Archive pour mars, 2011

Connexion Reptilienne

LA CONNEXION REPTILIENNE

Par David Icke 

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Si vous venez tout juste d’aborder mon travail, l’information la plus déroutante que vous trouverez sur ce site concerne la connexion reptilienne. Ce que je peux comprendre. C’est quelque chose de difficile à avaler pour la version conditionnée de notre réalité. 

Mais c’est justement de cela qu’il s’agit. Si vous voulez cacher quelque chose aux peuples, inculquez-leur une façon de penser qui soit la plus éloignée possible de ce qui se passe vraiment afin que, si la vérité est révélée au grand jour, elle paraisse bien trop ridicule et fantastique pour que la majorité l’accepte. Et en effet, si vous faites suffisamment bien votre travail, les gens vont tourner la vérité en dérision, dire que c’est de la folie, et ridiculiser quiconque essayera de la promouvoir. 

Pour comprendre comment les informations de ce site sont connectées entre elles et forment un seul tout cohérent, il vous faut lire « Le Plus Grand Secret ». Mais pour ceux qui ne l’ont pas encore lu, voici le contexte de base (s’il-vous-plait: souvenez-vous cependant en lisant ce qui suit qu’un grand nombre des informations contenues dans le livre étayent ce qui suit). 

Il y a quelques années, j’en suis arrivé au point où il me fallait définir la structure par laquelle quelques personnes seulement contrôlent et dirigent le monde (voir « And the Truth shall set you free »). Il était déjà clair que ce réseau, constitué de sociétés secrètes et de groupes clandestins qui manipulaient les institutions mondiales – politiques, affaires, banques, militaires, médias, etc. – n’avait pas pu se constituer en quelques années, ni même en quelques dizaines d’années. Cela devait provenir de beaucoup plus loin. 

Aussi ai-je commencé à remonter le cours de « l’Histoire ». Je l’ai fait en sachant que, pour une raison que je ne pouvais définir alors, les liens du sang et la génétique revêtaient une importance vitale pour ces manipulateurs, les Illuminatis, ou Eclairés (« éclairés » dans les connaissances qu’ils cachaient au grand public). J’ai suivi la piste sans trop de difficulté jusqu’au temps des Croisades au Moyen-Orient, au cours du XIIe et XIIIe siècle à peu près. Elle s’est alors enfoncée très loin dans le temps et dans la préhistoire. Et là, partout sur la planète, j’ai trouvé les anciens récits et légendes parlant de « dieux » venus d’un autre monde qui mêlent leur sang à celui des humains pour créer un réseau de créatures hybrides !!! Par exemple, l’Ancien Testament évoque les « fils de Dieu qui se sont unis aux filles des hommes pour créer l’une de ces races hybrides: les Neftilims. Avant que la Bible ne soit traduite en Anglais, ce passage évoquait les « fils des dieux », au pluriel. Mais ce récit n’est que l’un parmi tant d’autres, traitant du même thème. 

Les tablettes Sumériennes en argile, trouvées au milieu du XIXe siècle dans l’Irak actuel, racontent la même histoire. On estime qu’elles furent enterrées environ 2.000 ans avant J.-C., mais les faits qu’elles décrivent sont bien antérieurs à cette période. Les tablettes parlent d’une race de « dieux », venus d’un autre monde, qui apportèrent sur la planète des connaissances avancées et qui s’unirent aux humains pour créer une race hybride. 

Dans les tablettes, ces « dieux » sont appelés les « Annunakis », nom qui se traduit apparemment par: « ceux qui des cieux sont venus sur la terre ». Les anciens textes nous disent que les êtres hybrides – résultant de la fusion des gênes d’humains sélectionnés avec ceux des « dieux » – sont devenus les dirigeants des classes royales, surtout dans les anciens Proche et Moyen-Orient, dans ces hautes cultures avancées qu’étaient la région de Sumer (en Mésopotamie), Babylone, et l’Egypte. Mais cela s’est produit aussi partout ailleurs, notamment en Afrique noire, comme vous le verrez dans l’information hallucinante fournie sur ce site par le chaman Zoulou Africain, Credo Mutwa, et dans l’incroyable vidéo (parties 1 et 2) de « L’Agenda Reptilien ». Il raconte la même histoire, issue de sa tradition, que celle que j’ai rencontrée dans beaucoup d’autres pays. 

Partout où vous allez, les récits de la « race du serpent » dans les anciennes cultures sont tout simplement innombrables, et le serpent – le reptilien – symbolisme en relation avec les Annunakis et d’autres « dieux » similaires, est aussi largement répandu. Nous en avons un exemple dans la Bible avec le serpent dans le « Jardin d’Eden »: cette histoire est clairement issue des récits Sumériens, ainsi que celle de Moïse dans les joncs qui se racontait déjà à propos d’un roi Sumérien dont le règne se déroula bien avant la Bible. 

C’est la raison pour laquelle je fus si stupéfait d’entendre Zecharia Sitchin – le meilleur traducteur connu des tablettes Sumériennes – me dire qu’il n’y avait pas de preuves de la race du serpent dans l’ancien monde… « Laisse tomber » me dit-il. Pourquoi le ferai-je alors qu’abondent autant de preuves anciennes et modernes? 

C’est de ces lignées qu’est venue l’origine du « droit divin des rois », ainsi que la croyance que seuls ceux qui en étaient issus avaient reçu de Dieu le droit de régner. En réalité, il n’y a ni « divin », ni « Dieu » là-dedans. Il s’agit uniquement du droit que se sont arrogés les « dieux » reptiliens à travers leurs hybridations génétiques. Ce sont ces mêmes lignées qui devinrent ensuite les familles royales et aristocratiques de l’Europe et – merci au « Grand » empire britannique et aux autres empires européens – elles furent exportées plus tard aux Amériques, en Afrique, en Australie, en Nouvelle Zélande, et jusqu’en Extrême-Orient, où elles rejoignirent d’autres parties du réseau hybride reptilien, comme celui de la Chine – le plus évident – où le symbole du dragon est le fondement même de cette culture. 

Ces lignées humano-reptiliennes ont fourni les dirigeants politiques et économiques des colonies impériales européennes, comme elles le font encore aujourd’hui. Réfléchissez à ce qui suit: des centaines de millions de personnes sont venues vivre aux Etats-Unis d’Amérique depuis 1776, toutes issues de souches génétiques incroyablement diverses. Et pourtant – tenez-vous bien – les 42 présidents des Etats-Unis sont tous parents !!! Trente-trois d’entre eux remontent à l’un des plus célèbres rois de France: Charlemagne. Il fut aussi l’un des principaux personnages de ces lignées pour leur expansion en Bretagne, en France, en Allemagne, et partout ailleurs.

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Source : le livre LE PLUS GRAND SECRET tome 1 & 2 par David Icke   (Le livre le plus controversé de la planète) The Biggest Secret (English)

Publié dans:REPTILIENS |on 8 mars, 2011 |1 Commentaire »

Fréquence d’Amour

Une voie d’ascension au coeur de l’incarnation 

Par Anne Berrier

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 Fréquence d’Amour est une voie d’ascension à l’Amour du SOI en chacun de nous. Elle nous mène au coeur de nos cellules, dans la mémoire de l’Âme, et permet de libérer le karma. C’est une méditation qui élève graduellement notre rythme vibratoire et nous aligne à la fréquence d’Amour-Vérité-Joie Pure du SOI pour incarner pleinement notre essence divine. C’est une voie qui permet de contacter la vérité que nous sommes des Âmes d’amour, de lumière et de joie qui avons choisi l’aventure de l’incarnation terrestre pour nous exprimer, nous connaître, nous aimer et nous réaliser. 

Fréquence d’Amour est une méditation d’Union au SOI basée sur des mantras et le mouvement. C’est une méditation qui utilise la parole créatrice et ouvre particulièrement le chakra laryngé et notre pouvoir de manifestation dans l’incarnation. Les mantras utilisés sont des vibrations du Père-Mère Divin et peuvent être dits ou chantés. Ces mantras unissent le Moi humain et le Moi divin, l’esprit et la matière, les pôles masculin et féminin et toutes les paires de dualité en soi. 

YOUAÉ AZÉANA ALCHÉRINGA JAYA : 

« JE SUIS AMOUR ET VÉRITÉ, SOURCE DE VIE ET JOIE PURE » 

Par cette élévation vibratoire, union et réconciliation en soi, Fréquence d’Amour permet la libération des mémoires cellulaires, formes-pensées, émotions et croyances qui limitent notre épanouissement personnel et spirituel. C’est une forme d’auto-traitement qui enracine dans le corps et utilise des mouvements énergétiques et physiques combinés aux mantras. Cette méditation d’autoguérison permet d’intégrer la vibration du Moi Christique dans les cellules et l’ADN, les chakras et les méridiens, et elle appelle l’Énergie de Vie à se mouvoir librement dans les corps subtils et le corps physique. 

L’Âme mémorise toutes ses expériences d’incarnation et cela constitue son bagage génétique et karmique encodé dans les cellules physiques et l’ADN. Les émotions refoulées, les croyances et programmations limitatives accumulées au fil des expériences passées, influencent à notre insu notre vie actuelle et notre présent. Nos mémoires cellulaires sont la source de nos malaises et maladies physiques, de nos difficultés relationnelles et matérielles, et elles entravent souvent nos efforts conscients pour créer la vie harmonieuse que nous souhaitons. 

La planète vit présentement une accélération d’élévation vibratoire, son ascension vers les dimensions de l’Amour Christique. Nous sommes tous appelés à s’élever avec elle et à vivre une profonde guérison du coeur, individuelle et collective. Notre défi est d’accueillir un afflux accru d’Énergie divine planétaire et une hausse de rythme vibratoire dans nos corps subtils et notre corps physique. Plus que jamais, nos maux physiques et nos états émotionnels peuvent sembler s’amplifier et nous parlent de la transformation de conscience dont nous avons besoin. 

Fréquence d’Amour est une voie d’ascension personnelle pour s’aligner à l’ascension planétaire; une alchimie divine qui élève la vibration de nos mémoires et de nos corps et qui transmute le « non-amour » contenu dans nos cellules en Amour divin. En intégrant le divin guide et guérisseur intérieur, l’Énergie Christique s’incarne en soi et la vie personnelle s’allège. L’Âme peut découvrir et réaliser ses buts d’incarnation: s’aimer, se réconcilier, s’épanouir et exprimer son pouvoir de divin créateur/créatrice. 

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Anne Bernier  Channel, guide de l’âme en ascension : http://www.frequencedamour.com/annebernier.html 

Publié dans:AMOUR |on 6 mars, 2011 |Pas de commentaires »

La Terre vue du Ciel

 

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Publié dans:TERRE |on 6 mars, 2011 |Pas de commentaires »

Aigle Bleu nous parle

Aigle Bleu – prophétie amérindienne 

 

Nous avons aujourd’hui oubliés la sagesse des premières nations et des peuples autochtones, heureusement depuis 1970 de nombreux messagers venant de différentes tribus et peuples se sont répandues sur toute la planète pour porter un antique message de paix, de sagesse et de compréhension mutuelle entre les êtres humains. Bien que peu connu du grand public il existe sur notre planète une nation insoumise qui travaille en profondeur pour faire évoluer nos mentalités et nos regards sur l’univers, la nation arc-en-ciel. Je poste ceci parce que je pense que cette philosophie est notre futur planétaire mais encore faut il que le message soit entendu et comprit. Dans ce film vous allez découvrir la prophétie des amérindiens, la seule prophétie qui s’est déjà en partie réalisée et qui me paraît la plus fiable à ce jour…

Cette vidéo en cinq parties donne la parole à Aigle Bleu, un « homme médecine » amérindien. Aigle Bleu est né dans la province canadienne de la Saskatchewan. Il vit maintenant près de la ville de Québec et voyage dans bien des pays pour transmettre ses connaissances. Aigle Bleu est en formation depuis 1978 avec l’enseignante spirituelle de la nation Cherokee, la Ven. Dhyani Ywahoo. Il a également étudié avec Sun Bear, de la nation Chippewa et avec OhShinnah, de la nation apache. Il a aussi reçu des enseignements de Tlakaellel, de la nation aztèque, de Slow Turtle, de la nation Wampanoag, de William Commanda, de la nation Algonquine, de N’tsukw, de la nation Innu et de Tall Warrior, de la nation Mohawk.

Il fonde en 1987, Pédagogies Autochtones, pour enseigner les principes spirituels et thérapeutiques des nations autochtones. Depuis il a enseigné dans plusieurs villes du Québec de même qu’en France, en Allemagne, en Belgique, en Autriche, en Suisse et aux États-Unis. En 1997, la Vén. Dhyani Ywahoo, qui est cheftaine du « Green Mountain Band of Eastern Cherokee » (Uniyunwiwa), adopte Aigle Bleu dans le clan de la patate douce de cette nation. En 2000 Aigle Bleu reçoit du centre de formation du Gouvernement de la Nation Indienne de l’Amérique du Nord, en collaboration avec son enseignante principale, Dhyani Ywahoo, un diplôme le reconnaissant comme « Guérisseur Spirituel ». En janvier 2001 Aigle Bleu commence un ministère de conseiller spirituel auprès des détenus autochtones dans une institution fédérale à sécurité maximum. Il agit comme aîné agissant et thérapeute spirituel. En 2002, il est élu représentant pour le Cercle des Aînés pour la Paix. Ce cercle est le conseil régional aviseur auprès des Services Correctionnels Canadiens qui représente les aînés amérindiens qui travaillent en milieu pénitentiaire. Il démissionne de ce travail en janvier 2003.

En 2002 il fonde le SANCTUAIRE DU FEU SACRÉ, organisation spirituel dont la mission est de créer un centre de guérison pour les jeunes amérindiens ainsi qu’un lieu de pratique et d’enseignement des traditions Cherokee dans un cadre naturel et écologique. En 2003 Aigle Bleu réussis son examen pour être reconnu « Aljadohvsgi ». Ce titre signifie « celui qui entend la voix de ceux qui pleurent ». L’examen consiste à produire de la lumière avec son corps dans un lieu sombre. Environ 120 personnes parmi lesquels une vingtaine d’Aînés assistèrent et furent témoins de cette cérémonie.

Aigle Bleu a écrit quatre livres sur la spiritualité et les traditions amérindiennes. En 1985, il écrit le livre « L’Héritage spirituel des Amérindiens » aux Éditions de Mortagne. En 1992, il rédige le livre « Le cristal en thérapie dans la tradition amérindienne » publié chez Guy St-Jean, éditeur. La même année, ce volume est traduit en allemand et en anglais. En 1999, il écrit le volume « Le Sentier de la Beauté – Cérémonies amérindiennes » publié par les Productions Orphée. En 2003 il produit un petit fascicule « Sons et fragrances pour la santé, Aromathérapie et musicothérapie amérindienne ». 

 




Aigle Bleu parle de la philosophie que les autochtones d’Amérique de Nord ont dans leur relation avec l’environnement, ainsi que la vision spirituelle qu’ils ont de la terre, des animaux, des pierres, des arbres, des différents peuples et de leur mission, de l’univers et des êtres qui l’habitent 




SERIE DE VIDEOS 


PROPHETIE_AMERINDIENNE_PAR_AIGLE_BLEU.1   

 

PROPHETIE_AMERINDIENNE_PAR_AIGLE_BLEU.2

PROPHETIE_AMERINDIENNE_PAR_AIGLE_BLEU.3   

  

PROPHETIE_AMERINDIENNE_PAR_AIGLE_BLEU.4       

 

PROPHETIE_AMERINDIENNE_PAR_AIGLE_BLEU.5    

 

 

Aigle Bleu nous parle dans AMERINDIENS aiglebleu

Publié dans:AMERINDIENS |on 5 mars, 2011 |Pas de commentaires »

L’âme c’est quoi ?

L'âme c'est quoi ? dans AME medium_le_murmure_de_l_ame   Parlons De l’âme….

 Qu’est-ce que l’âme ? 

« Un Esprit incarné. » 

- Qu’était l’âme avant de s’unir au corps ? 

« Esprit. » 

- Les âmes et les Esprits sont donc identiquement la même chose ? 

« Oui, les âmes ne sont que les Esprits. Avant de s’unir au corps, l’âme est un des êtres intelligents qui peuplent le monde invisible et qui revêtent temporairement une enveloppe charnelle pour se purifier et s’éclairer. » 

Y a-t-il dans l’homme autre chose que l’âme et le corps ? 

« Il y a le lien qui unit l’âme et le corps. » 

- Quelle est la nature de ce lien ? 

« Semi-matérielle, c’est-à-dire intermédiaire entre l’Esprit et le corps. Et il le faut pour qu’ils puissent communiquer l’un avec l’autre. C’est par ce lien que l’Esprit agit sur la matière, et réciproquement. » 

L’homme est ainsi formé de trois parties essentielles : 

1° Le corps, ou être matériel analogue aux animaux et animé par le même principe vital ; 

2° L’âme, Esprit incarné dont le corps est l’habitation ; 3° Le principe intermédiaire ou périsprit, substance semi-matérielle qui sert de première enveloppe à l’Esprit et unit l’âme et le corps. Tels sont, dans un fruit, le germe, le périsperme et la coquille. 

L’âme est-elle indépendante du principe vital ? 

« Le corps n’est que l’enveloppe, nous le répétons sans cesse. »

 - Le corps peut-il exister sans l’âme ? 

« Oui, et pourtant dès que le corps cesse de vivre, l’âme le quitte. Avant la naissance, il n’y a pas encore union définitive entre l’âme et le corps ; tandis qu’après que cette union a été établie, la mort du corps rompt les liens qui l’unissent à l’âme, et l’âme le quitte. La vie organique peut animer un corps sans âme, mais l’âme ne peut habiter un corps privé de la vie organique. » 

- Que serait notre corps s’il n’avait pas d’âme ? 

« Une masse de chair sans intelligence, tout ce que vous voudrez, excepté un homme. » 

Le même Esprit peut-il s’incarner dans deux corps différents à la fois ? 

« Non, l’Esprit est indivisible et ne peut animer simultanément deux êtres différents. » (Voir, dans le Livre des Médiums, chapitre : Bi-corporéité et transfiguration.) 

Que penser de l’opinion de ceux qui regardent l’âme comme le principe de la vie matérielle ? 

« C’est une question de mots ; nous n’y tenons pas ; commencez par vous entendre vous-mêmes. » 

Certains Esprits, et avant eux certains philosophes, ont défini l’âme : Une étincelle animique émamée du grand Tout ; pourquoi cette contradiction ? 

« Il n’y a pas de contradiction ; cela dépend de l’acception des mots. Pourquoi n’avez-vous pas un mot pour chaque chose ? » 

Le mot âme est employé pour exprimer des choses très différentes. Les uns appellent ainsi le principe de la vie, et dans cette acception il est exact de dire au figuré que : l’âme est une étincelle animique émanée du grand Tout. Ces derniers mots peignent la source universelle du principe vital dont chaque être absorbe une portion, et qui rentre à la masse après la mort. Cette idée n’exclut nullement celle d’un être moral distinct, indépendant de la matière et qui conserve son individualité. C’est cet être que l’on appelle également âme, et c’est dans cette acception que l’on peut dire que l’âme est un Esprit incarné. En donnant de l’âme des définitions différentes, les Esprits ont parlé selon l’application qu’ils faisaient du mot, et selon les idées terrestres dont ils étaient encore plus ou moins imbus. Cela tient à l’insuffisance du langage humain qui n’a pas un mot pour chaque idée, et de là la source d’une foule de méprises et de discussions : voilà pourquoi les Esprits supérieurs nous disent de nous entendre d’abord sur les mots 

Que penser de la théorie de l’âme subdivisée en autant de parties qu’il y a de muscles et présidant ainsi à chacune des fonctions du corps ? 

« Cela dépend encore du sens que l’on attache au mot âme ; si l’on entend le fluide vital, on a raison ; si l’on entend l’Esprit incarné, on a tort. Nous l’avons dit, l’Esprit est indivisible ; il transmet le mouvement aux organes par le fluide intermédiaire, sans pour cela se diviser. » 

- Cependant, il y a des Esprits qui ont donné cette définition. 

« Les Esprits ignorants peuvent prendre l’effet pour la cause. » 

L’âme agit par l’intermédiaire des organes, et les organes sont animés par le fluide vital qui se répartit entre eux, et plus abondamment dans ceux qui sont les centres ou foyers du mouvement. Mais cette explication ne peut convenir à l’âme considérée comme étant l’Esprit qui habite le corps pendant la vie et le quitte à la mort. 

Y a-t-il quelque chose de vrai dans l’opinion de ceux qui pensent que l’âme est extérieure et environne le corps ? 

« L’âme n’est point renfermée dans le corps comme l’oiseau dans une cage ; elle rayonne et se manifeste au dehors comme la lumière à travers un globe de verre, ou comme le son autour d’un centre sonore ; c’est ainsi qu’on peut dire qu’elle est extérieure, mais elle n’est point pour cela l’enveloppe du corps. L’âme a deux enveloppes : l’une subtile et légère, c’est la première, celle que tu appelles le périsprit ; l’autre grossière, matérielle et lourde : c’est le corps. L’âme est le centre de toutes ces enveloppes, comme le germe dans un noyau ; nous l’avons déjà dit. » 

Que dire de cette autre théorie selon laquelle l’âme, chez l’enfant, se complète à chaque période de la vie ? 

« L’Esprit n’est qu’un ; il est entier chez l’enfant comme chez l’adulte ; ce sont les organes ou instruments des manifestations de l’âme qui se développent et se complètent. C’est encore prendre l’effet pour la cause. » 

Pourquoi tous les Esprits ne définissent-ils pas l’âme de la même manière ? 

« Les Esprits ne sont pas tous également éclairés sur ces matières ; il y a des Esprits encore bornés qui ne comprennent pas les choses abstraites ; c’est comme parmi vous les enfants ; il y a aussi des Esprits faux-savants, qui font parade de mots pour en imposer : c’est encore comme parmi vous. Et puis, les Esprits éclairés eux-mêmes peuvent s’exprimer en termes différents, qui ont au fond la même valeur, surtout quand il s’agit de choses que votre langage est impuissant à rendre clairement ; il faut des figures, des comparaisons que vous prenez pour la réalité. » 

Que doit-on entendre par l’âme du monde ? 

« C’est le principe universel de la vie et de l’intelligence d’où naissent les individualités. Mais ceux qui se servent de ces mots ne se comprennent souvent pas eux-mêmes. Le mot âme est si élastique que chacun l’interprète au gré de ses rêveries. On a quelquefois aussi attribué une âme à la Terre ; il faut entendre par là l’ensemble des Esprits dévoués qui dirigent vos actions dans la bonne voie quand vous les écoutez, et qui sont en quelque sorte les lieutenants de Dieu près de votre globe. » 

. Comment tant de philosophes anciens et modernes ont-ils si longtemps discuté sur la science psychologique sans être arrivés à la vérité ? 

« Ces hommes étaient les avant-coureurs de la doctrine spirite éternelle ; ils ont préparé les voies. Ils étaient hommes, et ils ont pu se tromper, parce qu’ils ont pris leurs propres idées pour la lumière ; mais leurs erreurs mêmes servent à faire ressortir la vérité en montrant le pour et le contre ; d’ailleurs parmi ces erreurs se trouvent de grandes vérités qu’une étude comparative vous fait comprendre. » 

L’âme a-t-elle un siège déterminé et circonscrit dans le corps ? 

« Non, mais elle est plus particulièrement dans la tête chez les grands génies, chez tous ceux qui pensent beaucoup, et dans le coeur chez ceux qui sentent beaucoup et dont les actions se rapportent à toute l’humanité. » 

- Que penser de l’opinion de ceux qui placent l’âme dans un centre vital ? 

« C’est-à-dire que l’Esprit habite plutôt cette partie de votre organisation, puisque c’est là qu’aboutissent toutes les sensations. Ceux qui la placent dans ce qu’ils considèrent comme le centre de la vitalité la confondent avec le fluide ou principe vital. Toutefois, on peut dire que le siège de l’âme est plus particulièrement dans les organes qui servent aux manifestations intellectuelles et morales. » 

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Texte issu du Livre des Esprits – Allan Kardec – Les principes de la doctrine Spirite. 

Publié dans:AME |on 4 mars, 2011 |Pas de commentaires »

Pourquoi la réincarnation

 

But de l’incarnation.

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Quel est le but de l’incarnation des Esprits ? 

« Dieu la leur impose dans le but de les faire arriver à la perfection : pour les uns, c’est une expiation ; pour d’autres, c’est une mission. Mais, pour arriver à cette perfection, ils doivent subir toutes les vicissitudes de l’existence corporelle : c’est là qu’est l’expiation. L’incarnation a aussi un autre but, c’est de mettre l’Esprit à même de supporter sa part dans l’oeuvre de la création ; c’est pour l’accomplir que, dans chaque monde, il prend un appareil en harmonie avec la matière essentielle de ce monde pour y exécuter, à ce point de vue, les ordres de Dieu ; de telle sorte que tout en concourant à l’oeuvre générale, il avance lui-même. » 

 

L’action des êtres corporels est nécessaire à la marche de l’univers ; mais Dieu, dans sa sagesse, a voulu que, dans cette action même, ils trouvassent un moyen de progresser et de se rapprocher de lui. C’est ainsi que, par une loi admirable de sa providence, tout s’enchaîne, tout est solidaire dans la nature. 

 

Les Esprits qui, dès le principe, ont suivi la route du bien, ont-ils besoin de l’incarnation ? 

 

« Tous sont créés simples et ignorants ; ils s’instruisent dans les luttes et les tribulations de la vie corporelle. Dieu, qui est juste, ne pouvait faire les uns heureux, sans peine et sans travail, et par conséquent sans mérite. » 

 

- Mais alors, à quoi sert aux Esprits d’avoir suivi la route du bien, si cela ne les exempte pas des peines de la vie corporelle ? 

 

« Ils arrivent plus vite au but ; et puis, les peines de la vie sont souvent la conséquence de l’imperfection de l’Esprit ; moins il a d’imperfections, moins il a de tourments ; celui qui n’est ni envieux, ni jaloux, ni avare, ni ambitieux, n’aura pas les tourments qui naissent de ces défauts. » 

 

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Texte issu du Livre des Esprits – Allan Kardec – Les principes de la doctrine Spirite

Publié dans:REINCARNATION |on 4 mars, 2011 |1 Commentaire »

Etapes de progression

Progression des Esprits. 

Les Esprits sont-ils bons ou mauvais par leur nature, ou bien sont-ce les mêmes Esprits qui s’améliorent ? 

« Les mêmes Esprits qui s’améliorent : en s’améliorant, ils passent d’un ordre inférieur dans un ordre supérieur. » 

Parmi les Esprits, les uns ont-ils été créés bons et les autres mauvais ? 

« Dieu a créé tous les Esprits simples et ignorants, c’est-à-dire sans science. Il leur a donné à chacun une mission dans le but de les éclairer et de les faire arriver progressivement à la perfection par la connaissance de la vérité et pour les rapprocher de lui. Le bonheur éternel et sans mélange est pour eux dans cette perfection. Les Esprits acquièrent ces connaissances en passant par les épreuves que Dieu leur impose. Les uns acceptent ces épreuves avec soumission et arrivent plus promptement au but de leur destinée ; d’autres ne les subissent qu’avec murmure et restent ainsi, par leur faute, éloignés de la perfection et de la félicité promise. » 

 D’après cela, les Esprits sembleraient être, à leur origine, comme sont les enfants, ignorants et sans expérience, mais acquérant peu à peu les connaissances qui leur manquent en parcourant les différentes phases de la vie ? 

« Oui, la comparaison est juste ; l’enfant rebelle reste ignorant et imparfait ; il profite plus ou moins selon sa docilité ; mais la vie de l’homme a un terme, et celle des Esprits s’étend dans l’infini. » 

 Y a-t-il des Esprits qui resteront à perpétuité dans les rangs inférieurs ? 

« Non, tous deviendront parfaits ; ils changent, mais c’est long ; car, comme nous l’avons dit une autre fois, un père juste et miséricordieux ne peut bannir éternellement ses enfants. Tu voudrais donc que Dieu, si grand, si bon, si juste, fût pire que vous ne l’êtes vous-mêmes ! » 

Dépend-il des Esprits de hâter leurs progrès vers la perfection ? 

« Certainement ; ils arrivent plus ou moins vite selon leur désir et leur soumission à la volonté de Dieu. Un enfant docile ne s’instruit-il pas plus vite qu’un enfant rétif ? » 

Les Esprits peuvent-ils dégénérer ? 

« Non ; à mesure qu’ils avancent, ils comprennent ce qui les éloignait de la perfection. Quand l’Esprit a fini une épreuve, il a la science et il ne l’oublie pas. Il peut rester stationnaire, mais il ne rétrograde pas. » 

Dieu ne pouvait-il affranchir les Esprits des épreuves qu’ils doivent subir pour arriver au premier rang ? 

« S’ils avaient été créés parfaits, ils seraient sans mérite pour jouir des bienfaits de cette perfection. Où serait le mérite sans la lutte ? D’ailleurs l’inégalité qui existe entre eux est nécessaire à leur personnalité ; et puis la mission qu’ils accomplissent dans ces différents degrés est dans les vues de la Providence pour l’harmonie de l’univers. » 

Puisque, dans la vie sociale, tous les hommes peuvent arriver aux premières fonctions, autant vaudrait demander pourquoi le souverain d’un pays ne fait pas des généraux de chacun de ses soldats ; pourquoi tous les employés subalternes ne sont pas des employés supérieurs ; pourquoi tous les écoliers ne sont pas des maîtres. Or, il y a cette différence entre la vie sociale et la vie spirituelle, que la première est bornée et ne permet pas toujours de monter tous les degrés, tandis que la seconde est indéfinie, et laisse à chacun la possibilité de s’élever au rang suprême. 

Tous les Esprits passent-ils par la filière du mal pour arriver au bien ? 

« Non par la filière du mal, mais par celle de l’ignorance. » 

 Pourquoi certains Esprits ont-ils suivi la route du bien, et d’autres celle du mal ? 

« N’ont-ils pas leur libre arbitre ? Dieu n’a point créé d’Esprits mauvais ; il les a créés simples et ignorants, c’est-à-dire ayant autant d’aptitude pour le bien que pour le mal ; ceux qui sont mauvais le deviennent par leur volonté. » 

Comment les Esprits, à leur origine, alors qu’ils n’ont pas encore la conscience d’eux-mêmes, peuvent-ils avoir la liberté du choix entre le bien et le mal ? Y a-t-il en eux un principe, une tendance quelconque, qui les porte plutôt dans une voie que dans une autre ? 

« Le libre arbitre se développe à mesure que l’Esprit acquiert la conscience de lui-même. Il n’y aurait plus liberté si le choix était sollicité par une cause indépendante de la volonté de l’Esprit. La cause n’est pas en lui, elle est hors de lui, dans les influences auxquelles il cède en vertu de sa libre volonté. C’est la grande figure de la chute de l’homme et du péché originel : les uns ont cédé à la tentation, les autres ont résisté. » 

D’où viennent les influences qui s’exercent sur lui ? 

« Des Esprits imparfaits qui cherchent à s’emparer de lui, à le dominer, et qui sont heureux de le faire succomber. C’est ce que l’on a voulu peindre par la figure de Satan. » 

- Cette influence ne s’exerce-t-elle sur l’Esprit qu’à son origine ? 

« Elle le suit dans sa vie d’Esprit jusqu’à ce qu’il ait tellement pris d’empire sur lui-même, que les mauvais renoncent à l’obséder. » 

Pourquoi Dieu a-t-il permis que les Esprits pussent suivre la voie du mal ? 

« Comment osez-vous demander à Dieu compte de ses actes ? Pensez-vous pouvoir pénétrer ses desseins ? Pourtant vous pouvez vous dire ceci : La sagesse de Dieu est dans la liberté qu’il laisse à chacun de choisir, car chacun a le mérite de ses oeuvres. » 

Puisqu’il y a des Esprits qui, dès le principe, suivent la route du bien absolu, et d’autres celle du mal absolu, il y a sans doute des degrés entre ces deux extrêmes ? 

« Oui, certainement, et c’est la grande majorité. » 

Les Esprits qui ont suivi la route du mal pourront-ils arriver au même degré de supériorité que les autres ? 

« Oui, mais les éternités seront plus longues pour eux. » 

Par ce mot les éternités, on doit entendre l’idée qu’ont les Esprits inférieurs de la perpétuité de leurs souffrances, parce qu’il ne leur est pas donné d’en voir le terme, et que cette idée se renouvelle à toutes les épreuves auxquelles ils succombent. 

Les Esprits arrivés au suprême degré après avoir passé par le mal ont-ils moins de mérite que les autres aux yeux de Dieu ? 

« Dieu contemple les égarés du même oeil et les aime tous du même coeur. Ils sont dits mauvais, parce qu’ils ont succombé : ils n’étaient avant que de simples Esprits. » 

Les Esprits sont-ils créés égaux en facultés intellectuelles ? 

« Ils sont créés égaux, mais ne sachant pas d’où ils viennent, il faut que le libre arbitre ait son cours. Ils progressent plus ou moins rapidement en intelligence comme en moralité. » 

Les Esprits qui suivent dès le principe la route du bien ne sont pas pour cela des Esprits parfaits ; s’ils n’ont pas des tendances mauvaises, ils n’en ont pas moins à acquérir l’expérience et les connaissances nécessaires pour atteindre à la perfection. Nous pouvons les comparer à des enfants qui, quelle que soit la bonté de leurs instincts naturels, ont besoin de se développer, de s’éclairer et n’arrivent pas sans transition de l’enfance à l’âge mûr ; seulement, comme nous avons des hommes qui sont bons et d’autres qui sont mauvais dès leur enfance, de même il y a des Esprits qui sont bons ou mauvais dès leur principe, avec cette différence capitale que l’enfant a des instincts tout formés, tandis que l’Esprit, à sa formation, n’est pas plus mauvais que bon ; il a toutes les tendances, et prend l’une ou l’autre direction par l’effet de son libre arbitre. 

Etapes de progression dans ESPRITS barre_separation

Texte issu du Livre des Esprits – Allan Kardec – Les principes de la doctrine Spirite

Publié dans:ESPRITS |on 1 mars, 2011 |Pas de commentaires »
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