La Transition 2012
Votre cycle d’expérimentations difficiles se termine
« Quoi que vous puissiez entendre autour de vous concernant les événements et ce qui vous préoccupe, c’est-à-dire la crise économique, les événements ou la nature, concernant ce que vous aurez probablement à subir, nous vous demandons de n’avoir aucune crainte.
Vous êtes à l’aube d’aborder un chemin incontournable. C’est le chemin qui vous sépare de votre réalisation. Malheureusement, beaucoup d’êtres humains qui n’ont voulu ni se préparer ni comprendre ne pourront pas vivre cette réalisation. C’est très dommage pour eux, parce qu’ils seront obligés de continuer leur cycle d’expériences difficiles sur d’autres mondes.
Votre cycle d’expérimentations difficiles se termine, c’est pour cette raison que, pour beaucoup d’entre vous, les expériences sont très rapprochées et parfois relativement difficiles à vivre au quotidien. C’est également pour cette raison que vous pourrez ressentir des douleurs dans votre corps, des maux de tête, des moments de tristesse et également des moments de grande joie ou d’euphorie.
Si vous pouviez voir, ressentir ou avoir conscience de tout ce qui peut se passer dans votre corps de matière, tout ce qui peut se passer dans vos corps énergétiques, vous en seriez réellement très, très étonné.
Vos corps se modifient
L’énergie de votre corps astral et de tous vos corps subtils est en train de se modifier. Dans un avenir proche, vous aurez une impression de légèreté, parfois vous retomberez dans la pesanteur, et cela vous rendra triste parce que cet état de légèreté vous conviendra beaucoup plus que l’état de pesanteur, de lourdeur. À ce moment-là, vous saurez que ce sont toutes les cellules de votre matière et bien au-delà qui sont en train d’évoluer et de se préparer pour le grand moment de la transition.
Nous vous parlons beaucoup de la transition, et nous aimerions vous dire de ne pas attendre des merveilles de ce moment, tout du moins pour l’instant. Les seules merveilles qui vous sont accessibles, et soyez certains qu’elles peuvent vous apporter d’immenses joies, viendront de tout ce que vous aurez fait au niveau des prises de conscience, du lâcher prise et de tout ce que vous avez à éradiquer en vous.
Vous allez faire un immense nettoyage. Soyez certain que celui-ci a déjà très grandement commencé. Il ira en s’accentuant de plus en plus, et si vous vous êtes bien préparé, la transition sera pour vous la merveille des merveilles. Vous irez sur un monde auquel vous aspirez tellement, mais vous vous serez préparé au niveau vibratoire, vous vous serez préparé en conscience, vous aurez nettoyé le terrain.
N’hésitez pas à demander de l’aide
Comme nous vous l’avons dit maintes et maintes fois, vous êtes seul à pouvoir le nettoyer, mais vous pouvez cependant nous demander de l’aide. Vous pouvez demander de l’aide à l’Archange Mickaël, vous pouvez demander de l’aide à notre frère qui se fait appeler Espoir, vous pouvez demander de l’aide à celui que vous nommez encore Jésus (mais qui ne s’appelle plus Jésus), vous pouvez demander de l’aide à la Source, à votre Père-Mère divin.
Peu importe à qui vous demandez de l’aide, l’important est de la demander. Soyez certain que l’aide vous sera accordée à partir du moment où vous mettrez une dynamique en route. Il vous sera donné en fonction de la volonté que vous aurez de vous transformer, en fonction de la confiance que vous aurez dans votre transformation profonde.
Il vous faudra beaucoup de force, beaucoup de courage, parce que la renaissance à un autre état d’être, à une autre conscience, n’est pas aussi aisée que vous pouvez le croire. Vous avez déjà fourni tellement et tellement d’efforts ! Vous avez aussi tellement de courage ! Dans cette fin de cycle, milles et une expériences vous ont été données alors que normalement elles vous auraient été données dans plusieurs existences.
L’aboutissement du travail effectué
Considérez que, dans cette vie, vous avez mis les bouchées doubles ou triples, mais que cela était nécessaire. Vous ne pouviez vous abstraire de cette façon de faire, d’agir et de vivre. Pour certains êtres, les expériences auront été beaucoup plus difficiles que pour d’autres parce qu’ils ont, en quelque sorte, voulu rattraper le temps perdu dans d’autres incarnations. Leur âme sachant que cette fin de cycle est d’une extrême importance, ils n’ont absolument pas envie de retourner dans des mondes de troisième dimension.
Cependant, toutes les âmes qui retourneront en troisième dimension sur d’autres mondes se retrouveront sur des mondes beaucoup moins difficiles que celui de la Terre en ce moment. En ce moment, vous vivez des confrontations absolument gigantesques entre les forces de Lumière et les forces de l’ombre. Vous les vivez plus ou moins difficilement dans la matière, dans votre vie au quotidien, en fonction de votre préparation.
Votre planète a été sous la coupe d’énergies très difficiles, d’énergies dominantes, d’énergies de manipulation depuis plusieurs milliers d’années. Maintenant le grand, le très grand nettoyage est en train de se faire.
Vous aurez certains passages difficiles à traverser. (Nous ne parlons pas de ce petit pays que vous nommez la France et qui pour nous est tellement petit par rapport à votre terre ou à votre système solaire ! Pour nous, qui n’est même pas un point !).
En fonction de ce que vous serez, ces passages seront beaucoup moins difficiles à traverser. »
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source : Message des Êtres de Lumière, reçu par Monique Mathieu site web de Monique Mathieu – Vous pouvez reproduire librement cet article et le retransmettre, si vous ne le modifiez pas et que vous citiez la source.
Il ne faut pas perdre de vue que les Esprits constituent tout un monde, toute une population qui remplit l’espace, qui circule à nos côtés, qui se mêle à tout ce que nous faisons. Si le voile qui nous les dérobe venait à se lever, nous les verrions, autour de nous, aller, venir, nous suivre ou nous éviter selon le degré de leur sympathie ; les uns indifférents, véritables flâneurs du monde occulte, les autres très occupés, soit d’eux-mêmes, soit des hommes auxquels ils s’attachent, dans un but plus ou moins louable, selon les qualités qui les distinguent. Nous verrions en un mot la doublure du genre humain avec ses bonnes et ses mauvaises qualités, ses vertus et ses vices. Cet entourage, auquel nous ne pouvons échapper, car il n’est pas d’endroit si caché qu’il soit inaccessible aux Esprits, exerce sur nous et à notre insu une influence permanente ; les uns nous poussent au bien, les autres au mal, et nos déterminations sont bien souvent le résultat de leurs suggestions ; heureux quand on a assez de jugement pour discerner la bonne ou la mauvaise voie dans laquelle ils cherchent à nous entraîner. Puisque les Esprits ne sont autre chose que les hommes mêmes dépouillés de leur grossière enveloppe, que les âmes qui survivent au corps, il en résulte qu’il y a des Esprits depuis qu’il y a des êtres humains dans l’univers ; c’est une des puissances de la nature, et ils n’ont pas attendu qu’il y eût des médiums écrivains pour agir, et la preuve en est, c’est que, de tout temps, les hommes ont commis des inconséquences ; voilà pourquoi nous disons que leur influence est indépendante de la faculté d’écrire ; cette faculté est un moyen de connaître cette influence, de savoir quels sont ceux qui rôdent autour de nous, qui s’attachent à nous. Croire qu’on peut s’y soustraire en s’abstenant d’écrire, c’est faire comme les enfants qui croient échapper à un danger en se bouchant les yeux.
On peut d’abord poser en principe que les mauvais Esprits ne vont que là où quelque chose les attire ; donc, quand ils se mêlent aux communications, c’est qu’ils trouvent des sympathies dans le milieu où ils se présentent, ou tout au moins des côtés faibles dont ils espèrent profiter ; en tout état de cause, c’est qu’ils ne trouvent pas une force morale suffisante pour les repousser. Parmi les causes qui les attirent, il faut placer en première ligne les imperfections morales de toute nature, parce que le mal sympathise toujours avec le mal ; en second lieu, la trop grande confiance avec laquelle on accueille leurs paroles. Lorsqu’une communication accuse une mauvaise origine, il serait illogique d’en inférer une parité nécessaire entre l’Esprit et les évocateurs ; on voit souvent les personnes les plus honorables exposées aux fourberies des Esprits trompeurs, comme on voit dans le monde des honnêtes gens trompés par des fripons ; mais lorsqu’on se tient sur ses gardes, les fripons n’ont que faire ; c’est ce qui arrive aussi avec les Esprits. Lorsqu’une personne honnête est trompée par eux, cela peut tenir à deux causes : la première est une confiance trop absolue qui la dissuade de tout examen ; la seconde, que les meilleures qualités n’excluent pas certains côtés faibles qui donnent prise aux mauvais Esprits, ardents à saisir les moindres défauts de cuirasse. Nous ne parlons pas de l’orgueil et de l’ambition, qui sont plus que des travers, mais d’une certaine faiblesse de caractère, et surtout des préjugés que ces Esprits savent habilement exploiter en les flattant, et, à cet égard, ils prennent tous les masques pour inspirer plus de confiance.
Les différentes variétés de médiums reposent sur des aptitudes spéciales, et jusqu’à présent on ne sait trop quel en est le principe. Au premier abord, et pour les personnes qui n’ont pas fait de cette science une étude suivie, il ne semble pas plus difficile à un médium d’écrire des vers que de la prose ; s’il est mécanique surtout, l’Esprit, dira-t-on, peut tout aussi bien le faire écrire dans une langue étrangère, le faire dessiner ou lui dicter de la musique. Il n’en est rien pourtant. Bien que l’on voie à chaque instant des dessins, des vers, de la musique faits par des médiums qui, dans leur état normal, ne sont ni dessinateurs, ni poètes, ni musiciens, tous ne sont pas aptes à produire ces choses. Malgré leur ignorance, il y a en eux une faculté intuitive, une flexibilité qui en fait des instruments plus dociles. C’est ce qu’a très bien exprimé Bernard Palissy quand on lui a demandé pourquoi il avait choisi, pour faire ses admirables dessins, M. Victorien Sardou, qui ne sait pas dessiner ; c’est parce que, a-t-il dit, je le trouve plus souple. Il en est de même des autres aptitudes ; et chose bizarre, nous avons vu des Esprits se refuser à dicter des vers à des médiums qui connaissaient la poésie, et en donner de charmants à des personnes qui n’en savaient pas les premières règles ; ce qui prouve une fois de plus que les Esprits ont leur libre arbitre, et que c’est en vain que nous voudrions les soumettre à nos caprices.
La faculté de produire des effets physiques forme une catégorie bien tranchée qui s’allie rarement avec les communications intelligentes, surtout avec celles d’une haute portée. On sait que les effets physiques sont dévolus aux Esprits de bas étage, comme chez nous les tours de force aux saltimbanques ; or, les Esprits frappeurs appartiennent à cette classe inférieure ; ils agissent le plus souvent pour leur propre compte, pour s’amuser ou vexer, mais quelquefois aussi par l’ordre d’Esprits élevés qui s’en servent, comme nous nous servons de manœuvres ; il serait absurde de croire que des Esprits supérieurs vinssent s’amuser à faire tourner ou frapper des tables. Ils se servent de ces moyens, disons-nous, par des intermédiaires, soit dans le but de convaincre, soit pour communiquer avec nous quand nous n’en avons pas d’autres ; mais ils les abandonnent du moment qu’ils peuvent agir par un moyen plus rapide, plus commode et plus direct, comme nous avons abandonné le télégraphe aérien, dès que nous avons eu le télégraphe électrique. Les effets physiques ne sont point à dédaigner, parce que, pour beaucoup de gens, c’est un moyen de conviction ; ils offrent d’ailleurs un précieux sujet d’étude sur les forces occultes ; mais il est remarquable que les Esprits les refusent en général à ceux qui n’en ont pas besoin, ou que tout au moins ils leur conseillent de ne pas s’en occuper d’une manière spéciale. Voilà ce qu’écrivait à ce sujet l’Esprit de saint Louis à la Société parisienne des Etudes spirites : 































