengeance
- Haine et rage
- Jalousie
- Insécurité, culpabilité et indignité
- Peur, chagrin, dépression, désespoir et impuissance.
Comme les mêmes mots sont fréquemment employés pour exprimer des choses différentes, et puisque l’on recourt souvent à des mots différents pour dire la même chose, les termes énumérés ci-dessus ne s’appliquent donc pas avec une rigueur absolue à chaque personne qui éprouve ces émotions. En fait, attribuer ainsi de telles étiquettes aux émotions pourrait susciter de la confusion et détourner votre attention du véritable but de cette échelle de guidance émotionnelle.
Il importe avant tout que vous fassiez un effort conscient pour essayer de vous sentir mieux, le terme choisi pour désigner ce sentiment étant de peu d’intérêt…
Si une personne gravement déprimée pouvait prendre conscience du soulagement qu’une pensée de colère [17] lui apporterait et, plus important encore, si elle pouvait consciemment reconnaître qu’elle a délibérément choisi cette même pensée, elle retrouverait sur-le-champ un sentiment de maîtrise, et sa dépression [22] se résorberait. Il va de soi, bien sûr, qu’elle ne doit pas demeurer sous l’emprise de la colère [17]. Néanmoins, grâce ce sentiment, elle peut accéder à des pensées de frustration [10] qui seront moins lourdes à porter…
Bien des gens, en une sorte de réflexe de survie, passent tout naturellement de la dépression ou de la peur à la colère. Cependant, lorsqu’ils sont confrontés à la profonde désapprobation des membres de leur famille, de leurs amis ou des conseillers qui jugent leur colère déplacée et inacceptable, ils retombent dans leur sentiment d’impuissance et dans un cycle sans fin où ils passent constamment de la dépression à la colère.
Abraham, Esher et Jerry Hicks – Par ABRAHAM Esher et Jerry Hicks – Extraits du livre Créateurs d’avant-garde p. 93-125 – Ariane Éditions, 2006

Vous pouvez laisser une réponse.
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour rédiger un commentaire.