Tablettes Lémuriennes
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Tablettes naacales de MU – Codex troano – Tablettes du Mexique – Papyrus
Les tenants de l’existence du continent Pacifique entreprirent une approche toute différente du problème et préférèrent fonder leurs théories sur l’interprétation de certains documents et de certaines traditions, négligeant un peu, il faut le reconnaître, les réalités géologiques. Celui que l’on considère a juste titre comme le pionnier de toutes les recherches relatives à Mu, puisque c’est ce nom qui aurait désigné la terre australe originelle, est le colonel James Churchward, auteur de cinq ouvrages consacrés a cette question : The lost continent of Mu (1926), The children of Mu (1931), The sacred symbols of Mu (1933), The Cosmic Forces of Mu (1934) et The Second Book of the Cosmic Forces of Mu (1935). En 1874 il rencontra un grand prêtre indigène qui lui fit découvrir, à travers certaines tablettes anciennes, l’existence passée du continent de Mu. Il participa ensuite à une expédition au Tibet et, un peu plus tard, a une autre entreprise de cet ordre en Mongolie et en Sibérie.
Après avoir passé trente ans dans l’armée des Indes, il continua à parcourir le continent asiatique et voyagea également en Amérique centrale et dans le Pacifique, avant de se retirer aux États-Unis, où il mourut a l’âge de quatre-vingt-six ans. Selon Churchward, c’est à l’occasion d’une famine qui ravagea l’Inde, en 1874, qu’il fit la connaissance de celui qui allait l’amener à s’intéresser à Mu. Il nous rapporte qu’ “ il s’intéressait beaucoup a l’archéologie et aux anciens écrits et qu’il était plus savant en ce domaine qu’aucun autre homme vivant. Quand il vit un jour que j’essayais de déchiffrer un curieux bas-relief, il s’intéressa à moi, et ce fut une des plus sincères amitiés que j’eus le bonheur de connaître. Il me montra comment résoudre le mystère de ce bas-relief et proposa de me donner des leçons qui me permettraient de m’attaquer à un travail plus ardu ”.
Les tablettes naacales
Le grand prêtre en question allait apprendre au jeune officier, dont l’intérêt pour l’archéologie avait attiré son attention, la langue “ originelle ” de l’humanité, comprise seulement par lui-même et deux autres grands initiés, derniers représentants d’une secte, les Naacals, dont l’origine aurait été contemporaine de l’engloutissement de Mu.
toutes les grandes civilisations historiques, 1′Atlantide ne jouant qu’un rôle de relais dans cette gigantesque aventure. Quels sont les éléments ou les informations qui permettent à certains savants de considérer aujourd’hui l’existence de Mu comme une probabilité qu’il est impossible d’écarter a priori? Peut-on espérer que de nouvelles découvertes vont venir confirmer les fantastiques intuitions de James Churchward et de Louis Claude Vincent, les deux pionniers de l’histoire muenne? Comment expliquer la disparition catastrophique de ce monde fabuleux qui fut sans doute, de nombreux faits permettent de l’affirmer, la terre où se constituèrent les plus hautes traditions spirituelles de l’humanité?
Cette vue des choses est peut-être excessive et certains géophysiciens sont aujourd’hui plus nuancés. Le Pacifique a connu, c’est incontestable, d’importants bouleversements géologiques : la ceinture de feu qui l’entoure en demeure le témoignage le plus évident. Mais ceux-ci remontent à l’ère tertiaire, à plusieurs dizaines de millions d’années, c’est-à-dire à des époques beaucoup trop reculées pour avoir connu la présence humaine.
Fra Angelico
Nosso Lar, un film révolutionnaire sur l’après vie, ou la vraie vie


































